Under the appearances (Terminée)

AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH je le savais enfin enfin au revoir Elizabeth

Merci beaucoup pour cette suite j'adoreeee !!!

Tin trop bien j'ai hâte de lire la suite!!!!!!!

Par contre Corinne tu me fais peur avec ta suposition mdrrrr

Nan mais de toute façon si la Elizabeth fait qqchose je ne réponds plus de moi et là je pourrai devenir plus que très beaucoup mdr méchante!!!!

Harm ouvrit la porte de son appartement, la lumière n’était pas éteinte. Elizabeth était assise sur le canapé lisant un livre, elle l’attendait.

Elizabeth :-C’était bien le sport ?

Harm :-très bien.

Elizabeth :-tu es un très mauvais menteur.

Elle se leva et alla le rejoindre.

Elizabeth :-tu n’as pas fais que du sport, tu as été la voir

Harm :-De quoi tu parles ?

Elizabeth :-Arrêtes, je sais que ce n’était qu’un alibi.

Harm écoutes ce n’est pas ma faute si vos engins ne marchent pas, je n’ai pas vu Mac.

Elizabeth :-un de nos agents t’as vu.

Harm :-Modification. TU m’as fait suivre. Effectivement, je ne suis pas resté à la salle de sport, j’ai croisé un ami de l’académie et on a décidé d’aller boire un verre. C’est tout, si tu veux je te donne son nom et tout ce qu’il faut pour avoir la preuve.

Elizabeth le fixa un long moment, elle essayait de distinguer si il mentait, bizarrement elle n’avait pas l’impression qu’il mentait.

Elizabeth :-la prochaine fois, préviens nous. Je vais me coucher, tu me rejoins ?

Harm :-non, je vais dormir dans le salon, comme d’habitude.

Elizabeth :-Pour une fois, dors dans ton lit au lieu du canapé-lit, tu sais (elle commença à caresser son torse) ça te ferait du bien d’avoir des relations.

Harm (l’éloignant de lui) :-je n’ai aucun sentiment pour toi, et je n’en ai pas envie, tu ne m’attire pas. Crois moi, quand tout ça sera finit, tu n’existeras plus dans ma vie.

Elizabeth fut surprise, aucun homme ne lui avait résisté auparavant, sauf ce capitaine de la NAVY. Elle alla dans la chambre et se coucha en jurant qu’elle ne se laisserait pas avoir.

Harm pendant ce temps, repensa à sa soirée avec Mac. C’était si bon de la revoir, et surtout il avait pu tout lui dire. Il se sentait soulagé, elle savait tout. Il l’aimait tellement. Elle avait changé physiquement, elle avait perdu du poids et ça se voyait facilement. Pourtant il la trouvait toujours aussi belle et puis il l’amènerait mangé les plus grosses pizza et les plus gros hamburgers qu’elle ai jamais mangé. Il sourit à tout ça, et ferma les yeux, rêvant de sa Sarah, qui était en vie et près de lui.

****

QG du JAG

Sarah s’assit à son bureau, elle avait repris cette habitude, les stores étaient mi ouverts, ainsi elle pouvait voir le plateau et observer ses collègues. Son regard était fixé sur un bureau en particulier, celui de Harm.

Elle était heureuse, il lui avait tout dit, il l’aimait encore, elle, Sarah Mackenzie et pas cette Elizabeth. Sarah posa sa main sur ses lèvres, elle avait encore le goût des siennes. Cette sensation lui avait tellement manqué, elle avait survécu grâce à lui. Mais elle ne lui avait pas tout dit. Sa main se posa sur son ventre où se trouvait sa cicatrice. Elle devait lui parler, lui avouer.

Un quartier maître tapa à sa porte pour lui dire que l’amiral voulait la voir. Elle se leva et au moment où elle traversait le plateau, Harm la rejoignit.

Harm :-Salut.

Sarah :-Salut.

Harm :-L’amiral veut me voir aussi.

Sarah :-je me demande pourquoi ?

Harm ça va ?

Sarah :-oui, surtout depuis hier.

Ils se sourirent avant d’aller dans le bureau de l’amiral. Ce dernier était assis derrière son bureau et semblait soucieux.

Amiral :-asseyez vous.

Il les fixa un long moment.

Amiral :-Webb vient de me dire que les trafiquants sont ici aux USA, nous allons devoir être très vigilants, surtout pour vous Mac.

Sarah :-oui monsieur.

Harm :-Monsieur, étant donné que je suis sous la protection d’un agent, Mac devrai l’être aussi.

Amiral :-Attendez vous lui avez tout dit ?

Harm :-oui.

Amiral :-quand ?

Harm :-hier.

Amiral :-Rabb, vous êtes….

Harm :-insouciant ? Je sais, monsieur je pense que Mac devrait venir chez moi. Pour plus de sécurité.

Amiral:-vous croyez ?

Harm :-j’en suis sur Monsieur, Elizabeth nous surveillerais ou plutôt nous protègerais tout les deux, ainsi.

AJ fixa un instant ses deux subordonnées. Il soupira.

Amiral :-d’accord, je vais m’arranger avec la CIA. Mais je ne veux plus d’imprudence dans ce genre. Suis-je clair ?

Harm & Sarah :-oui monsieur.

Amiral :-rompez.

Harm & Sarah :-A vos ordres.

A suivre.


Navré pour avoir tardé, mais j'ai aps trop avancé dans la fic et en plus j'ai un emploi du temps chargé. j'espère ke vous allez pas m'en vouloir

Ne pleure pas Majandraelo où je pleure avec toi

Tu as largement mérité de nous avoir fait attendre

Car cette suite est super

Et comme le dit Corinne,

je suis sur que Elizabeth ne va pas être ravie de voir arriver Mac

dans l'appartement de Harm

Bravo et Merci pour cette fic

Chapitre 10

Appartement de Harm

Elizabeth:-QUOI ? TU PEUX REPETER ?

