When the past come back [PG-13] (terminée)

Magasin

Sarah : Harm, vous êtes sûr. Je vous assure qu’une robe toute simple m’irait. Je n’ai pas besoin de robe aussi chic et chère.

Sarah était dans la cabine d’essayage d’un des plus beau magasin de haute couture de San Diego. En passant devant, elle avait eu le coup de foudre pour une magnifique robe mais en voyant le prix, elle avait détourné le regard. Mais Harm l’avait prise par la taille pour la faire rentrer dans la boutique, tout de suite les vendeuses leur avaient sautés dessus.

Et maintenant, elle se retrouvait avec justement La robe sur elle. Harm était de l’autre côté de la cabine et l’attendait. Sarah avait vu le regard des vendeuses et savait qu’elles le regardaient avec grande envie.

Harm : alors ? Vous me montrez ?

Sarah sourit en se regardant dans le miroir.

Sarah : ok. J’arrive.

Elle poussa délicatement le rideau et sortit de la cabine. Plus elle se dévoilait plus la bouche de Harm s’ouvrait.

Sarah : Alors ? Qu’en pensez vous ?

Harm : vous êtes….

Il ne trouvait pas les mots. Elle portait une robe bleu très clair, longue qui avait une fente sur le côté, dévoilant une grande partie de sa jambe gauche jusqu’à la cuisse.

Harm : Mac…on devrait aller à des mariages plus souvent.

Elle rit à ce léger trait d’humour mais intérieurement pensa que oui, elle voulait assister à plus de mariages avec lui, surtout si c’était leur mariage.

Sarah : Merci.

Une des vendeuses s’approcha.

Vendeuse : bonjour. Madame, cette robe vous va à merveille. Vous avez beaucoup de goût.

Harm : ça on peut le dire.

Il sourit à Mac. Lui donnant un de ses Flyboy grin.

Harm : allez. Retirez cette robe que je puisse vous l’offrir.

Sarah haussa les sourcils d’étonnement. La retirez.

Harm : oui….enfin…changez vous….euh dans la cabine…euh…

Sarah : j’avais compris, Harm.

Elle retourna dans la cabine et se mit à sautiller de joie. Heureusement que le rideau allait jusqu’au sol et qu’il ne pouvait la voir.

Elle retira donc la robe et remit ses affaires habituelles avant de sortir de la cabine avec le vêtement à la main.

La vendeuse prit donc la robe pour aller à la caisse laissant Harm et Mac seuls.

Sarah : Harm, vous n’êtes pas obligé.

Harm : je ne me sens pas obligé. Je veux vous faire plaisir, vous aimez cette robe, elle vous va très bien. Et je….je veux que vous les épatiez tous à ce mariage.

Sarah : woaw. Merci.

Il commença à aller vers la caisse et Sarah se dépêcha de le suivre. Ils étaient devant les vendeuses et en voyant leur regard Sarah eut une idée.

Sarah : Harm.

Harm : quoi ?

Elle posa sa main sur sa joue et approcha ses lèvres des siennes. Elle lui donna un doux baiser et jeta un coup d’œil rapide aux femmes qui étaient plus que jaloux. Elle passa alors ses bras autour de sa nuque et approfondit le baiser, sa langue forçant l’entrée de sa bouche.

Harm répondit au baiser et posa ses mains sur sa taille, la rapprochant de cette manière de lui. Ils se séparèrent à bout de souffle et il fixa alors profondément dans ses yeux.

Sarah : merci pour tout.

Harm : de rien.

Sarah se tourna vers les vendeuses et leur sourit pendant que Harm payait. Elle passait ensuite sa main dans la poche arrière du jean de Harm qui fut surpris par ce geste. Mac se rapprocha de lui et posa sa tête sur son épaule en attendant qu’il finisse, quand ce fut fait, ils sortirent de la boutique.


Harm : je peux vous poser une question ?

Sarah : vous venez de le faire.

Ils rirent.

Sarah : allez y.

Harm : pourquoi…pourquoi ce baiser ?

Sarah : pour vous remercier.

Harm : et………votre main…….dans la poche de mon jean ?

Sarah : comme ça.

Il sourit et se mordit la lèvre inférieure.

Sarah : quoi ?

Harm : vous mentez. Avouez que c’était pour énervez les vendeuses. Vous vouliez les rendre jalouse.

Sarah : un peu.

Harm : vous êtes jalouse Mac ?

Sarah : non. Mais je déteste le regard de ces femmes. Quand je vois ça, j’ai l’impression que vous êtes un coq dans une basse cour. Vous savez avec toutes ces poulettes en chaleur qui tournent autour.

Harm sourit encore plus et passa un bras autour de la taille de Mac pour la rapprocher. Il se pencha doucement vers son oreille.

Harm : et vous, vous êtes une de ces poulettes ?

Sarah : Harm ?

Elle lui donna une petite tape sur l’épaule.

Harm : quoi ?

Sarah : moi, je ne suis pas en chaleur.

Harm : j’aimerais voir ça.

Sarah : Capitaine.

Elle lui sourit et s’approcha de son oreille.

Sarah : soyez patient et attendez au moins qu’on soit à la maison.

Harm la regarda surpris et ne put résister à son sourire.

