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 Si simple [terminée] anniv'sarah

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majandraelo
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majandraelo


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MessageSujet: Si simple [terminée] anniv'sarah   Si simple [terminée] anniv'sarah Icon_minitimeDim 26 Mar - 12:25

Alors comme promis une fic pour ton anniv'. Cela se pase durant la saison 7 (ta préférée). De plus je me suis permis de t'emprunter une idée à toi, tu verras laquelle, juste parce que c'est pour toi, cette fic, donc c'est une sorte d'hommage. Enfin tu verras et j'espère que tu vas aps m'en vouloir. mdr.

BONNE ANNIV'

*****************

Ils franchirent la ligne d’arrivée sous le regard de plusieurs officiers souriants. Les quatre amis réunis. L’amitié qu’ils partageaient était unique. La fatigue de l’effort physique les poussèrent à aller à la buvette prendre de l’eau pour se rafraîchir.

Bud : merci…..merci beaucoup d’être venu.

Harm : c’est normal Bud. Les amis c’est fait pour ça.

Bud : quand même vous deviez être déjà fatigué par votre course. Et vous….vous la recommencez alors que moi….

Mac : ne vous sous estimez pas Bud.

La voiturette que conduisait Harriet arriva, elle se gara et sauta directement à l’extérieur pour se diriger à vive allure vers son mari.

Harriet : chéri, j’étais inquiète pour toi. Regardes comment tu es ? Je suis tellement fier de toi.

Harm, Mac et Sturgis se regardèrent et s’éloignèrent doucement des Roberts pour les laisser seuls.

Harm : alors que vas-tu faire avec tes privilèges d’amiral ?

Sturgis : Plein de chose. Par exemple, je voulais justement inviter une (jetant un regard sur Mac) belle femme à dîner ce soir.

Harm : QUOI ?

Mac fut surprise de sa réaction, c’était comme si il était en colère.

Mac : je vais vous laisser les mecs, je vais aller……voir l’amiral.

Elle se dépêcha de laisser entre homme.

Sturgis : tu vas bien vieux, c’est la course qui t’a fatigué.

Harm : non, c’est juste que je suis étonné que tu invites une femme à dîner, et surtout Mac.

Sturgis : je n’ai pas dit que je l’invitait elle.

Harm : non mais tu l’as sous entendu, au moment où tu as parlé tu l’as regardé.

Sturgis s’arrêta et se mit à rire sous le regard étonné de Harm. Ce dernier ne comprenait vraiment pas la réaction de son ami. Il se sentait aussi mal à l’aise en sachant que c’était certainement lui, la cause de cette hilarité.

Harm : quoi ? Dis moi ?

Sturgis : rien. Franchement, t’attends quoi ? Qu’est ce qui t’es arrivé ?

Harm : comment ça ? Expliques toi ?

Sturgis : Avant quand tu croisais une fille plutôt…attirante et qu’elle te plaisait, tu lui…..sautais dessus en quelque sorte. Et là,…..putain Harm, tu l’as vu. Tu as vu vraiment Mac, tu l’as regardé attentivement. Cette femme c’est une bombe. Elle est magnifique. Et toi, t’es là….et je sais qu’elle t’attire, la preuve j’ai dit que j’invitais une femme à dîner et rien que le fait de penser que ça pourrait être elle, t’as viré rouge.

Harm : t’as dit belle femme. De qui tu parlais ?

Sturgis lui sourit en lui désignant de la tête Bobbi Latham qui était adossé à un arbre.

Harm : tu….tu….

Sturgis : oui, je parlais d’elle. Sincèrement, je te laisse Mac, t’as assez d’homme qui lui tourne autour pour que je fasse parti du lot moi aussi. Perds pas ton temps, un jour il va y en avoir un qui va vraiment lui plaire et crois moi ça sera différent de ce que tu auras connu, elle n’aura plus envie de te donner une seconde chance.