Harm but une gorgée de son café et essaya de cacher son sourire. Il s’attendait à cette réaction.

Harm:-elle vient ici, tu dois te charger de notre sécurité à tous les deux.

Elizabeth:-qui a eu cette idée ?

Harm:-moi.

Elizabeth:-je n’arrive pas à croire qu’ils aient accepté. Et elle dormira où ?

Harm:-dans mon lit.

Elizabeth:-hors de question. JE dors dans le lit.

Harm:-attends t’as pas compris un truc. Tu n’es qu’un agent et tu es chez moi. ELLE dort dans mon lit et TOI sur le canapé.

Elizabeth:-tu dors sur le canapé je te signale. Je croyais que tu ne voulais pas que l’on dorme ensemble.

Harm:-je ne dormirais pas sur le canapé.

Elizabeth:-comment ça ?

Il posa sa tasse de café sur le plan de travail et se dirigea vers sa chambre.

Harm:-je dormirais, enfin, dans mon lit.

Elizabeth faillit faire tomber sa tasse. Lui et Sarah. Bien sur, elle n’y avait pas pensé, mais lui oui. Des coups à la porte la firent légèrement sortir de son énervement.

Harm:-va ouvrir, s’il te plait.

Elle se dirigea vers la porte, essayant de calmer son agacement. Elle qui croyait dominer la situation, ça semblait s’inverser. Mais elle n’allait pas se laisser faire. Elle ouvrit la porte et là, elle comprit. Elle ne pourrait pas inverser la situation.

Sarah:-bonsoir.

Elizabeth:-vous. Bien sur.

Sarah:-Harm ne vous a rien dit.

Elizabeth:-j’aurais préféré.

Harm avait reconnu la voix de Mac et était sorti de la salle de bain. Vêtu d’un jean et torse nu, il alla à la porte.

Harm:-Sarah, bonsoir.

Sarah:-Harm.

Il la prit dans ses bras, Sarah passa ses bras autour de son cou et posa sa tête sur son épaule. Elle en profita pour émettre un immense soupir qui était en quelque sorte destiné à Elizabeth.

Sarah:-merci de m’avoir accepté.

Harm:-tout le plaisir est pour moi.

Ils se séparèrent.

Harm:-fatiguée ?

Sarah:-oui un peu.

Harm:-tu as mangé.

Sarah:-j’avais pas trop faim, j’ai grignoté un petit truc.

Harm:-tu veux qu’on se commande une pizza ?

Sarah:-ouais. Ça te gènes pas que j’aille prendre une douche.

Harm:-non, je commande pendant ce temps. Comme d’hab.

Sarah:-ouais.

Elle alla vers la chambre et Harm ferma la porte.

Harm:-bon, où est le téléphone que je passe commande.

Elizabeth:-je vois.

Harm:-quoi ?

Elizabeth:-si tu crois que ça va me tuer votre petit jeu. Tu te trompes.

Harm:-on verra.

Harm prit le téléphone et composa le numéro de téléphone d’une pizzeria.

A suivre.

J'adore : Harm et Mac qui font tout pour qu'Elizabeth devient folle

Je sens que la cohabitation ne va pas très bien se passer

Il y en a une qui va se faire viré illico presto

Merci pour cette suite Majandraelo

Et elle superbe

Chapitre 11

Elizabeth s’assit sur le canapé, un livre dans les mains, et elle regarda Harm ouvrir la porte pour récupérer les pizzas.

Sarah:-hmmm ! ça sent bon. Ce sont les mêmes que d’habitude ?

Harm:-ouais. Une végétarienne et une reine.

Sarah:-parfait. Je coupe les parts.

Harm:-tu sais que je mangerais que la végétarienne.

Sarah:-c’est vrai.

Elle posa les boites de pizza sur le comptoir de la cuisine. Elle ouvrit les boites et prit un couteau pendant que Harm prenait des assiettes.

Sarah:-Elizabeth, vous voulez une part de laquelle ?

Harm regarda Sarah étonné. De son côté Elizabeth était elle aussi étonnée, très surprise du geste de Sarah.

Elizabeth:-euh….comment ça ?

Sarah:-oui. Aucun de nous n’a mangé, je suppose que vous aussi, on va pas vous laisser mourir de faim et puis à deux on mangera pas deux grosses pizzas, alors autant vous demander. Et puis, vous allez passer la nuit sur le canapé.

Harm comprit alors que Sarah avait envie d’enterrer la hache de guerre.

Elizabeth:-euh…..un peu des deux en faites. Moi et les légumes…

Sarah:-je comprends moi aussi.

Harm:-bande de carnivores.

Sarah:-c’est un droit naturel, Harm.

Il lui sourit et mit les parts d’Elizabeth dans une assiette et la lui amena.

Elizabeth:-merci.

Sarah:-au faites, on a une idée de l’endroit où les trafiquants sont ?

Elizabeth:-pas pour le moment. On les observe pendant un moment pour mieux les attaquer.

Sarah:-oui, je connais les techniques de la CIA. On a travaillé de la même manière là-bas.

Elle se mit à bailler d’un coup.

Harm:-eh…..tu devrais manger et aller te coucher.

Sarah:-je suis pas contre. Désolé Elizabeth. Bonne soirée.

Elizabeth:-oui, bonne soirée.

Sarah prit son assiette et alla dans la chambre.

Elizabeth se leva et alla derrière le comptoir de la cuisine pour prendre de l’eau.

Elizabeth:-je comprends mieux, maintenant.

Harm:-quoi ?

Elizabeth:-je comprends pourquoi tu as craqué pour elle. Elle est gentille. Vraiment gentille.

Harm:-oui, c’est vrai.

Elizabeth:-tu te rends compte qu’elle m’a parlé, m’a offert une part de pizza. Ce n’est pas grand-chose mais vu la situation, c’est un grand geste.