A suivre.

oh la jalouse , elle est amoureuse!!!!!
sont mimi ces deux la j ai hate de voir comment ca evolue

J'ai souri du début à la fin avec ce chapitre!!
J'adore comme ils se comportent l'un envers l'autre!

ce nouveau chapitre s'inspire d'une expérience vécu il n'y a pas longtemps.

Chapitre 12

Le vent entrait par les fenêtres ouvertes de la maison, Harm était assis sur le canapé du salon attendant Mac qui se trouvait à l’étage pour s’habiller. Le mariage avait lieu vers 15h30 à la mairie de San Diego, ensuite tous devaient aller dans la maison des mariés où les invités partageraient un buffet avant le dîner.

Harm entendit des bruits de pas dans les escaliers, Sarah descendait le rejoindre, il était impatient de voir comment elle serait. Même si il avait vu la robe, il ignorait comment elle se serait coiffée.

Sarah : alors ? Qu’en pensez vous ?

Il se leva et se retourna pour la voir, elle avait un petit sourire sur le visage et Harm crut qu’il allait tomber à la renverse. Avec sa robe bleue, elle avait attaché le dessus de ses cheveux par un fin élastique complété par des barètes décorées de petites fleurs blanches. Le reste était complètement lâché, descendant sur ses épaules en de belles boucles à l’anglaise.

Elle avait mis peu de maquillage, juste de l’eye-liner, rendant son regard plus profond et du brillant sur ses lèvres donnant ainsi à sa bouche un côté pulpeux.

Harm : Mac, vous êtes….woaw…..vous êtes magnifique.

Sarah : merci. Votre mère m’a aidée. Elle a m’a donnée quelques idées pour la coiffure et le reste…..je….

Elle ne pouvait détacher son regard du sien, elle y voyait une lueur qu’elle avait vu quelques fois, en autre sous le porche de l’amiral, dans la salle de bain et dans la chambre au Paraguay. Elle lui sourit obtenant en réponse son Flyboy Grin qui la faisait fondre.

Sarah : on y va ?

Harm : euh….oui…oui. On y va.

Il semblait être plus que déconcerté, par sa tenue.

‘Voyons c’est Mac. Même en treillis, dans le désert, elle est magnifique’, pensa Harm.


Maison de San Diego

Harm gara doucement la voiture sur le parking de la maison où se déroulait le buffet d’après mariage. Il coupa le contact et tourna la tête vers Sarah, elle n’avait pas dit un mot depuis qu’ils avaient quitté la mairie.

Harm : ça va ?

Sarah : ouais.

Il posa sa main sur la sienne.

Harm : menteuse.

Elle sourit et tourna alors la tête pour le regarder. Leurs yeux se rencontrèrent et elle serra doucement sa main. Ce simple geste lui donna le courage de sortir de la voiture.

Elle fit le tour pour aller au côté de Harm, qui passa son bras autour de sa taille.

Harm : allez, venez on va affronter ces gens.

Sarah : ouais. Merci d’être là.

Harm : de rien.

Beaucoup tournèrent la tête en les voyant arriver, tout de suite, Sarah se sentit de nouveau mal à l’aise. Un homme s’approcha d’eux.

Homme : bonjour, je suis Richard, un ami des deux mariés et vous vous êtes ?

Sarah : Sarah Mackenzie. La…fille de Deanne.

Richard : sa fille ? J’ignorais qu’elle en avait une. Vous êtes donc la sœur d’Emilie.

Sarah : la quoi ?

Il ignora la question de Sarah et se concentra sur Harm

Richard : vous êtes un ami de Sarah ?

Harm :….euh….oui. Harmon Rabb.

Des rires se firent entendre, Richard se tourna vers les femmes qui justement riaient.

Richard : qu’est ce qui vous fait rire ?

Femme : rien. Oh mais qui vois je ? Sarah.

Elle s’avança alors vers eux avec ses amies.

Sarah (tout bas) : et merde.

Harm (murmurant) : qui est ce ?

Femme : bonjour, je suis Anna, la femme de Richard (Désignant ses amies) Voici Irène et Julie ainsi que leur maris Marc et Laurent. Nous sommes des amis de Deanne.

Richard : chérie tu les connais ? Sarah est la sœur d’Emilie ?

Anna : non, voyons, Sarah est la fille du premier mari de Deanne….Joseph…tu sais l’alcoolique.

Irène : vous êtes sa fille, c’est vrai. La militaire.

Julie : et toujours célibataire.

Elles rirent tout en fixant Sarah qui instinctivement se rapprocha de Harm.

Marc : ah oui….J’ai…(il commença à rire) beaucoup entendu parler…De vous.

Julie : oui. Celle qui est incapable de se marier.

Anna : faudrait déjà qu’elle attire un homme.

Ils rirent de plus en plus, devant Sarah qui sentit les larmes lui monter aux yeux. Harm se retenait de les frapper. Il croisa le regard de Sarah qui le suppliait de partir.

Laurent (en riant) : et vous….vous êtes ?

Harm sourit.

Harm : Harmon Rabb Junior. Le…..Fiancé de Sarah.

Tous s’arrêtèrent. Sarah crut qu’elle allait s’évanouir.

Anna : son quoi ?

Harm : fiancé. Vous savez c’est juste avant l’étape mariage.

Julie : vraim…..

Deanne : Sarah ?

Deanne accompagnée de son mari arrivèrent.