Harm : je le sais.

Sturgis : Allez, fonce. En attendant, moi j’ai une députée qui m’attend.

Il lui sourit et fonça rejoindre la députée Latham. Harm se retrouva seul et observa son ami, entièrement sous le charme de Bobbi. Son regard alla sur Mac qui discutait avec leur supérieur, venait exprès pour voir l’arrivée de la course. Elle rigolait et il ne put s’empêcher d’être encore plus sous le charme de sa partenaire. Même trempée de sueur, elle était magnifique, de loin il l’observa, il la détailla longuement. Son visage parfait avec ses beaux yeux marron et ses lèvres si pulpeuses qu’il n’avait pu embrasser que deux fois mais il en gardait un très bon souvenir. Son regard descendit vers plus bas, le long de son cou et tomba sur ce que tout homme affectionnait chez les femmes. Son T-Shirt était relativement moulant et Harm eut une forte montée de chaleur. Il continua son observation descendant doucement, fixant son ventre plat, ses longues jambes. Sturgis avait raison elle était trop belle pour qu’elle reste seule longtemps. Comme si elle avait senti son regard, elle tourna sa tête vers lui et leurs yeux se croisèrent. Mac même de loin, vit une lueur dans les yeux de son partenaire. Harm ne put soutenir ce regard, il détourna son regard et marcha vers sa voiture.

Amiral : Mac vous m’écoutez.

Sarah était toujours plongé dans ses pensées, Harm avait eu un drôle de comportement.

Amiral : Colonel !

Elle sursauta à l’évocation de son grade.

Mac : Monsieur. Désolé, j’étais perdu dans mes pensées. Je dois y aller. Je me sens fatigué et je crois avoir besoin d’une bonne douche.

Amiral : Vous voulez que je vous raccompagne.

Mac : c’est bon, j’ai ma voiture. Merci

Elle commença à marcher normalement, pour ne pas paraître suspecte devant les autres avocats du JAG. Elle arriva au niveau du parking, où il n’y avait presque personne, tous étaient en train de plus ou moins fêté la course. Elle vit tout de suite Harm qui se rapprochait de sa voiture.

Mac : Harm.

Elle commença à courir afin d’arriver à lui. Il était en train d’ouvrir la porte quand elle fut à son niveau.

Mac : Hey.

Harm : oui, qu’est ce qu’il y a ?

Mac : vous ne restez pas ?

Harm : non, j’ai besoin de prendre une bonne douche et de me reposer.

Mac : vous regrettez de m’avoir laisser de l’avance.

Harm : euh…un peu.

Mac : en tout cas, vous avez réussi à arriver et en plus en même temps que moi.

Harm : ça tient du miracle. Bon, si vous ne m’en voulez pas, je voudrais vraiment rentrer.

Il entra dans la voiture et au moment où il allait fermé la porte, Sarah l’en empêcha.

Mac : et si je vous invitai à dîner, hein ? Un bon dîner fait maison. Cent pourcent végétarien.

Il la regarda. Il ne savait pas si il devait accepter, il l’aimait, il en était sur. Elle était vraiment belle et séduisante. Il lui suivit de regarder profondément dans ses yeux noisette qu’il aimait tant pour savoir sa réponse.

Harm : ok. A quelle heure ?

Mac : 20h00 ça vous va ?

Harm : D’accord.

*******************
Appartement de Mac
22h15

Sarah posa sa tête sur l’épaule de Harm.

Harm : on est fatigué Marin’s ?

Mac : en quelque sorte.

Elle posa sa main sur la sienne, instantanément il sursauta légèrement.

Mac : ça va ?

Harm : votre main est glacée.

Mac : c’est vrai ? Je ne la sentais pas. C’est terrible.

Harm : quoi ?