Harm:-je sais. Elle est adorable et généreuse.

Elizabeth:-tu devrais essayer de lui parler, de ce qu’elle a vécu. Je suis agent de la CIA et je sais que ce genre de missions n’est pas quelque chose que l’on oublie, ça nous hante. Le fait qu’elle ai accepté aussi rapidement de venir ici, ce n’est pas juste parce qu’elle voulait être avec toi dans un sens physique. C’est parce qu’elle a vraiment besoin qu’on l’aide à extérioriser ça.

Harm:-woaw. Tu deviens psychologue dis moi.

Elizabeth:-non, mais j’essaie de comprendre. Allez, va la rejoindre.

Elle but son verre avant de retourner à son livre sur le canapé. Harm sourit et prit également son assiette pour rejoindre Sarah dans la chambre.

Harm:-eh…ça va ?

Sarah:-ouais.

Il s’assit à côté d’elle.

Harm:-ça rappelle des tas de choses, hein ?

Sarah:-ouais. C’était si bien.

Elle soupira et mordit dans sa pizza.

Sarah:-tout redeviendra comme avant n’est ce pas ?

Harm:-oui, je te le promets.

Sarah:-ne fais pas de promesses que tu ne tiendra pas.

Harm:-ça ne m’est encore jamais arriver, Sarah.

Cette déclaration leur tira un doux sourire à l’évocation de cette promesse.

Harm:-merci pour ce que tu as fait pour Elizabeth.

Sarah:-cette femme t’as protégé depuis le début. Et puis demain, je ne travaille pas et elle non plus, avec un peu de ‘chance’ on va se retrouver toutes les deux, ensemble. Vaut mieux être sur de bonne base.

Harm:-ouais. En tout cas, c’était super. Je crois qu’elle a beaucoup apprécié.

Sarah:-moi aussi, je crois.

Elle bailla de nouveau et finit rapidement son morceau de pizza.

Sarah:-je crois qu’il est l’heure que je me couche.

Harm:-bonne idée.

Ils posèrent leur assiette sur le sol et s’allongèrent sous la couette. Instinctivement, Mac se réfugia dans les bras chaud de Harm.

Sarah:-comme ça m’a manqué.

Harm:-à moi aussi.

Elle déposa un baiser sur son cou près de son oreille et lui murmura un ‘je t’aime’ avant de fermer les yeux et de s’endormir profondément.

A suivre

Chapitre 12

Le soleil pénétra dans l’appartement. Les rayons chauds réveillèrent délicatement Sarah, elle ouvrit lentement ses yeux pour se retrouver seule dans le lit. Elle se leva et reconnut immédiatement la chambre de Harm mais il n’était pas là. Cependant, le bruit de la douche depuis la salle de bain, elle jeta un coup d’œil dans le salon, Elizabeth dormait encore. Elle alla dans la salle de bain et vit Harm qui sortait de la douche. Ce dernier ne l’ayant pas entendu arriver sursauta.

Harm:-tu m’as fait peur.

Sarah:-j’ai vu ça. Tu vas travailler ?

Harm:-oui. Tu as bien dormi ?

Sarah:-très bien. Ça m’a rappelé de bon souvenir.

Harm:-a moi aussi. J’espère que tout cela sera bientôt fini.

Sarah:-et moi donc.

Sarah s’appuya contre le mur pendant que Harm s’habillait. Elle le fixa, puis s’avança doucement vers lui.

Sarah:-laisse moi faire.

Elle boutonna sa chemise commençant par le bas et remontant vers le haut.

Harm:-normalement c’est l’inverse que tu faisais.

Sarah:-je sais. Je reprendrais mes habitudes plus tard. En attendant tu dois te préparer pour aller travailler.

Harm:-j’ai rendez vous avec Webb à 10 heure, je crains le pire.

Sarah:-vraiment ?

Harm:-disons qu’il ne m’aime pas vraiment, je crois qu’il est jaloux.

Sarah:-jaloux de toi ? Pourquoi ? Qu’est ce que tu as fait ?

Harm:-et bien, j’ai une très belle femme, intelligente, drôle, la plus sexy du monde dans ma vie.

Sarah:-ah, ok. Que d’éloges d’Elizabeth.

Harm:-très drôle. Tu sais que je parle de toi.

Sarah:-y a intérêt.

Elle passa sa cravate autour de son cou et fit le nœud, quand ce fut fait elle le tira à elle et l’embrassa.

Sarah:-je t’aime.

Harm:-je t’aime aussi.

Il la serra tendrement dans ses bras, Sarah respira l’odeur fraîche de son eau de toilette. Elle vit alors son reflet dans le miroir. Elle n’avait toujours pas trouvé le courage de tout lui dire. Elle était heureuse avec lui mais sous les apparences se cachait cette douleur. Elle ne devait pas y penser, surtout quand il était là, en tout cas elle devait essayer de ne rien dire. Pour l’instant. Ils se séparèrent

Harm:-je dois y aller, je te retrouve ce soir.

Sarah:-ok.

Harm vit que quelque chose n’allait pas chez elle.

Harm:-ça va ? T’as l’air…. Triste ?

Sarah:-c’est le fait que tu t’en ailles. Tu vas me manquer. C’est tout.

Harm:-sur ?

Sarah:-oui, ne t’inquiètes pas.

Ils sortirent de la salle de bain, Harm récupéra son attaché case et descendit les marches pour aller à la porte. Arriver dans le salon, ils virent qu’Elizabeth était réveillée.

Harm:-salut.

Elizabeth:-bonjour.

Sarah:-bonjour.

Harm ouvrit la porte et se retourna pour regarder Sarah. Elle s’appuya contre la porte.

Harm:-essaie de passer une bonne journée.

Sarah:-promis. On va en profiter pour faire connaissance, après tout. Elle et moi t’avons en commun.

Harm:-Sarah.