Deanne : John voici Sarah, ma fille.

John : enchanté.

Deanne : et voici….euh….

Harm : Harmon Rabb.

Julie : son fiancé.

Deanne : fiancé. Tu ne m’avais pas dit que tu étais célibataire.

Tous dévisagèrent Sarah et Harm.

Harm : et bien, comme nous sommes militaire nous ne devons pas ébruiter notre relation et Sarah voulait attendre que je sois d’accord pour parler de moi en tant que son fiancé.
John : oh, vraiment.

Deanne : et bien ravi que tu oses m’en parler.

Sarah : et toi ? Qui est Emilie.

John : ma fille, enfin notre fille que Deanne a aussi adopté.

Sarah : vraiment ? Depuis quand ?

John : oh, ça fait un moment.

Harm sentit de suite Sarah se raidir dans ses bras, il la rapprocha encore de lui.

Marc : et vous comptez vous marier quand ?

Harm : on n’a pas encore prévu de date, mais nous pensons faire ça dans deux mois.

Deanne : oh, il me tarde de recevoir le faire part.

Sarah : et bien, en faites, seuls les amis et la famille sont conviées. Désolé.

John : mais Deanne est votre…..

Harm : ce n’est pas parce que nous avons le même sang que nous sommes une famille. Pour nous, une famille ce sont des gens qui sont proches de nous, qui nous aident dès que l’on en a besoin. Et qui ne nous abandonne pas.

Deanne trouva soudain ses chaussures très intéressantes. Une jeune fille arriva aux côtés de Deanne.

X : papa, je suis obligée de rester avec ses…..(remarquant Sarah et Harm) Bonjour, je suis Emilie.

Sarah : Sarah Mackenzie et mon fiancé Harmon Rabb.

Emilie : enchanté de vous rencontrer.

Le portable de Harm sonna, il le sortit de sa poche pendant que Sarah et Emilie se regardaient, s’étudiaient du regard.

Harm : allo ?.....oui Bud….tout de suite.

Il tendit son téléphone vers Sarah.

Harm : Bud, c’est pour l’affaire Crawford.

Sarah : allô ?.....oui…..oh mon dieu….c’est pas vrai. C’est….c’est génial, bravo. Non…..vous avez fait tout le travail. Toutes mes félicitations…..D’accord. …..embrassez tout le monde de notre part. Ok….au revoir Bud.

Elle raccrocha.

Harm : alors ?

Sarah : on a gagné l’affaire. Le verdict a été rendu il y a quelques minutes.

Harm : c’est super.

Il la serra dans ses bras, oubliant les gens autour.

Harm : bravo Marine.

Ils se sourirent et Harm en profita, il approcha doucement son visage d’elle et posa ses lèvres sur les siennes. Ils partagèrent alors un doux baiser devant les yeux des étrangers. Sarah se laissa aller contre Harm, en gémissant, elle passa sa main dans ses cheveux et l’approcha d’elle pour approfondir le baiser. Ils durent malheureusement se séparer à cause du manque d’air. Ils se fixèrent intensément et se sourirent. Les autres étaient très gênés devant eux.

Deanne : bon. Et si on passait directement à table.

Irène : ouais. Allons y.

A suivre

ah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
mais c'est génial tt ça!!!!
j'aime trop !!!! vivement la suite

vraiment geniale!!!!!!


quelle peau vache quand meme!!!!
j adore la replique d'harm :ce n’est pas parce que nous avons le même sang que nous sommes une famille. Pour nous, une famille ce sont des gens qui sont proches de nous, qui nous aident dès que l’on en a besoin. Et qui ne nous abandonne pas.

maintenant ils peuvent plus reculer!!!!!

Quelles langues de vipères les deux bécasses là... Merci à Harm de leur avoir fermé le caquet... Espèrons que ses paroles vont se concrétiser!

Continue comme ça, c'est super...!

Chapitre 13 :

Harm : alors Emilie, que veux tu faire plus tard ?

Emile : oh….et bien, médecin me plairait assez.

Deanne, John, Richard, Anna, Irène, Marc, Laurent, Julie, Emilie, Harm et Sarah étaient tous assis à la même table. Harm et Sarah avaient tout de suite remarquaient qu’Emilie était délaissée par tous. Deanne et John semblaient ne pas s’occuper d’elle. Elle était assise à côté de Harm et tout les deux commençaient à parler entre eux, Sarah s’était joint à eux, sous les regards plus que désapprobateurs des autres.

Sarah : tu sais que j’ai voulu être médecin quand j’étais jeune.

Emilie : vraiment ?

Sarah : oui.

Laurent décida alors de poser enfin des questions qui pourraient embarrasser Harm et Mac

Laurent : Harm, comment avez-vous demander à Sarah de vous épouser ?

Le cœur de Harm s’arrêta soudain de battre, celui de Sarah aussi, ils se regardèrent essayant de ne pas paraître affolés. Mais en voyant Sarah, Harm sentit alors son courage revenir.

Harm : oh…vous voulez tous les détails ou l’essentiel ?

Julie : les détails.

Harm inspira profondément.

Harm : alors….En faites, je….comme je suis un sacré pilote stupide, j’ai réussi à la mettre en colère le jour même où je voulais la demander en mariage. Cependant, ce fut en ma faveur, car trop remontée contre moi, elle a passé la journée dehors à interroger des témoins. Ensuite, je l’ai appelé le soir pour lui dire que…ma voiture était en panne. Ça l’a énervée mais elle est venue.