Mac : cette sensation….celle du toucher…..dans la vie, on ne prends jamais le temps de se toucher, de s’embrasser, juste des paroles alors que les gestes expriment la même chose que les paroles et parfois les gestes vaux mieux que des tonnes de mots. Je crois que ce type de sensation nous manque à un tel point qu’on….qu’on se rentre les uns dans les autres pour être sur de sentir quelque chose. C’est pour ça que on aime au fond de nous, sentir le froid ou le chaud. En ressentant ça, on sait qu’on est encore en vie.

Harm : quelle philosophie Mac.

Mac : c’est ce que je pense. Enfin, ce que je ressens.

Harm : je crois que vous avez raison, mais pour l’instant je sens une chose : une Marin’s qui tombe de fatigue et qui va aller au lit. Allez debout matelot.

Mac : je ne suis pas un matelot et je veux pas aller au lit.

Harm sourit et sans lui laisser le temps de répliquer la souleva dans ses bras, la portant comme une jeune mariée.

Mac : Harm, lâchez moi.

Harm : Sinon quoi ?

Mac : Sinon…je vais vous botter le derrière.

Harm : avouez que vous êtes trop épuisé pour le faire.

Mac : j’ai quand même pu faire le dîner que vous avez trouvé bon. Alors je pourrais vous botter vos jolies six heures de pilotes.

Harm : vous trouvez que j’ai de belles fesses.

Mac : posez moi par terre matelot, j’arriverais à aller jusqu’au lit.

Harm : sur ?

Mac : ouais.

Il la reposa délicatement au sol.

Harm : je voudrais m’excuser Mac, pour mon comportement de ces derniers jours. J’aurais du vous parler de ma rupture avec Renée.

Mac : arrêtez avec ça. Ce…..on oublie, ce n’est pas important.

Harm : si, ça l’est.

Mac : je ne comprends pas pourquoi vous voyez autant d’importance là dedans.

Harm : Mac…..

Mac : pourquoi vivez vous toujours dans le passé ?

Harm : je ne vis pas dans le passé.

Elle se détourna de lui.

Mac : oui, vous parlez de Renée mais c’est de l’histoire ancienne Harm. Bon dieu passez à autre chose.

Harm : je passe à autre chose Mac. Je suis passé à autre chose.

Mac : ouais, j’en ai pas vraiment l’impression.

Harm : quoi ?

Mac : dois je vous rappeler une réflexion que vous avez faites à mon sujet ou plutôt aux hommes de ma vie.

Harm : Mac, j’étais énervé contre vous. Je ne pensais pas ce que je disais.

Mac : le problème c’est justement ça Harm. Je ne peux pas vous croire. Que ce soit Mic ou Dalton, vous ne les aimiez pas. Alors je me dis que vous pensez réellement ce que vous avez dit.

Harm : Je ne peux pas croire que vous pensiez ça. Vous non plus, vous n’aimiez ni Renée, ni Annie, ni Jordan. La jalousie prenait le dessus.

Mac : ne me parlez pas de jalousie. Dans ce domaine c’est vous le maître. Je peux pas continuer à parler de ça avec vous. Quand nous étions là bas….après la course, pendant que je parlais à l’amiral j’ai vu dans vos yeux quelque chose que je n’avais jamais encore vraiment. Je me suis dit que j’allais le découvrir durant le dîner qu’on allait parler et que tout allait redevenir comme avant. Mais non, vous n’avez rien fait.

Harm : Mac……

Mac : quoi ?

Harm : je…..je ne sais pas ce qui vous arrive vous êtes…..

Mac : quoi ? Pourquoi êtes vous si distant ? Vous vous éloignez chaque fois que vous avez des sentiments.

Ce fut trop pour lui, il ne dit rien et prit sa veste.

Mac : allez y, fuyez. Il n’y a que ça que vous sachiez faire.

Au moment de partir il se retourna et la regarda.

Harm : ce que j’ai dit un jour au sujet de Dalton, que je lui en voulait et que j’aurais voulu être civil pour être à sa place et quand nous étions au bar après votre rupture sur le fait que vous étiez belle et……..je le pensais et c’est toujours le cas.