Sarah:-je plaisante.

Harm:-je t’aime.

Il se pencha et déposa un baiser sur ses lèvres.

Sarah:-je t’aime. A ce soir.

Harm:-bye.

Il partit et lorsqu’il fut dans l’ascenseur Sarah ferma la porte en soupirant. Automatiquement, son regard tomba sur Elizabeth qui la regardait depuis la cuisine, elle souriait.

Sarah:-quoi ?

Elizabeth:-rien. Tout les deux……c’est étrange. Je vais faire du café vous en voulez ?

Sarah:-volontiers, mais je voudrais prendre une douche d’abord.

Elizabeth:-moi aussi et puis je dois ranger un peu. Sinon Harm va s’énerver, lui et le rangement.

Sarah:-c’est vrai. Je vous laisse la douche en premier comme ça je peux faire le lit et….

Elizabeth:-pendant que vous prenez votre douche je pourrais faire le café et ranger.

Sarah:-exactement.

Elizabeth:-parfait.

Elizabeth récupéra des vêtements propres pendant que Sarah allait dans la chambre.


A suivre

bah je dois juste dire que j'adore ta fic! et merci pour les 2 xhapitres et merci aussi de nous é crire desi belle fics ! vivement la suite !

Chapitre 13

Bud:-bonjour monsieur.

Harm:-bonjour Bud. Comment ça va ?

Bud:-très bien et vous ?

Harm:-ça peut aller.

Bud voulait lui demander quelque chose cependant il hésitait et Harm le vit.

Harm:-alors, posez moi cette question qui vous brûle les lèvres.

Harm entra dans son bureau et posa sa mallette sur son bureau.

Bud:-et bien…..on raconte que…..le colonel aurait dormi chez vous hier soir.

Harm:-c’est la vérité.

Bud:-mais…..il y a Elizabeth….et….

Harm:-Bud, c’est…..compliqué, croyez moi.

Bud:-et comment vous vivez cela ?

Harm:-plutôt bien je dois dire.

Bud:-en tout cas….si vous avez besoin de parler….

Harm:-merci, Bud.

Il lui sourit et Bud partit. C’est vrai. La situation était très compliquée. Un sourire s’afficha sur son visage quand il pensa à Mac et Elizabeth dans son appartement. Seules. Toutes les deux.

Amiral:-qu’est ce qui vous fais sourire, capitaine.

Harm:-monsieur. Rien.

Amiral:-vous souriez sans raison.

Harm:-euh….non ce n’est pas ça.

Amiral:-comment c’était ? Hier soir. Comment était la situation entre Elizabeth et Mac.

Harm:-assez bizarre. Elles ne se sont pas entre tués. Mac s’est même montrée gentille envers Elizabeth et vice versa si on peut dire. En ce moment même, elles sont toutes les deux, ensemble à la maison.

Amiral:-prions pour que tout se passe bien.

Harm:-oui, j’ai vraiment envie que tout ça se finisse. On a du nouveau ?

Amiral:-je l’ignore, Webb a juste dit que nous devions le voir à 10 heure mais c’est tout.

Harm:-je veux que tout redevienne comme avant.

Amiral:-je crois que nous souhaitons tous ça. Et, Mac. Comment va-t-elle ?

Harm:-bien, enfin je crois. Elle semble heureuse.

Amiral:-vous devriez lui parler. Elle a vécu des choses là bas qui ont du la marquer, non pas physiquement mais aussi psychologiquement. Il ne faut pas se fier aux apparences.

Harm:-je le sais Amiral.

Amiral:-alors faites attention. Mac est forte et elle peut nous cacher beaucoup de choses. Ça pourrait la détruire. Pour l’instant tout semble bien se passer, mais à un moment donné quand nous serons proche de la fin, tout va aller plus vite. C’est là qu’elle risque d’être affectée.

Harm:-je prendrais soin d’elle amiral. Ne vous inquiétez pas.

Amiral:-parfait. Bon je vous laisse travailler.

Harm:-oui monsieur.

L’amiral ferma la porte après son départ. Harm s’assit sur son fauteuil, il n’ouvrit pas de dossier, mais il réfléchit.

Mac avait paru faible ce matin, mal à l’aise, triste, il ne pouvait vraiment l’expliquer. L’amiral avait raison, quelque chose se cacher en dessous de ce bonheur. Mais quoi ?

Pas une seule fois depuis son retour ils n’avaient vraiment discuté de ce qu’elle avait vécu là bas. Il voulait savoir.

*****FB****

Ils étaient allongés sur le sol du salon de l’appartement de Sarah, fixant le plafond et profitant de la présence de l’autre.

Sarah:-Harm ?

Harm:-mmmm

Sarah:-tu crois que les autres réagiront comment quand ils vont savoir pour nous.

Harm:-bonne question. Je crois que l’amiral me tuera et qu’Harriet me crèvera les tympans. Quant à Sturgis…..lui il me demandera des détails.

Ils rirent de bon cœur.

Sarah:-tu les lui donnera ?

Harm:-pas tous. Je te le promets.

Sarah:-bien.

Elle lui sourit avant de se tourner et de l’embrasser, puis elle prit sa chemise, l’enfila et se leva. Harm toujours allongé la regarda faire sans bouger.

*****FIN DU FB*****

Ce souvenir lui amena un immense sourire sur les lèvres, à cette époque là, tout allait bien entre eux. C’était parfait.

Il devait tout faire pour revenir à cette vie là.

a suivre

Chapitre 14

Sarah venait de finir de s’habiller, elle traversa la chambre pour aller dans le salon. Elizabeth était derrière le comptoir de la cuisine en train de servir le café. Sarah s’assit sur un des tabourets et prit la tasse que lui tendait l’agent de la CIA.

Sarah:-merci.

Elizabeth:-faites attention, il est assez fort.

Sarah:-parfait, j’aime bien quand le café est fort.