Harm sourit en voyant qu’ils étaient tous suspendus à ses lèvres.

Harm : Quand elle est arrivée, elle était furax, parce qu’en plus je m’étais ‘caché’ dans le jardin du JAG. Elle m’a rejoint, on était entourés des rosiers du parc, il y avait la fontaine qui coulait tranquillement, les lumières étaient allumées puisque nous étions le soir. Enfin, le cadre idyllique. Mais, avec son caractère de Marin’s, elle m’a littéralement tué. Elle m’a traité de tous les noms. Et….

Il tourna la tête pour la regarder dans les yeux.

Harm : elle m’a dit, franchement je ne sais pas comment tu pourrais te faire pardonner pour ce que tu m’as fait.

Il lui prit délicatement sa main dans la sienne.

Harm : Et je lui ai dit en me mettant à genoux, et si je te demandais d’être ma femme.

Sarah ferma doucement les yeux, pour quand elle les rouvrit être confrontée à ses yeux bleus.

Harm : et le plus beau des cadeaux qu’elle m’ait fait c’est de dire oui. Ensuite….pour me faire encore plus pardonner, nous sommes allés chez elle où j’étais déjà passé en faites, quand j’ai ouvert la porte….j’ai allumé la chaîne stéréo, dont j’avais volé la télécommande. Une douce musique c’est empli dans l’appartement, c’était Wonderwall de Ryan Adams. L’appartement était rempli de bougies et de pétales de roses, j’avais préparé un somptueux repas et…..nous avons dansés.

Deanne : woaw. Pas de doutes, Sarah ?

Sarah : non aucun. Parce que…quand nous sommes rentrés et que nous avons dansés sur la musique, je me suis sentie tellement…heureuse. Et puis, pendant que la chanson se terminait je l’ai regardé dans les yeux….j’ai compris….que je ne pouvais pas me passer de lui. Que je l’aimais à la folie et que je voulais passer ma vie avec lui. Vieillir à ses côtés. Dans ses yeux…j’ai vu notre avenir ensemble. J’ai su alors….que je n’avais fait aucunes erreurs en acceptant…de l’épouser et d’être sa femme.

Ni Harm ni Mac ne purent s’empêcher d’avoir les larmes aux yeux. Une s’échappa de l’œil de Sarah et elle roula sur sa joue, elle l’essuya doucement.

Sarah : et voilà je me mets encore à pleurer. A chaque fois que j’y repense. Excusez moi, je vais aller dans la salle de bain. Pour faire passer ça.

John : pas de problème.

Elle se leva et fixa Harm, elle lâcha finalement sa main et partit dans la salle de bain.

Julie : et bien. Très belle demande.

Emilie : oui, c’est cent fois mieux que de le demander dans un restaurant.

Harm se retint de rire, après tout cette Emilie était très sympa. Elle se leva à son tour en s’excusant.


Salle de bain.

Sarah se passa un peu d’eau sur le visage quand on tapa à la porte, qui s’ouvrit.

Emilie : je ne vous dérange pas.

Sarah : non, ça va.

Emilie entra et se mit à côté de Sarah et fit la même chose qu’elle, elle se passa un peu d’eau sur le visage.

Emilie : vous avez de la chance d’avoir un fiancé comme lui.

Sarah : oui en effet.

Emilie : il vous aime tellement.

Sarah : vraiment ?

Emilie regarda Sarah.

Emilie : ça se voit dans ses yeux. Il vous regarde comme si il n’y avait que vous pour lui. Et c’est la même chose dans vos yeux.

Sarah : je l’aime vraiment. Il est tout pour moi.

Emilie : c’est beau de voir des gens s’aimer ainsi.

Elle sortit de la pièce, laissant Sarah face à sa propre image dans le miroir. Un sourire illuminait son visage. Puis elle sortit de la salle de bain. Il y avait de la musique et des gens dansaient, Harm était assis à la table, un peu seul, les autres étaient partis pour discuter. Elle s’avança doucement vers lui pour se mettre derrière et passa ses bras autour de son cou, posant sa tête sur son épaule. Joue contre joue.

Sarah : hello, mon cher fiancé.

Harm : ça vous gènes.

Sarah : non. Je trouve que vous avez fait fort.

Ils restèrent ainsi un long moment, avant qu’un doux son de guitare se fit entendre. La musique avait changé et Harm vit Emilie sourire de là où elle était. Harm reconnu immédiatement l’air. Il se leva alors et se tourna vers Mac qui était surprise.

Harm : c’est notre chanson.

Il lui tendit la main.

Harm : vous dansez ?

Elle lui sourit et prit sa main, tous les deux se dirigèrent alors vers la piste de danse improvisée et dansèrent doucement ce slow. Leurs yeux ne se quittèrent pas durant toute la chanson.

Sarah : Harm ? Je peux vous poser une question ?

Harm : oui.

Sarah : comment….avez vous fait pour inventer la demande en mariage ?

Harm : eh bien….

Il semblait assez gêné mais décida de jouer le tout pour le tout.

Harm : c’est….la manière dont j’imaginais….vous demander en mariage.

Le cœur de Sarah s’arrêta à ces mots, elle le regarda dans les yeux.