Il claqua la porte. Sarah se laissa tomber sur le canapé, mais qu’est ce qu’elle avait. Elle prit sa tête entre ses mains. Elle devenait folle ou quoi. Pourquoi tout d’un coup elle avait réagit ainsi. La réponse pourtant lui vint immédiatement : parce qu’il avait encore cette lueur dans ses yeux, cette lueur d’amour et de désir.

Elle s’allongea sur son canapé et fixa le plafond, laissant l’odeur des bougies la calmait.
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majandraelo
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MessageSujet: Re: Si simple [terminée] anniv'sarah   Si simple [terminée] anniv'sarah Icon_minitimeDim 26 Mar - 12:26

****
Appartement de Harm
Minuit 15.

Il ne pouvait pas dormir, comment la soirée avait elle fait pour dégénérer aussi rapidement. Pourtant tout avait été tranquille, bien. Et en une seconde, plus rien. Il se leva et après avoir retirer son T-Shirt, il s’écroula de fatigue sur son lit. Laissant le sommeil le submerger.

Pourtant au bout de quelques minutes, il entendit du bruit. Encore mal réveillait, il se releva doucement sur son lit et entendit la porte d’entrée se fermait. Il se leva et doucement, il s’avança pour aller dans le salon quand soudain il sursauta.

Harm : Mac ? Mais qu’est ce que vous faites ici ?

Mac : je…..je voulais m’excuser pour mon comportement tout à l’heure.

Harm : et vous vous excusez à minuit et quart.

Mac : j’avais pas…..(son regard se posa sur son torse, nu) j’avais….je ne savais pas.

Harm vit son regard et lorsqu’elle releva les yeux, il vit une lueur que beaucoup de femmes avaient eue dans leurs yeux en le voyant. Cette lueur de désir. Cependant il y avait autre chose. De l’amour peut être.

Harm : Mac……la soirée avait bien commencé, j’arrive pas à comprendre pourquoi dès que nous commençons à parler de notre relation tout va mal.

Mac : je l’ignore. C’est plus fort que moi. Quand……je me souviens de votre rencontre avec Jordan, Renée ou Annie. A chaque fois, c’était comme si tout était simple. Je fais la même chose avec Mic ou Dalton. Je fonce, sans avoir besoin de me prendre la tête.

Harm : Je crois que c’est…..parce que on risque gros. Les autres….c’étaient des gens comme ça…normal en quelque sorte mais on a crée quelque chose de trop fort pour prendre le risque de le briser.

Mac : pourquoi croire que ça va mal se finir ?

Harm : on est pareil tout les deux. On réagit de la même manière, on veut avoir le contrôle et……

Mac : c’est impossible.

Une larme roula sur la joue de Sarah, Harm l’essuya avec son pouce, mais au lieu s’éloigner il caressa avec sa main, sa joue.

Mac : J’aimerais……je donnerais tout…pour revenir dans ce bureau et ne pas aller au JAG à Washington. Je…je souhaiterais…..j’aimerais que….que….

Sa voix se brisa et elle baissa son regard.

Harm : que tout soit aussi simple. Mais….si vous n’étiez pas venu à Washington, je ne serais pas l’avocat que je suis aujourd’hui. Beaucoup de choses dans ma vie serait différente et je crois que je…..je ne veux pas ça.

Mac : Alors qu’est ce que l’on fait ? On….on connaît nos sentiments l’un pour l’autre, Harm…

Au moment où elle remonta son regard, ses yeux détaillèrent lentement le corps de son partenaire. Elle avait envie de lui. Son regard croisa le sien.

****

Appartement de Harm.
7h54 AM

Les rayons du soleil filtrait à travers la fenêtre, sentant la chaleur lui piquait le visage, Sarah essaya de se tourner dans son lit. Elle était engourdie, ses muscles l’étaient. Normal vu la course qu’elle avait fait hier. Mais est ce vraiment la course ? Et surtout, son lit ?