Elizabeth:-Harm déteste ça.

Sarah:-je sais. Il ne me laissait jamais le préparer ou alors il préférait que je fasse du thé.

Elizabeth:-ça doit vous manquer.

Sarah:-quoi ?

Elizabeth:-la vie que vous aviez avant.

Sarah:-on la retrouvera quand ça sera finit.

Elizabeth:-non. Vous retrouverez votre vie mais ça ne sera pas pareil. Les choses changent.

Sarah:-je ne laisserai pas Harm.

Elizabeth:-je ne parle pas de ça. Là bas, vous avez vécu un enfer. Ne faites pas l’étonnée. Je suis un agent de la CIA. Je sais ce qui peut se passer, inutile de se cacher derrière des apparences.

Sarah:-oui.

Elizabeth:-Sarah, si vous avez besoin de parler, vous pouvez me le dire. Je suis dans la confidence de cette enquête.

Sarah:-pourquoi vous faites ça ?

Elizabeth:-parce que….

Elle s’arrêta puis fixa son café, elle en bu une gorgée mais elle ne reprit pas la parole.

Sarah:-pourquoi ?

Elizabeth:-j’ai vécu une affaire semblable. Mon petit ami était aussi un agent, notre chef n’appréciait pas. Alors j’ai eu une mission, j’ai été portée disparue puis je suis revenue. J’étais dans un état pitoyable et lui, et bien….il a refait sa vie, peu de temps après mon retour.

Sarah:-désolé.

Elizabeth:-je sais que j’ai été une vrai pétasse mais…..mon but c’est de protéger Harm. J’avoue que j’ai un faible pour lui, il est sexy. Cependant, j’ai bien compris qu’il n’a que vous. Alors pour évitez que le jour où il perde espoir il aille voir une autre fille, j’agissais comme celle qui pourrait l’être. Mais je n’ai jamais eu l’intention d’avoir quelque chose avec lui, car je savais que si vous l’aimiez autant que lui vous aime, vous reviendriez. Car c’est la raison pour laquelle j’étais revenue.

Sarah resta bouche bée, ne sachant que dire.

Sarah:-et bien….je…. je suis surprise. Sans vouloir vous vexer…..je croyais que vous étiez vraiment….une pétasse.

Elizabeth:-y a pas de mal. Alors. Dites moi tout.

Sarah but une gorgée de son café.

Sarah:-j’ai…..j’étais enceinte. Je l’ignorais quand je suis partie, mais une fois sur place je l’ai découvert, je voulais rentrer mais Webb voulait que je fasse une dernière chose. Une dernière enquête. C’est lors de cette enquête que j’ai été kidnappée et mise en prison. Le mal traitement que j’ai eu…..m’a conduit à une fausse couche. (Une larme roula sur sa joue) J’ai perdu le bébé. Une femme là-bas, s’est occupée de moi. Elle m’a soignée. Et je me dis que si je n’avais pas accepté, je serais en ce moment même en train de jouer avec mon bébé.

Elizabeth:-oh, je suis désolé.

Sarah:-c’est pas grave.

Elizabeth:-Webb le savait.

Sarah:-oui, il a vu le test de grossesse.

Elizabeth:-il est jaloux de Harm. De le savoir avec vous, ça le rend malade. J’ai peur qu’il vous ait envoyé dans une mission dangereuse juste pour ça.

Sarah:-il le ferait ?

Elizabeth:-oui. Je suis sortie avec lui et il déteste perdre, c’était lui le chef de ma mission.

Sarah:-je vois. Merci en tout cas.

Elizabeth:-pas de problème. Tout ça va être finit. Enfin.

Sarah:-en fin de compte je vous aime bien.

Elizabeth:-merci.

Elles rirent avant de boire leur café tout en discutant.

Au fil de la conversation, les barrières entre elles s’écroulaient petit à petit. Et une amitié commençait à naître.

A suivre

désolé, d'avoir mis tant de temps mais voilà enfin la suite, le reste demain

Chapitre 15

Harm n’arrivait à se concentrer sur son dossier, il s’impatientait. Il devait voir Webb d’ici quelques minutes et il souhaitait que ce dernier lui annonce de bonnes nouvelles. Du genre, qu’ils avaient arrêté les trafiquants.

Finalement, il se leva et alla se servir un café, il n’y arrivait pas. C’était trop dur. Il s’appuya contre le comptoir de la cuisine. Il ne cessait de penser à Mac et Elizabeth, toutes les deux seules. Il s’inquiétait de ce qui allait se passer entre les deux femmes.

Sturgis entra et remarqua de suite le visage inquiet de son ami.

Sturgis:-Salut. Comment ça va ?

Harm:-Sturg’. Ça peut aller.

Sturgis:-alors comme ça ta femme est avec Mac chez toi.

Harm:-ouais. J’en ai marre.

Sturgis:-heureusement que je sais ce qui se passe sinon…..

Harm:-tu ne dois rien dire, j’avais pas le droit de t’en parler et tu le sais et j’espère que tu n’as rien dit.

Sturgis:-je te le jure Harm, je ne dirais rien.

Harm:-Merci. J’ai rendez vous avec Webb.

Sturgis:-tu penses que c’est une bonne nouvelle ?

Harm:-avec Webb, il faut prier pour avoir des bonnes nouvelles.

Sturgis:-en tout cas, bon courage.

Harm:-je vais en avoir besoin.

Il prit son portable et appuya sur la touche qu’il préférait celle qui composait LE numéro.

*************

Appartement de Harm
Au même moment.

Elizabeth:-si je peux vous donner un conseil Mac, ne gardez rien pour vous. Dites le à Harm. Il sait qu’il y a quelque chose, ça se voit.

Sarah:-je le sais, j’ai juste peur de le perdre.

Elizabeth:-faut prendre le risque, il vous aime. Ne vous inquiétez pas de…..