Sarah : et bien……sachez que…vous avez raison….

Harm : sur quoi ?

Sarah : je dirais oui.

Harm allait répondre mais la musique s’arrêta et quelqu’un demanda à faire un discours.



Maison des Burnett
La Jolla

Il était près de 1 heure du matin, quand ils rentrèrent. Rien n’avait été dit entre eux depuis la danse. Ils avaient parlé de tout et de rien, sauf de ce qu’ils avaient vraiment envie de parler.

Ils montèrent les marches pour aller à l’étage et se dirigèrent vers les portes de leur chambre. Sarah se retourna et fit face à Harm.

Sarah : merci, d’avoir rendu cette soirée meilleure et moins….horrible que ce que ça aurait du être.

Harm : de rien.

Elle le regarda attentivement et lui fit un maigre sourire.

Sarah : bonne nuit.

Harm : bonne nuit.

Elle se retourna et entra dans la chambre dont elle ferma ensuite la porte pour s’appuyer contre. Elle ferma les yeux et soupira.

je découvre la fic, et là je suis sur le cul!!!!! lol
vivement la suite sinon je vais pas survivre longtemps!!!

Trop beau la demande en mariage!!!! En espèrant que'il va concrétsier tout ça notre petit Harm...

Continue comme çA Majandraelo, elle est super cette fic!

et bien les curieux ont été servi par cette magnifique demande en mariage

mais comment après tout ce qui a été dit chacun regagne ces quartiers.
l'un ou l'autre va bien changer d'avis

non mais c'est pas possible comment apres toit ce qui c'est passé ils peuvent aller se coucher en se disant juste bonsoir!!!!!

Chapitre 14

C’est par l’air frais qui rentra dans la chambre, que Sarah se réveilla, les cristaux liquides du réveil lui indiquèrent il était déjà 1h de l’après midi. Elle s’étira doucement, jamais elle n’avait autant dormi. Elle s’échappa des draps et marcha doucement jusqu’à la fenêtre ouverte. Elle donnait sur l’immense jardin et la piscine à l’arrière de la maison. Elle sentit l’air qui même étant un peu chaud, permettait de supporter la chaleur qui régnait ici.

Soudain, son regard alla sur la fenêtre voisine, une idée germa dans son esprit. Elle rentra de nouveau dans la pièce pour sortir de la chambre et se diriger vers une autre. Ses pieds touchèrent le parquet froid du couloir.

Elle ouvrit donc en essayant de faire le moins de bruit possible, la porte de la chambre de Harm et elle sourit en voyant qu’il dormait aussi. Elle s’approcha du lit et s’assit à côté de Harm, qui était allongé sur le ventre, le drap lui arrivant sur les reins, elle passa une main sur son dos nu. Immédiatement il réagit en grognant, il tourna la tête et soudain il la vit.

Harm : bonjour.

Sarah : bonjour.

Elle lui sourit tendrement.

Sarah : désolé de vous avoir réveillé.

Harm : quelle heure il est ?

Sa voix était rauque et emplie de sommeil.

Sarah : il est une heure…..

Harm : mais le soleil est levé ?

Sarah : de l’après midi.

Harm : vraiment.

Il se releva brutalement, le drap ne cachait pas son torse nu et Sarah avait du mal à ne pas le regarder.

Sarah : je….je voulais qu’on aille…à la maison.

Harm : la maison ?

Sarah : oui…celle dont ma mère m’a parlée.

Harm : oh oui. Euh…est ce que j’ai le temps de prendre un café et de m’habiller.

Sarah : oui. Je n’ai pas pris de café, ni le temps de m’habiller. Je me suis réveillée, il y a quelques secondes.

Harm : je le sais, vous….

Il se retint de rire et tendit la main sur sa joue qu’il frôla avec ses doigts.

Harm : vous avez la marque de l’oreiller.

Sarah posa sa main sur sa joue et se leva pour aller devant le miroir de la commode.

Sarah : c’est pas vrai ?

Elle se regarda alors et ne put s’empêcher de rire en voyant qu’il disait vrai. Sur toute sa joue se trouvait la marque de l’oreiller.

Harm : mais ça vous va bien.

Sarah releva un sourcil et tourna la tête, un petit sourire sur ses lèvres. Elle se regarda de nouveau dans le miroir son sourire s’agrandit.

Sarah : je vais aller prendre une bonne douche froide.

Harm : pas de problème.

Elle lui fit un dernier sourire avant de sortir de la pièce. Elle s’était retenue mais elle avait souhaité une seule chose, lui sauter dessus. Il était si sexy.

‘Arrêtes toi, Sarah. Sinon tu ne vas pas tenir’ se dit elle.

Elle fonça alors dans la douche et laissa le jet d’eau froide la rafraîchir et calmer ses ardeurs. L’eau coulait le long de son corps et l’apaisait doucement.

Ce n’est que quelques minutes plus tard qu’elle sortit pour se vêtir d’une jupe blanche longue et d’un débardeur fin. Elle descendit doucement dans la cuisine en sentant l’odeur du bon café de Harm.

Il s’était douché aussi et avait enfilé un jean et une chemise. Sarah ne put empêcher son regard de se poser sur ses fesses.

Harm : Mac ?

