Voici une traduction que j'ai faites, je me souviens pas si je l'ai déjà posté ou pas quelque part, alors la voici. Il s'agit d'une série de fanfic centrée sur Harm, Mac et d'autres petites personnes que vous allez découvrir. Je compte traduire les autres parce qu'elles sont géniales et si vous aimez celle là je posterais les autres traductions. N'oubliez pas, les comms sont les bienvenues. De plus, elle comprend assez bien le français donc n'hésitez pas à lui envoyer des comms
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Auteur: keru.m
Mail: keru.mohd@gmail.comClassification: Harm & Mac - General/Romance
Résumé: Harm reçoit la vsite au bureau de deux de ses personnes préférées.
Disclaimer: Ne m'appartient pas.
« Caitlyn, Chérie. » Mac regarda sa fille de quatre ans sautant à côté d’elle. « Tu veux tenir la main de maman pendant que l’on prend l’ascenseur ? »
« Ok. » Caitlyn glissa sa main dans celle de Mac alors que les portes de l’ascenseur s’ouvraient. Une fois qu’elles entrèrent, Mac regarda Caitlyn alors qu’elle jetait un coup d’œil au panneau de bouton et qu’ensuite elle la regarda.
« Maman ! ‘Peux appuyer sur les boutons ? Te plaît ? » Demanda Katie avec excitation, sautillant sur la plante de ses pieds.
« Je peux appuyer sur le bouton ? » Corrigea automatiquement Mac.
« Je peux, Maman ? S’il te plaît, ‘peux ? » A ce moment là, Katie sautait d’anticipation.
« Bien sûr que tu peux, trésor. C’est celui là, numéro quatre. » Mac décida de laisser passe l’erreur grammaticale, et pointa du doigt le bon bouton pour Katie. Harm la taquinait sans cesse sur le fait qu’elle faisait parler Katie avec l’anglais de sa grand-mère. Elle essayait d’expliquer pourquoi apprendre à un enfant une langue ancienne et être multilingue serait bénéfique pour elle plus tard, ce qui expliquait pourquoi elle parlait souvent à Katie en Farsi et en Russe. Harm, l’éternel inculte, roulait juste des yeux et se plongeait dans sa très unique interprétation de Rapper’s Delight. Ainsi maintenant leurs enfants parlaient un anglais correct, un peu de Russe et de Farsi, et était expérimenté dans l’argot Américain, celui des années 1970 environ.
« C’est l’âge que j’ai ! Quatre! » Katie donna un coup au bouton et sourit alors qu’il s’allumait. « Regarde ! J’ai allumé le bouton ! »
« C’est vrai ! Tu as allumé le bouton. Bon travail ! » Mac écarta une mèche du front de Katie, souriant de son exubérance.
Une fois que l’ascenseur commença son ascension, Mac s’agenouilla devant sa fille. Elle espérait sincèrement que cette visite au JAG se passerait avec moins de problèmes que la dernière fois ; mais en voyant la lueur machiavélique déjà présente dans les yeux de Caitlyn fit douter sérieusement Mac sur cette idée.
« Maintenant, Katie, » Mac attendit jusqu’à ce qu’elle eut la complète attention de Caitlyn. « Tu te souviens des règles pour rendre visite à Papa à son bureau ? »
Katie sautait avec excitation sur ses pieds, passant de l’un à l’autre. « Oui ! Oh, Maman ! Devines quoi ? J’ai appris une nouvelle chanson à la garderie ! » Mac essaya de retenir un soupir. Cette enfant devrait recevoir un prix pour le record de la durée d’attention la plus courte. « Maman ! Tu veux l’entendre ? »
« Bien sûr, trésor, » Mac rapidement interrompit Katie avant qu’elle ne commence à s’époumoner en chantant, comme elle avait l’habitude de le faire. « Mais tout d’abord je veux que tu me dise ce que sont les règles pour rendre visite à Papa à son bureau. »
« Ok ! » Katie avec bonheur sauta sur place et tapa dans ses mains.
Mac attendit, mais le changement de nombre au dessus de la porte de l’ascenseur attira l’attention de Katie. Elle commença à compter à voix haute. « Un ! »
« Caitlyn. » Mac tenta de retrouver l’attention de sa fille. « Peux-tu répéter les règles pour moi, s’il te plaît. »
« Ok ! Uhhh… » Katie fronça les sourcils, adoptant un regard de concentration qui, dans l’opinion de Mac, était tout d’Harm.
« A voix basse seulement. » Commença-t-elle, regardant sa mère pour avoir son approbation.
« Bonne fille. Quoi d’autre ? » Dit promptement Mac.