La sonnerie de l’entrée les coupa. Elles se regardèrent intrigués, puis Elizabeth prit son arme et s’avança vers la porte, elle regarda à travers le judas et vit un livreur. Elle ouvrit la porte tout en cachant derrière sa main gauche qui tenait toujours son arme au cas où.

Elizabeth:-bonjour.

Livreur:-Bonjour. Vous êtes Sarah Mackenzie.

Sarah se leva et alla à côté d’Elizabeth.

Sarah:-c’est moi.

Livreur:-C’est pour vous.

Il lui tendit un grand bouquet de fleurs et lui fit signer le reçu.

Elizabeth ferma en suite la porte.

Elizabeth:-ça vient de Harm ?

Sarah:-je pense mais y a pas de cartes.

Elizabeth:-bizarre.

Le portable de Sarah sonna, elle posa le bouquet sur le comptoir de la cuisine et alla répondre.

Sarah:-allo ?

{Harm:-Sarah. C’est moi}

Sarah:-Harm. Comment ça va depuis ce matin ?

{Harm:-ça peut aller. Et toi ?}

Sarah:-ça va. Au faites merci.

{Harm:-Merci ? pourquoi ?}

Sarah:-pour le bouquet.

{Harm:-quel bouquet ?}

Sarah:-le bouquet de rose que tu m’as envoyée.

{Harm:-Sarah. Je ne t’ai pas envoyé de fleurs.}

Sarah:-quoi ? mais alors qui.....

Elle se retourna et croise le regard inquiet d’Elizabeth qui soudain vira à la peur.

Elizabeth:-Sarah, ouvrez la fenêtre.

Elle s’exécuta.

{Harm:-Sarah, qu’est ce qu’il y a ?}

Mac s’éloigna et Elizabeth jeta le bouquet par la fenêtre.

Elizabeth:-A terre.

Il y eut une détonation et le bouquet explosa.

{Harm:-Sarah ? SARAH ?}

Sarah:-je suis là. Mon dieu, c’était quoi ça Elizabeth.

Elizabeth:-passez moi le téléphone.

Elle le prit.

Elizabeth:-Harm. Dites à Webb de restez au JAG. Je dois le voir au plus vite. Retenez le. On arrive.

Elle raccrocha et rendit le téléphone à Sarah.

Elizabeth:-c’était un piège, il y avait une mini bombe. Ils ont du tout découvrir. On passe à une étape supérieure. On part au JAG.

Elle se releva et récupéra ses affaires. Pendant que Sarah se relevait encore choquée.

Sarah:-Elizabeth.

Elizabeth:-quoi ?

Sarah:-merci…..de m’avoir….Sauver.

Elizabeth:-C’est mon job. On y va.

A suivre.

Chapitre 16

Elles arrivèrent au JAG, quelques minutes plus tard. Elles entendirent directement Webb qui hurlait pour savoir pourquoi on le retenait au JAG. Il se calma quand Mac et Elizabeth rentrèrent dans le bureau de l’amiral.

Webb :-Nom de Dieu qu’est ce que…..

Elizabeth :-ils savent. Ils ont envoyé un bouquet de roses avec une mini bombe. Si Harm n’avait pas appelé on aurait pu prendre ça pour un cadeau de lui et la bombe nous aurait tuées.

Harm :-Quoi ?

Elizabeth :-dis moi la vérité. Ils sont ici.

Webb marqua un temps d’arrêt où il ne dit rien.

Webb :-oui, ils sont ici. J’étais venu pour dire à l’amiral et Harm qu’on devait accentuer le système de protection mais là c’est pire que tout. Si ils ont retrouvé Mac c’est grave. Ce que Sarah nous a dévoilé sur ce qu’elle avait trouvé est capital.

Elizabeth :-en clair, on doit les retrouver d’ici 24h, sinon.

Webb :-ouais.

Harm :-comment on procède ?

Webb :-il y a un moyen mais vous risquez de ne pas l’aimer.

Harm :-si c’est : se servir de nous en tant qu’appât.

Webb :-il n’y que cette solution.

Elizabeth :-on peut le faire, je resterais avec Sarah. Je la protègerais. On n’aura qu’à rester au JAG plus tard ce soir. Si on n’est que toutes les deux, ils viendront. Mais vous ne serez pas loin et on pourra les coincer.

Harm :-c’est dangereux.

Elizabeth :-on n’a que ça comme solution. Harm, tout peut s’arrêter ce soir.

Harm :-non.

Sarah :-oui.

Harm :-quoi ?

Sarah :-on prend le risque. Ça fait trop longtemps que ça dure. On a déjà vécu des situations comme ça, certes moins pires mais presque identiques.

Harm :-c’est hors de question que tu fasse ça.

Sarah :-Harm.

Elizabeth :-on va vous laisser parler entre vous.

Elle, Webb et l’amiral se dépêchèrent de sortir de la pièce sachant qu’être dans la même pièce qu’un Marin’s et un marin en colère relevait du suicide.

Harm :-Sarah, je ne veux pas te perdre.

Sarah :-tu ne me perdras pas. Ecoutes moi…..tu me manques, ma vie me manque. Tout ce que l’on partageait ensemble avant. Je veux….tout ce que l’on s’était promis, Harm. Et si ce soir ça se finissait.

Harm :-et si au contraire, tout ne faisait qu’empirer.

Sarah :-on doit prendre ce risque.

Elle s’approcha de lui.

Sarah :-Harm……j’étais enceinte.

Harm :-quoi ?

Sarah :-pendant mon emprisonnement, j’é….j’étais enceinte. J’ai perdu le bébé. A cause du mauvais traitement que j’ai eu là-bas. Je ne te l’ai pas dit parce que j’avais peur. Je veux….je veux qu’on ai un autre enfant, je veux ce petit être…..

Harm :-quand l’as-tu su ?

Sarah :-je l’ai su…..