Elle sursauta, cela faisait combien de temps qu’elle le regardait ainsi, avait il vu qu’elle fixait son derrière. Automatiquement elle rougit.

Harm : ça va ?

Sarah : très bien. Mmmm, ça sent bon, dites moi.

Harm : oui, c’est l’odeur d’un bon café. La différence qu’il y a entre le mien et le votre.

Sarah : ce n’est pas ma faute si vous ne supportez pas le café des Marin’s
Harm : ben…je supporte déjà les Marin’s.

Sarah fut offusquée, elle lui tapa légèrement le bras mais ne put retenir son rire.

Sarah : allez dépêchez vous matelot, j’ai faim.

Harm : pour pas changer.

Elle fronça les sourcils et essaya de lui faire un regard sévère, mais rien n’y fit, ce regard sonnait faux. Alors ils rirent.

‘Si ma mère voyait ça, elle me dirait que l’on ressemble à un vieux couple marié,’ pensa Harm.

A cette pensée son sourire s’agrandit.

géniale cette suite!!!!!!
ils sont vraiment trop mignons!!!!!
j'espère que tu auras pitié de nous et que tu nous mettras très vite la suite

toujours aussi bien !!!!!
faudrait juste qu ils se décoincent un peu ces deux la

Chapitre 15 :

Les vas et viens s’intensifiaient de plus en plus. Sarah gémit fortement.

C’était si bon.

Elle ouvrit les yeux pour croise le regard bleu acier de son amant. Leur regard se croisa et soudain il s’arrêta et elle vit de la colère dans ses yeux.

Sarah : Harm ?

Harm : Pourquoi as-tu fait ça ?

Sarah : quoi ?

Il se sépara d’elle. Son rêve ou plutôt son cauchemar recommençait.

Harm : pourquoi tu nous as oublié ?

Elle se leva pour le rejoindre, s’enroulant dans les draps pour cacher sa nudité, quoique cela pouvait être stupide.

Sarah : Dis moi, Harm, qu’ai-je oublié ? Aides moi je t’en supplie.

Le regard qu’il lui lança lui glaça le sang.

Harm : Mac ?

Sarah : quoi ?

Harm : réveillez vous ?

Sarah : hein ?

Sarah ouvrit brusquement les yeux en ressentant une légère secousse, elle vit devant elle des maisons à travers la vitre. Elle se souvint alors, elle était dans la voiture avec Harm. Elle tourna le visage et vit tout de suite qu’il était inquiet.

Harm : ça va ?

Sarah : oui…..je me suis assoupie.

Il sourit.

Harm : j’ai vu ça. Pourtant vous avez bien dormi cette nuit, non ?

Sarah : oui très bien même. Je sais pas ce que j’ai.

Harm leva la main et la posa sur son front.

Harm : vous n’avez pas de fièvre.

Il laissa sa main descendre doucement le long de sa joue.

Harm : vous voulez qu’on rentre ?

Sa voix était douce et chaude, Sarah sentit d’ailleurs une chaleur dans son cœur et dans son corps.

Harm : vous pourrez vous reposer aujourd’hui et on aura qu’à revenir demain.

Sarah : non.

Elle se remit droite dans son siège et s’étira comme un chat, avant de se frotter les yeux avec ses mains.

Sarah : ça m’a fait du bien.

Harm s’était mis sur le bac côté et avait coupé le moteur pour la réveiller.

Harm : alors ?

Sarah : quoi ?

Harm : c’est quoi l’adresse ? Vous m’avez dit que….c’est vers Malberry Street.

Sarah : euh…c’est là.

Harm : comment ça ?

Sarah : C’est SUR Malberry pas VERS.

Sarah fronça les sourcils et devint inquiète quand elle vit le visage de Harm pâlir.

Sarah : ça va ?

Harm : votre mère vous a dit quoi au sujet de la maison ?

Sarah : qu’on…avait passé du temps ici.

Harm : comme des vacances ?

Sarah : elle ne m’a pas donnée de précisions. Pourquoi ?

Harm : parce que…j’ai grandi ici.

Sarah : c’est vrai ?

Harm : oui.

Il désigna du doigt une maison.

Harm : Vous voyez c’est la maison en jaune pâle là bas.

Sarah : oh ! Jolie maison. Celle que ma mère veut que j’aille voir porte le numéro 45.

Harm : ok.

Sarah : la votre avait quel numéro ?

Harm : je ne m’en souviens plus du tout.

Sarah : bon, alors on va chercher.

Il démarra le moteur et avança doucement dans la rue, chacun scrutant un côté pour trouver le numéro.

Sarah : Harm stop ! C’est….oh mon dieu.

Harm: quoi?

Sarah: c’est celle...à côté de la votre.

Harm : quoi ?

Harm regarda et vit son ancienne maison qui avait le numéro 43 et celle de Sarah le numéro 45.

Harm : attendez, si vous êtes venue étant petite, il se pourrait que l’on se soit vu.

Sarah : qui sait. J’ai peut être passé des vacances là et vous, vous deviez être chez votre grand-mère. Vous voyiez. On s’est peut être juste croisé.

Harm : ouais, ça doit être ça. Allons y.

A suivre

j'adore toujours autant!!!!!!!!!!!!
chapeau !!!!
vivement la suite!!!!!

vraiment excellent!! merci

oufan j'y ai cru au début. mais non !!!!

boudiou le choc de découvrir qu'ils ont habiter étant jeune l'un à côté de l'autre et qu'ils se sont peut être connu.

reste à savoir ce qui s'est passer dans leur enfance.