Elle ouvrit ses yeux, elle n’était pas chez elle et son regard tomba sur la plus belle vue qu’elle ait vu de sa vie. A ses côtés, un certain Capitaine de la NAVY était allongé, profondément endormi. Il était couché sur le côté, un bras autour de son ventre, voilà donc la douce chaleur qu’elle sentait. Elle bougea doucement, voulant se mettre aussi sur le côté, elle souleva le drap pour pouvoir rester couverte quand même car il faisait assez froid. Le drap encore dans les airs, descendit léger comme une plume sur elle, et elle put apercevoir le corps nu de Harm. Elle jeta un coup d’œil pour vérifier qu’il dormait bien et quand elle en fut sur, elle releva un peu le drap afin de profiter de ce Capitaine de Frégate, nu à ses côtés.

Un immense sourire s’afficha sur son visage. Oh oui il était parfait. Harm sentit comme un léger courant d’air, il ouvrit les yeux et tourna la tête. Sa vue fut gênée par des mèches de cheveux bruns, il reconnu à l’odeur de shampoing que c’était Mac. Il suivit alors la direction de sa tête et fut surpris de voir que sa main droite tenait le drap pour le relever légèrement ainsi elle le regardait.

Harm : pris en flagrant délit de voyeurisme Colonel.

Elle sursauta et se releva, s’asseyant sur le lit, elle prit une partie du drap pour cacher sa nudité.

Mac : Harm ! Vous…vous êtes réveillé depuis longtemps ?

Harm : depuis que vous profitez du spectacle.

Mac : je vois. Mais…… je n’ai pas pu m’en empêcher. Hier soir….il faisait nuit et on ne voyait presque rien.

Harm : bien sur.

Il s’assit dans le lit, face à elle.

Harm : petit dej’ au lit je suppose.

Mac : ouais. Ce serait parfait. Il faut qu’on parle aussi.

Harm : je croyais que tout avait été dit hier soir.

Mac : ce matin.

Harm : Mac.

Mac : quoi ?

Il lui sourit et s’approcha d’elle, son visage à quelques centimètres du sien.

Harm : je t’aime.

Mac : répètes.

Harm : je t’aime.

Mac : encore.

Harm : combien de fois vais-je devoir le dire.

Mac : des milliers de fois.

Harm : par jour ? Tu risques de t’en lasser.

Mac : non, je ne crois pas.

Elle s’approcha et l’embrassa. Ses lèvres contre les siennes, elle gémit. Cette sensation, elle l’adorait.

Mac : allez, va préparer le petit déj’ j’ai faim.

Harm : j’aurais du m’en douter.

Il se tourna et enfila son caleçon avant d’aller dans la cuisine. Sarah l’observa de loin, souriant de plus belle. Elle retomba allongé sur le lit, un sourire béat sur son visage, elle ressemblait à une adolescente. Elle avait passé la nuit avec Harmon Rabb Junior. Elle avait connu la sensation d’être posséder par son corps. Elle posa sa main sur son ventre. Et si… ? Un bébé. Après tout, il lui avait promis. Mais en une fois ? C’était impossible. Quoique avec Harmon Rabb rien n’était impossible.

Elle se mit à rire, ce qui étonna son amant. Elle rit de plus belle, Harm était maintenant son amant. Ce dernier arriva avec le plateau.

Harm : pourquoi rigole tu ?

Mac : je me suis imaginé que tu tenais ta promesse.

Harm : quoi ? Celle du bébé ?

Mac : ouais.

Harm : en une nuit.

Mac : justement c’est toi. Et avec toi, j’ai appris que rien n’est impossible.

Harm : tu voudrais déjà un bébé.

Mac : pourquoi pas. Après tout, ce n’est pas comme si je venais de te rencontrer. Je te connais.