« Et…ummm…ne pas courir… »
« Très bien ! » Encouragea Mac. « Et ? »
« Et…ne…ne pas colorier les papiers de papa. »
Mac acquiesça. Le talent artistique à part de Katie, un dossier judiciaire n’était pas un endroit pour des griffonnages de ce qui était supposé être un avion vert avec un bec d’aigle et une ancre en train de suspendre de l’aile. « Quoi d’autre ? »
« …ummm….Ne pas jouer sous le bureau d’oncle Bud… » Le froncement de sourcils de Katie s’aggrava, alors qu’elle essayait de se souvenir du reste. Mac attendit patiemment, sachant que ça serait un peu plus dur à chaque fois, puisqu’ils devaient ajouter de nouvelles règles après chaque visite
« Oh ! Je sais ! » S’exclama Katie. « Ne pas mettre les stylos d’Oncle Sur--, Oncle Stuhg--, oncle – »
« Sturgis, » énonça Mac. Ça leur provoquait des amusements sans fins à elle et Harm de voir Katie se débattre avec le prénom de Sturgis. Elle n’avait encore jamais renoncé en le disant, pourtant, pensa fièrement Mac. Elle était juste aussi persévérante que son père.
« Ouais ! » Katie sauta sur ses talons. « Sah-gess ! Ne pas mettre les stylos dans le café d’Oncle S-ssah-gess. »
« Quoi d’autre, trésor ? »
Katie sauta deux fois, d’excitation. « Non, ah, non, non… »
Mac retint son sourire, à chaque fois que Katie s’excitait sur quelques choses, ses mots étaient la première victime. Elle avait dit à Harm que c’était un autre trait qu’il partageait avec sa fille. Il le niait avec véhémence.
« Non… » Dit promptement Mac.
« Ne pas si-vre l’Am’ral dans son bureau. »
« Ou…. »
« Ou dans la kitchenette. »
« Bonne fille. Quoi d’autre ? »
«Ne pas, ah, rép’dre au téléphone de l’Am’ral. »
« Excellent. Il y a encore une règle, souviens-toi, la dernière fois ? »
« Ne pas ouvrir les portes. » Katie regarda les nombres au dessus des portes de l’ascenseur, son attention une fois de plus fut à la dérive. Mac fut surprise qu’elle soit si longue. L’excitation – et voir Harm au travail en était aussi définitivement un cause – écourté son temps d’attention déjà limitée. Un autre trait en commun avec son père. Harm le niait aussi avec véhémence.
Mac leva un sourcil impatient, laissant infuser un peu de sévérité dans sa voix. « Caitlyn. Quel est le reste de la règle ? »
Katie regarda ses chaussures et ensuite, avec réticente, Mac. « Ne pas ouvrir les portes, » dit-elle d’un ton maussade, « même si papa est dedans. »
« Excellent, Katie ! » Elle embrassa Katie sur le nez, causant une série de rires. Elle douta que quiconque laisse oublier à Harm comment Katie était entré en courant dans le tribunal pendant qu’il y avait un procès, dans le but de lui montrer ses nouvelles chaussures roses. Mac savait qu’on le taquinait encore sur ça. Et justement, elle le taquinait encore sur ça. Elle savait aussi que Katie avait été plus qu’un peu effrayée quand le juge avait donné un coup avec son marteau et qu’il avait appelé le retour à l’ordre.
« Ça c’est ma tarte en sucre. » Mac caressa son nez contre celui de Katie.
Katie rit à nouveau. « Je ne suis pas une tarte ! Je suis une petite! »
Le sourire de Mac s’étira jusqu’à chaque oreille. Katie aimait vraiment ce surnom dont Harm se servait pour elle. Elle était la fille à son papa jusqu’au bout des ongles.
« Tu n’es pas une tarte ? » Mac lui donna un regard de confusion exagérée.
« Non ! » Katie avec enthousiasme leva son T-shirt pour relever son ventre. « Regarde ! » pointa-t-elle. « Tu ne peux pas me manger ! »
« Oh, non ! » Mac imita la déception. « Mais tu es aussi mignonne qu’une tarte ! » Mac chatouilla légèrement les côtes de Katie. « Je peux en goûter un peu ? » Elle se pencha et fit des prouts sur le ventre exposé.
Katie éclate dans une crise rire, et se plia pour empêcher Mac de répéter ses gestes.
Mac se leva et remis en place ses vêtements juste quand l’ascenseur sonna pour annoncer leur étage.
« Maintenant, Caitlyn : sois sage ici. Vas chercher papa pendant que maman parle à Oncle Sturgis, ok ? »
Mac n’eut pas de réponse quand les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et Katie en sortit en filant à toute vitesse, vers le plateau.
« PAPA ! »
« Katie ! A voix basse ! Et ne cours pas ! » Mac roula des yeux et soupira. Cette enfant avait définitivement hérité de l’impatience de son père.