Chapitre 16

Mme Lewis : Bonjour, je suis Madame Lewis, c’est vous Sarah ?

Sarah resta assez surprise que cette femme la connaisse, elle était dans le jardin quand Harm et elle s’étaient dirigés vers la maison.

Sarah : oui

Mme Lewis : Deanne m’avait prévenue de votre arrivée. Venez nous allons entrer.

Elle se dirigea vers la porte qu’elle ouvrit, ils entrèrent dans la maison et bizarrement Sarah ressentit une sensation de déjà vu.

Mme Lewis : ce que vous voulez est au grenier, il suffit de monter les marches, tout est indiqué sur les cartons.

Sarah : Merci

Pendant qu’ils montaient à l’étage, Mme Lewis ressortit de la maison après avoir jeté un dernier regard inquisiteur sur eux.


Sarah ouvrit la porte en bois du grenier, qui grinça, usée par le temps. C’était une pièce assez petite avec une fenêtre au fond pour laisser entrer de la lumière. Ils repérèrent rapidement les deux cartons qui les intéressaient.

Harm : elle avait tout prévu.

Sarah : je crois. Prenez moi pour une folle mais…..

Harm : Mais ?

Sarah : je connais cet endroit.

Harm : et bien, si vous y avez séjourné, c’est normal.

Sarah : ouais.

Elle soupira et s’approcha des cartons.

Sarah : prenons les et mettons nous à côté de la fenêtre.

Harm acquiesça et ils s’exécutèrent avant de s’asseoir à même le sol. Ils ouvrirent les deux cartons, l’un et l’autre contenaient des habits, des jouets et des dossiers dans un total désordre.

Sarah : génial. Par quoi on commence ?

Harm : j’en ai aucune idée.

Elle prit un dossier au hasard et l’ouvrit.

Sarah : Mes parents sont vraiment attentionnés.

Harm : pourquoi ?

Sarah : c’est un dossier médical, même plusieurs dossiers. J’ai été très malade apparemment. Avant même de venir ici.

Elle en tira plusieurs feuilles.

Sarah : des prises de sang. Mon taux au niveau de la thyroïde était déjà élevé et ils n’ont rien fait. Pas étonnants qu’après ce soit arrivé.

Harm : qu’est il arrivé ?

Sarah ferma les yeux et respira profondément avant de les rouvrir.

Sarah : j’avais une vingtaine d’année et un jour j’ai eu un sacré mal de crâne. J’ai pris des médicaments pour faire passer et plus tard c’est revenu et j’ai eu beaucoup de fièvre. Environ 40° et ça a failli monter à 41°. Une amie a appelé le médecin. J’avais….une inflammation de la thyroïde…mais en faisant des examens plus poussés, il a découvert que j’avais un cancer. Je me suis faites opérée. On aurait pu éviter tout ça. Ils auraient pu.

Harm : je comprends mieux alors, la cicatrice sur votre cou.

Sarah : vous l’aviez remarquée ?

Harm : ouais. Désolé.

Il lui fit un maigre sourire qu’elle lui rendit. Pendant qu’elle continuait de consulter ce dossier, il en prit un autre.

Harm : Mac ?

Sarah : ouais ?

Harm : votre mère vous a affirmé que vous aviez passé des vacances ici ?

Sarah : euh….non. Elle a dit qu’on avait habité ici pendant un certain temps, j’ai supposé que c’était des vacances. Si j’avais passé plus de temps je m’en souviendrais.

Harm : et bien…votre mémoire est fausse.

Il lui montra le dossier.

Harm : dossier scolaire de Sarah Mackenzie, école primaire de La Jolla. Apparemment d’après ça, vous avez passé près d’un an ici. Votre scolarité date de septembre 1969 à Mai 1970.

Sarah : c’est impossible mais…on aurait habité à côté pendant un an sans se voir ?

Harm : j’en suis pas sur.

Sarah : pourquoi ?

Il prit une photo qui se trouvait avec le dossier et la lui tendit.

Harm : parce….sur cette photo…c’est moi et….je suppose que c’est vous. Puisqu’en bas il y a écrit Harmon et Sarah.

Le visage de Sarah pâlit et elle prit la photo pour la regarder de plus près. En effet dessus, on voyait les deux enfants, Harm avait les bras au dessus des épaules de Sarah et elle avait son bras autour de sa taille. Ils souriaient de bonheur. La tête de Sarah reposant sur l’épaule de Harm.

Sarah : mais…comment …. ?

Waouhhhh, vraiment excellent. Ca va de surprise en suprise, en espérant qu'il n'y en ait pas une mauvaise la dessous. Suite ???

vraiment trop fort! mais comment ça se fait qu'elle ne se souvient de rien! et pourquoi continuent t-ils à se vouvoyer!

Chapitre 17

Début juillet 1969
La Jolla, CA.

Trish : Harm, le repas est prêt descends.

Patricia Rabb était dans la cuisine, pour préparer le déjeuner. Soudain, elle sentit deux grandes mains se poser sur ses épaules, elle sourit en sentant un baiser dans sa nuque.

Trish : chéri…arrêtes….on va manger.

Harm Sr :Et alors ?