Voilà c’était la question qu’elle redoutait tant.

Sarah :-quand…..un peu avant que je ne fasse l’opération où je me suis fait enlever.

Harm :-tu savais que t’attendais un enfant et toi tu es partie en mission.

Elle s’éloigna de lui.

Sarah :-je le savais. Voilà pourquoi je ne voulais rien dire. J’avais trop peur de ça. De cette réaction. Je sais que c’est une réaction normale. Je t’aime Harm et je comprendrais la décision que tu vas prendre à mon sujet. En attendant j’accepte l’alternative de Webb parce que j’ai envie que tout s’arrête et j’ai envie d’être de nouveau enceinte et de faire ma vie avec toi. C’est tout ce que je peux te dire.

Il la regarda fixement et respira fortement.

Harm :-ok. On le fait. On fait la mission ce soir.

Sarah :-d’accord.

Harm :-et on reparlera de tout ça plus tard.

A suivre

chapitre 17:

Sarah éteignit l’écran de l’ordinateur et s’enfonça dans son fauteuil. Plus que quelques minutes. Elle se frotta les yeux pour faire passer ce mal de tête qu’elle avait, à force de rester devant un ordinateur, voilà ce qui arrivait.

Elle vérifia que l’arme dans son tiroir était chargée. Soudain elle entendit un bruit, provenant des escaliers. Elle retira le cran de sûreté et la cacha dans son dos. Elle leva les yeux et vit quelqu’un qui se dirigeait vers son bureau.

Au fur et à mesure elle distinguait son visage, elle fit comme si elle était plongée dans son travail.

X : Bonjour Sarah.

Elle releva la tête et croisa le regard machiavélique de l’homme en face d’elle.

X : tu te souviens de moi.

Sarah : Lieutenant Roberto Pena. Envoyé au moyen orient et qui baigne dans le trafic de drogues. Vous travaillez avec ce qui m’ont détenu.

Roberto Pena : Bravo Colonel. Malheureusement, mes amis arabes n’ont pas beaucoup aimé savoir que vous étiez encore en vie.

Sarah : alors comme ils vont porté leur plus gros coup ce soir, votre mission est de m’éliminer.

Roberto Pena : Vous êtes perspicace Colonel.

Il pointa son arme sur elle.

Sarah : juste une chose, l’entrepôt de Norfolk est bien le 45.

Roberto Pena : Comment……

Il s’arrêta quand il sentit une arme derrière sa tête.

Elizabeth : Lâchez votre arme lieutenant, ça ne sert à rien. Faites un seul geste brusque et on vous tue.

Sarah eut elle aussi le temps de pointer son arme face à lui.

Sarah : c’est fini Roberto.

Le lieutenant lâcha son arme et des hommes de la CIA arrivèrent pour le menotter et l’amener en prison.

Après qu’ils s’éloignèrent Elizabeth sourit à Mac.

Elizabeth : Bravo Mac.

Sarah : enfin tout est fini.

Elizabeth : Webb m’a appelé ils les ont arrêté à mon avis ils l’ont appelé juste avant pour vous tuer.

Sarah : ce qui m’a étonnée c’est que pendant qu’on enquêté là bas, ils avaient des informations que nous avions nous en tant que CIA.

Elizabeth : une taupe ?

Sarah : je crains.

Elizabeth : je me demande qui quand même, on l’aurait découvert, on est sur ce dossier depuis 8 mois, on l’aurait découvert.

Sarah : à moins que…..

Elizabeth : que ?

Sarah : que….ce soit le chef même de l’enquête.

Elizabeth : Webb ? Mais……oh, merde.

Sarah : quoi ?

Elizabeth : vous n’avez pas tort du tout.

Elle prit son portable et composa le numéro de leur aide.

Elizabeth : amiral…..vous êtes avec Rabb et Webb ? Ben alors, retournez vers eux et restez avec eux, surveillez Webb. Il pourrait être un traître….je ne sais pas monsieur….mais on avait déjà des soupçons et le fait que le Colonel pense la même chose…d’accord.

Elle raccrocha.

Sarah : Alors ?

Elizabeth : il reste avec eux. Je ne comprends pas pourquoi Webb ferait ça.

Sarah : sous les apparences certaines choses peuvent se cacher, c’est ce qu’il m’avait dit en Afghanistan. Je ne savais pas ce que ça pouvait dire à l’époque.

Elizabeth : on y va. On doit en avoir le cœur net.


Quai de norfolk.

Weeb : pourquoi on reste là amiral. ?

Amiral : top secret Webb. C’est quand même impressionnant qu’après 8 mois d’enquête on ne trouve rien que là en quelques jours vous avez tout eu.

Webb : et bien c’est normal nous avons eu beaucoup d’éléments.

Harm : c’était comme si il s’attendait à nous voir, vous avez remarqué.

Amiral : c’est vrai. En tout cas, le plan a fonctionné.

Webb : à merveille. Bon je vais y aller je ne sais pas pourquoi on doit attendre.

Il commença à partir.

Amiral : Mac et Elizabeth pense qu’il est un agent double.

Harm : quoi ? Un traître ?

Amiral : oui.

Harm : c’est étonnant pourquoi alors diriger toute la mission, si c’est….à moins qu’il ai à la fois trahi les trafiquant et nous.

Amiral : pour amasser l’argent.

Harm : on n’a qu’à le suivre.

Amiral : j’appelle Elizabeth.

Harm : vous avez l’air de bien vous entendre tout les deux.

Amiral : ça suffit capitaine.

a suivre

chapitre 18

La voiture roulait à grande vitesse à travers les rues noires de Washington. Clayton Webb affichait un grand sourire, son plan avait fonctionné, la preuve étant, les malles de billet dans son coffre. Avec sa voiture, il allait jusqu’à sa villa.

Un peu plus loin, l’amiral et Harm essayaient de le suivre.