Harm : mais c’est un peu tôt.

Mac : je sais. Imagine qu’on en est un tu voudrais l’appeler comment ?

Harm : j’en sais rien. David pour un garçon et …..Sarah pour une fille.

Mac : Sarah ?

Harm : toutes les Sarah de ma vie sont extraordinaires. Et toi ?

Mac : Wyatt pour un garçon et Alisen pour une fille.

Harm : j’aime bien Alisen mais j’aime trop Sarah.

Mac : et que penses tu de Sarah-Alisen, ça serait son nom complet mais quand on veut l’appeler on dit juste Alisen.

Harm : pas bête. Mais on a le temps. Hein ?

Mac : je crois.

****
4 ans plus tard.

Mac ouvrit la porte du frigo pour récupérer la bouteille d’eau et remplit le petit verre ‘Aladdin’.

Mac (criant) : Al. AL. ALISEN.

Elle entendit des pas, à l’étage.

Alisen : Oui.

Mac : descend c’est l’heure de manger.

Des pas feutrés descendirent les escaliers, Sarah vit ensuite une petite tête brune.

Alisen : ui là maman.

Mac : vient là princesse.

Elle la souleva dans ses bras et la fit s’asseoir à un tabouret.

Mac : mange avant que ça ne devienne froid.

Alisen : ok.

Mac : reste là, j’arrive.

Sarah monta rapidement les marches et arriva à l’étage, elle marcha à travers le couloir jusqu’à arriver dans le bureau. LA porte était légèrement entrouverte.

Mac : pilote. L’ordre de venir manger, tiens aussi pour toi.

Harm : quoi ?

Sarah s’avança et regarda ce qui captivait son attention.

Mac : C’est un mail de Sturgis.

Harm : ouais avec des photos des jumeaux.

Mac : ils sont mignons. Allez viens, ta fille t’attend.

Elle voulu repartir mais Harm la prit par les hanches et la fit s’asseoir sur ses genoux.

Harm : Mac. Et si on…..on donnait un petit frère ou une petite sœur à Alisen. Elle s’ennuie toute seule sinon.

Mac : j’aimerais bien un deuxième enfant, en effet mais pour l’instant j’ai pas mal de boulot et j’ai faim alors viens avant que je ne botte tes jolies six heures.

Harm : j’aimerais voir ça.

Elle lui donna une tape sur le bras avant de se lever et de sortir de la pièce. Harm sourit en la regardant partir, ses yeux se posèrent ensuite sur une photo qui trônait sur le bureau. Celle de Sarah et lui entourés de leur ami le jour du Jagathon. Ce jour avait tout changé. Le reste des photos en témoignait. Leur mariage, leur fille. Leur vie.

Leur amour.
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MessageSujet: Re: Si simple [terminée] anniv'sarah   Si simple [terminée] anniv'sarah Icon_minitimeDim 26 Mar - 14:44

bravo majandraelo c'est magnifique ! et bon anniversaire sarah !
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MessageSujet: Re: Si simple [terminée] anniv'sarah   Si simple [terminée] anniv'sarah Icon_minitimeLun 27 Mar - 14:51

Qu'elle chanceuse que je suis...


Merci beaucou pour cette fic... Elle est magnifique.

T un amour ... Si simple [terminée] anniv'sarah Am06_t
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MessageSujet: Re: Si simple [terminée] anniv'sarah   Si simple [terminée] anniv'sarah Icon_minitimeJeu 13 Avr - 16:59

Outin j'ai adoré Very Happy Je me souviens que tu m'avais parlé de l'idée, bah chu vach'ment contente de pouvoir la lire Mr.Red
Merciiiii de l'avoir écrite, outin j'en peux plus, je trouve ça trop mignon Razz
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MessageSujet: Re: Si simple [terminée] anniv'sarah   Si simple [terminée] anniv'sarah Icon_minitime

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