(Je vais m'étaller )Voilà une fic que j'ai écrit dans la nuit... arff insomnie lool
Profitant en même temps de remonter le moral des troupes, de ma tite Sarah, qu'elle révise beaucoup beaucoup et donc changer un peu les idées et à ma tite chichounette qui se reconnaitra mdrrr pour lui faire plaisir, hier c'étais la journée des fics de tous genres mdrrr
alala je n'en dirai pas plus
Donc voilà, vous la mets à vous aussi en espérant qu'elle vous plaise
Gros merci à ma tite Sarah de m'avoir relu en même tps, de m'avoir dit de la poster lol et pour m'avoir trouvé le titre
et Vive la Shipper mania
PS : Il n'y a pas de saison particulière et la présence de Vukovic c'est pour le fun mdr, m'enfin vous verez
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QG du JAG
27 Janvier 2005Harm était assis dans son bureau, penché sur un dossier, qui lui prenait facilement la tête. Il prit son visage dans ses mains et poussa un petit cri de rage.
Mac, passant devant son bureau à ce moment là, se stoppa, pivota en sa direction et s'arrêta sur le pas de la porte.
M : Quelque chose ne va pas flyboy ?
H : Ah Mac, c'est vous.
M : Oui c'est moi. Dit-elle dans un rire. Je ne vous dérange pas ? Je peux repasser ...
H : Non, non, restez. S'il vous plait.
M : Puisque c'est si gentiment demandé.
Elle rentra complètement dans le bureau, ferma la porte et s'assit.
M : Quelque chose vous tracasse ?
H : C'est cette satané affaire qui me sort des yeux.
M : Je peux vous aider, si vous voulez. J'ai un peu de temps en ce moment.
H : Non, je ne voudrais pas vous ennuyer avec ça.
M : Sachez que vous ne m'ennuyez jamais.
Ils sourient.
M : Bon, de quoi traite cette affaire ?
H : Un quartier maître qui...Ah je ne sais même plus.
M : Harm !!! A quand remonte la dernière fois où vous avez dormi ?
H : Je ne sais plus.
M : Il faut vous ménager, vous n'allez pas tenir longtemps dans ces conditions.
H: Vous avez raison, mais l'affaire sera bouclée plus vite et je pourrais ainsi vous inviter à dîner. Fit-il dans un sourire.
M : Vous avez peut-être raison. Bouclez moi vite cette affaire alors.
Elle sourit en retour.
M : Bon, revenons à notre affaire.
H : Oui.
M : Passez moi le dossier.
Il lui passa et leurs mains se frôlèrent. Harm releva ce contact mais pas Mac, qui s'était empressée de plonger sa tête dans le dossier.
M : Très bien, nous avons un quartier maître, qui, aussi fou que cela puisse paraître...c'est retrouvé habiller en femme, sur le trottoir, avec un ... avec un client.
Elle partit dans un fou rire.
M : Mon pauvre, vous allez galérer à faire votre défense.
H : Vous croyez. Fit-il d'un air abattu.
M : Et que dit le Quartier Maitre... heu ... Vukovic, pour sa défense.
H : Il dit que...c'était un pari stupide fait avec des amis. Lâcha t-il dans un souffle d’épuisement.
M : Vous devriez rentrer vous reposer Harm.
H : Mais l'affaire n'avancera pas et l'audience à lieu dans quelques jours.
M : Ne vous en faites pas, je vais y travailler cet après-midi et ce soir.
H : Non Mac, je ne veux pas que vous preniez sur votre temps libre.
M : Ca ne me dérange pas du tout Harm.
H : A moi si. Venez à la maison ce soir, on y travaillera à deux.
M : Harm !!! Reposez vous.
H : Je me serais reposé une partie de l'après-midi. Acceptez, faites moi ce plaisir. Fit-il le regard charmeur. Je vous préparerais un repas exquis.
M : Si vous me prenez par les sentiments.
H : Ah cette journée va mieux se passer que je ne le pensais.
M : Je suis ravie de voir qu'un simple dîner, puisse vous faire cet effet. Fit-elle en le taquinant.