Elle se retourna pour lui faire face.

Trish : ton fils va arriver, alors tiens toi tranquille.

Elle lui donna une tape légère sur la joue avant de se dégager des bras de son mari et d’aller mettre la table.

Harm Sr : tiens, les nouveaux voisins arrivent.

Trish : quoi ?

Trish se mit à côté de son mari et vit alors une voiture qui s’était arrêtée derrière un camion de déménagement. Un homme et une femme en étaient sortis et cette dernière ouvrit la porte arrière et tendit la main.
De là où ils étaient, Trish et Harm virent deux petits pieds sortir puis finalement la petite fille en entier.

Trish : et bien, quand ils auront fini de s’installer, on ira les voir. Harm ! Descends ! pourquoi il ne vient pas ?

Harm Sr : je vais le chercher.

Harm sourit et monta les escaliers pour aller à l’étage dans la chambre de son fils. Il traversa le couloir et arriva là où il le souhaitait. La chambre était remplie de maquettes d’avions, son fils allait devenir pilote, c’était ce qu’il ressentait au fond de lui. Et il avait l’impression qu’il n’avait pas tord.

Harm Sr : Harm tu n’as….

Il vit son fils planté devant la fenêtre, et apparemment ce qu’il regardait était très intéressant. Harm senior s’approcha de son fils doucement et se mit derrière lui. Il ne put s’empêcher de sourire en voyant que ce que son fils regardait si attentivement n’était autre que les nouveaux voisins et surtout que ce qui attirait le regard de son fils était la petite fille.

Harm Sr : elle est jolie.

Harm : quoi ?

Il se retourna pour fixer son père.

Harm Sr : elle est mignonne.

Harm : c’est une fille. J’aime pas les filles.

Harm Sr : C’est ça. Je vais te croire. Allez viens on mange.

Harm prit la main de son père et ils descendirent à la cuisine pour rejoindre Trish, qui avait tout préparé. Harm junior mangeait assez distraitement car de temps à autre, il jetait un coup d’œil par la fenêtre. Ce geste n’échappa pas aux yeux de ses parents qui se sourirent.

Quand le déjeuner fut fini, Harm monta dans sa chambre pour prendre des avions et repartir dans le jardin. Il joua pendant un long moment avec, s’amusant à les faire tournoyer.

Harm Sr : tu n’aimerais pas donner un petit frère ou une petite sœur à Harm.

Trish : tu le souhaites ?

Harm Sr : regardes le, il est seul pour jouer. J’étais pareil et j’ai pas aimé.

Trish : pour l’instant, je ne veux pas de deuxième enfant. Pour l’instant, on verra plus tard.

Harm Sr : bien sur.

Harm Senior sortit dans le jardin et rejoignit son fils.

Harm Sr : tu veux que je te ramène quelque chose du centre commercial.

Harm : tu pars ?

Harm Sr : je vais me promener un peu. Tu veux une autre maquette ?

Harm hocha la tête avec joie.

Harm Sr : a toute à l’heure.

Ce que Harm vit dans les yeux de son père l’attrista. Ces derniers temps son père et sa mère avaient l’habitude de se disputer, il ignorait pourquoi mais ils se disputaient et il n’aimait pas ça.

X : Salut ?

Il releva la tête et vit alors une petite fille l’observer, la même petite fille de toute à l’heure.

Harm : Salut.

X : je m’appelle Sarah et toi ?

Harm : Harm ?

Sarah : c’est un drôle de prénom.

Il ne répondit pas et replongea dans ses avions. Sarah le fixa un instant et s’éloigna de la barrière où elle s’était accoudée, pour marcher à travers le jardin, triste.

Quand elle était arrivée, elle était montée dans sa nouvelle chambre qu’elle n’aimait pas, rien n’était comme ça devait l’être. Elle avait fermé la porte et avait regardé par la fenêtre. Elle avait vu alors le petit garçon jouant dehors, si seul….comme elle. Qui sait peut être qu’ils allaient devenir ami. Enfin, elle aurait un ami. Mais apparemment, il s’en fichait. Elle essuya une larme qui roula sur sa joue. Quoiqu’elle fasse, elle serait seule.

Harm : hey ?

Elle se retourna et vit alors le petit garçon appuyé sur la barrière.

Sarah : hey ?

Harm : je sais qu’une fille ne joue pas avec les avions…mais…tu veux jouer avec moi ?

Sarah sourit, finalement elle avait eu tort…peut être…

Sarah : ouais. C’est pas grave si c’est que des avions.

Elle s’approcha de la barrière et c’est là qu’ils se rendirent compte qu’il y avait un problème. En effet, ils ne pouvaient pas franchir cette fichue barrière.

Harm : oh désolé.

Sarah : je sais pas comment on peux faire.

C’était déjà difficile pour eux de parler en se tenant sur la pointe des pieds, alors comment pourraient t’ils faire. Puis Harm eut une idée.

Harm : attends ?

Sarah : quoi ?

Il s’éloigna un peu d’elle pour aller au fond du jardin et il bougea deux planches pour passer.

Harm : essaie de voir si t’en as pas qui font pareil. Avec le temps, ça s’use.

Sarah jeta un coup d’œil derrière elle avant d’aller au fond du jardin.

ils sont mimi tous les deux! vivement la suite! j'adore ta fic!