Harm : Elizabeth sait où il va, elle pense qu’il se dirige vers une villa que son père avait quand il était petit.

Amiral : on va les croiser en chemin donc.

Harm : oui.


Clayton ouvrit la porte de la maison.

Webb : je suis rentré.

Il posa ses mallettes sur la table et alluma la lumière. Personne.

X : Bonsoir.

Il se retourna.

Webb : Elizabeth, tu es là.

Elizabeth : désolé, j’ai été retardé, Roberto est bien venu, il est derrière les barreaux.

Webb : et Mac ?

Elizabeth : assommée sur la banquette arrière.

Webb : bien, je crois que Rabb et l’amiral vont bientôt arriver, on pourra s’en débarrasser.

Elizabeth : parfait, mais j’ai une autre idée.

Webb : laquelle.

X : celle là.

Il ne bougea plus quand il sentit la pointe d’un pistolet sur son crâne.

Elizabeth : toi et moi on n’a pas vraiment la même idée de l’honneur.

Il se retourna et vit Sarah qui le tenait en joue.

Webb : mais…..

Sarah : comment as tu pu faire ça ? On croyait être tes amis et toi tu nous entraînes dans des missions à nous faire perdre la vie.

Elizabeth : ou celle de nos enfants. Tout ça pour de l’argent. C’est pathétique.

La porte d’entrée s’ouvrit brusquement.

Harm : Regardez qui on a trouvé, pas très loin.

Il poussa Mme Webb dans la pièce, elle regarda son fils.

Harm : la partie est finie Webb.

Mme Webb : je t’avais dit de ne pas travailler avec eux.

Webb : je n’avais pas le choix.

Elizabeth : bon cesse ce blabla.

Elle menotta Webb, pendant que Harm conduisait sa mère vers l’extérieur où des agents de la CIA les attendaient pour les embarquer.

Ils regardèrent la voiture s’éloigner.

Elizabeth : et voilà, c’est fini. Après 8 mois de long effort. Ça va ?

Harm : ouais. C’est juste tout ce poids qui retombe.

Sarah : on va pouvoir reprendre une vie normale.

Elizabeth : ou alors prendre un nouveau départ.

Sarah : c'est-à-dire ?

Elizabeth : je vais démissionner de la CIA, ce job commence à me dégoûter.

Harm : devient avocat au JAG, tu en as les capacités crois moi.

Sarah : ou alors un job qui permet de faire la liaison entre le JAG et la CIA.

Elizabeth : c’est à voir.

Harm : l’amiral t’engage volontiers.

Elizabeth : tu peux expliquer ce sourire.

Il secoua sa tête négativement.

Harm : on y va ?

Sarah : je te suis.

A suivre

Epilogue.

Elizabeth se servit une tasse de café, elle avait vraiment besoin de se détendre, cet appel du secnav lui avait vraiment pris la tête.

Elle se calma avec sa dose habituelle de caféine. Bien entendu, il s’était énervé suite à l’absence presque imprévu de Mac. Cette dernière avait accouché hier d’un petit garçon qui avait eu un bon mois d’avance. Harm passait le plus clair de son temps avec elle.

Elle sourit en pensant à ces deux là. Depuis l’affaire, tout semblait s’être arrangé pour eux. Ils s’étaient mariés, avaient emménagé ensemble et venaient d’avoir un bébé.

Elle de son côté était devenue leur amie. Sarah et elle faisaient souvent les magasins ou d’autres choses de femmes. Elle adorait cette nouvelle vie.

Ils n’avaient pas eu tort d’ailleurs, l’amiral semblait être attiré par elle. Il l’invitait souvent à dîner ou à sortir. Elle l’aimait bien en faites. Il était intelligent, stable. Bref, l’homme idéal.

Elle finit son café et retourna dans son bureau. Sturgis vient la voir quelques minutes plus tard.

Sturgis : El’, tu viens avec nous voir Mac à l’hôpital.

Elizabeth : pas maintenant, j’ai du travail.

Sturgis : on part dans une heure, tu es sûre ?

Elizabeth : je vais voir ce que je peux faire. Harriet est déjà allée chercher le cadeau ?

Sturgis : elle va venir te voir pour ça. Pour te le montrer je pense.

Elizabeth : parfait. Et avec Bobbi ça va ?

Sturgis : tranquille, je vais la demander en mariage.

Elizabeth : c’est vrai ? C’est génial.

Sturgis : et toi et l’amiral ?

Elizabeth : ça va. Ça avance doucement.

Sturgis : ben c’est bien. Bon je te laisse travailler que tu viennes avec nous voir Mac et puis si le Secnav te crie dessus tu t’en fiches.

Elizabeth : tu seras mon avocat au cas où.

Sturgis : promis.

Il lui sourit avant de sortir.

Sturgis était devenu son ami après que toute la mission lui soit expliquée, il avait enfin compris et avait vu en Elizabeth, une grande amie. SA meilleure amie.

Il l’avait aidé à s’intégrer à l’équipe. Au fur et à mesure les gens l’acceptaient. Puisque son identité avait été révélée, tout le monde avait vite appris à connaître cette jeune femme.

Harriet aussi avait été une personne décisive dans son intégration. Elle venait souvent la voir et puis Elizabeth connaissait les enfants Roberts maintenant.

Ils avaient tous compris que sous les apparences, les gens peuvent être très différent et qu’il ne faut pas se fier aux premières impressions. Elle était détestée par son statut de femme de Harm, mais maintenant, tout le monde l’avait accepté.

Car sous les apparences………..

FIN


alors je sais que bcp s'attendait à voir la discussion Harm/ Mac mais de toute façon, on sait komment ça se apsse, il discusse se déchire et finalement retourne ensemble. Vu ke C l'iD de la fic, ça sert à rien, on connait la chanson. Voilà

C la fin de cette fic à bientôt pour la prochaine (cf la bannière)