H : Surtout si vous y êtes conviée.
M : Hum serait-ce un compliment ?
H : Ca m'en a tout l'air.
M : C'est tellement rare, je n'ai pas l'habitude.
H : Mais je pourrais continuer. Dit-il d'un air coquin.
M : Je suis toute ouie. Fit-elle du même air.
X : Moi aussi.
Quatre yeux se posèrent sur la personne positionnée à l'entrée du bureau.
H : Amiral. Comment allez vous aujourd'hui ? Dit-il en essayant d'être convainquant.
L'Amiral eu un sourire en coin et d'un seul coup son visage repris un air des plus sérieux.
A : Garde à vous !!!
Mac et Harm se levèrent comme un seul homme et firent un magnifique salut.
A : Je vois que l'on s'amuse ici, au lieu de travailler.
H : Amiral, c'est que... Mac me proposait...
M : De l'aider dans son affaire.
A : Colonel, trouvez vous que je ne vous donne pas assez de travail, pour venir aider le Capitaine.
M : Non Monsieur, bien sûr que non. J'aide le Capitaine en dehors de mes heures de travail, Monsieur.
A : C'est ce que je voulais entendre. Très bien, donc Colonel, je crois que du travail vous attend.
M : J'y vais de ce pas Monsieur.
Elle jeta un dernier regard à Harm, un regard qui traduisait son soutient et qu'ils reparleraient plus tard.
A : Je vous trouve un peu pâle.
H : A vrai dire Monsieur, en ce moment, je suis épuisé.
A : Il faut dormir la nuit Capitaine. Dit-il tout en gardant son sérieux.
Harm, ne sachant pas s'il plaisantait ou non, n'afficha aucune expression particulière.
H : Oui Monsieur.
A : Bon, j'aime que mes officiers soient en pleine forme. Je vous donne votre après-midi. Vous pourrez travailler sur votre affaire chez vous.
H : Merci Monsieur.
A : Dans ce cas, à lundi Capitaine.
H : Amiral. Dit-il en effectuant le garde à vous habituel.
Il sortit du bureau du Capitaine et jeta un coup d'oeil à celui de Mac avant de rejoindre le sien. Celle-ci avait le regard posait sur ses dossiers. Concentrée, elle ne remarqua pas l'Amiral en train de l'observer.
Harm rassembla ses affaires et avant de rentrer chez lui, il tapa à la porte du bureau de Mac et y pénétra.
H : L'Amiral m'a donné mon après-midi. On se voit toujours ce soir ?
M : Oui. A moins que...
H : Que ?
M : Vous n'ayez changé d'avis.
H : Non et vous ?
M : Non.
H : Très bien, me voilà soulagé. Vous venez vers quelle heure ?
M : Et bien, le temps que je finisse cette affaire et que je rentre chez moi pour me changer. Vers les 20h. Cela vous convient-il ?
H : Parfais. Je vous laisse travailler, à ce soir.
M : A ce soir Harm et reposez vous.
H : Ne vous inquiétez pas pour cela, je tiens à être en forme pour ce soir. Fit-il de son plus magnifique sourire.
Mac ne comprit pas trop l'allusion qu'il venait de faire.
H : Enfin, c'est mieux pour travailler. Je ne me vois pas m'endormir en pleine recherche.
M : Pas même dans mes bras ? Fit-elle pour le déstabiliser. Ce qui marcha à merveille. Le Capitaine confiant quelques secondes auparavant, fut surpris de par ces paroles.
M : Je plaisante Harm. Dit-elle accompagnée d'un sourire éclatant.
H : Oui bien évidement. Bon je vous laisse à ce soir.
Mac ne répondit pas tout de suite, réfléchissant à comment interpréter la dernière phrase du Capitaine. Avait-il répondu à sa plaisanterie ou au fait qu'elle plaisantait.
Toujours dans ses songes, elle lâcha un « bye » mais Harm n'était plus là. Reprenant ses esprits, elle replongea le nez dans ses affaires, ce languissant du dîner.
...