La plume du coeur spoiler (terminée)

Voici une autre fic en core shipper, désolée mais je ne peux pas m'en empècher !!
Attention elle est spoiler!!
Merci Didine pour ton aide!

La plume du cœur

QG du JAG
Bureau de Mac

**pensées de Mac**

Je suis en plein doute, dois-je lui donner cette lettre, ou suis-je censée patienter et laisser faire le temps qui passe si vite.

Je regarde à travers les stores et j’aperçois son bureau, vide, il n’est pas à l’intérieur.

Une partie de moi veut profiter de ce moment pour aller déposer la lettre sur le bureau, mais une autre partie n’ose pas, celle-ci semble pétrifiée par la réaction qu’Harm pourrait avoir après l’avoir lue.

Comment faire ?

Sans réellement m’en rendre compte je me dirige vers son bureau et me retrouve à l’intérieur, je tremble, je reste là à contempler ses affaires.
Les souvenirs remontent et me donnent envie de pleurer, je suis encore abasourdie par cette annonce, qui est arrivée si vite.
Je ne veux pas être séparée de Harm, je ne veux pas vivre loin de lui et n’avoir des nouvelles que par téléphone et recevoir une carte de temps en temps.

Je ne pourrai supporter le fait de me demander tous les jours ce qu’il fait, ce qu’il pense de Londres, avec qui il est…
Je sais que cette dernière question me hantera pendant longtemps s’il part.

Jours et nuits je me demanderais s’il pense à moi ou s’il est dans les bras d’une autre femme, à m’oublier pendant que moi je ne ferai que penser à lui et à toutes nos occasions manquées.

Je ne veux pas de tout ça parce que je sais que je serais malheureuse lorsque nous serons séparés donc je dois faire quelque chose.

Je sors de ma réflexion et pose la lettre sur son bureau, je la regarde une dernière fois et me dit que si Harm ne réagit pas comme je le souhaite au moins je pourrai tourner la page et avancer une fois pour toutes. Et la distance sera bénéfique dans ce cas là.

Je me retourne pour sortir de son bureau, mais je croise son regard, il revient et doit se demander ce que je fais ici.

Je sens une boule se former dans mon ventre, plus il se rapproche plus l’angoisse monte, je ne préfère pas être là lorsqu’il lira cette lettre.

Harm : Hey, Mac ça va ?

Je déglutis tant bien que mal.

Mac : Bien et vous.
Harm : Ca va, vous vouliez me voir ?

En disant cela Harm entre dans son bureau et se dirige vers son fauteuil, je ferme les yeux un instant, espérant qu’il n’aperçoive pas la lettre tant que je suis là.

Mais lorsque j’ouvre de nouveau les yeux son regard me fixe et je vois qu’il est surpris.
Je lui souris timidement.

Mac : Je… euh…voulais vous donner cette lettre…

Je bafouille je ne sais pas vraiment quoi lui dire. De toute façon je ne vais pas tourner autour du pot car il me semble avoir été plus que claire dans cette lettre. Il saura bien de quoi il en retourne lorsqu’il la lira.

Mac : Je l’ai écrite après que le général Cresswell nous ait donné nos ordres d’affectations.

Je vois que la lumière se fait dans les yeux de Harm, car il est passé d’une expression de surprise à une expression assez étrange, que je ne saurais qualifier.

Harm : Oh…
Mac : Oui, je… à vrai dire. Je crois que le marine’s qui fait rage en moi défaillit quelque peu lorsqu’il s’agit de dévoiler certains…sentiments. Je dois avouer que je suis assez perturbée par cette nouvelle, et j’ai préféré vous écrire ce que je ressens plutôt que de vous le dire en face, car je ne sais pas si je vais être capable d’aligner deux mots.

J’ai du mal à soutenir son regard, je me sens bête de réagir comme ça mais je ne peux faire autrement.

Harm me fixe et me fait un sublime sourire. Je me retourne afin de partir mais il m’interpelle.

Harm : Vous savez moi aussi je suis perturbé par ces affectations.

Je lui fais un dernier sourire et me dirige vers mon bureau. Je crois que je dois encore sourire, ce qu’il vient de me dire me laisse toute chose.

Mon esprit commence à vagabonder sur différentes significations de cette phrase, mais je me reprends avant de me faire de fausses joies.

Appartement de Harm

**Pensées de Harm**

Je n’ai pas voulu lire la lettre de Mac au bureau car je préfère être seul au calme pour la lire.
J’ouvre l’enveloppe et bizarrement je ressens une sorte d’appréhension, je ne sais pas pourquoi mais un nœud se forme au niveau de mon estomac.
Je sors la feuille de son enveloppe, ferme les yeux quelques secondes et prends une grande respiration avant d’en entamer la lecture :

Harm,
Je ne peux y croire ! Il m’est impossible de me résoudre à cette annonce si brutale et pourtant si réelle. Ce que je crains en silence au fond de moi depuis neuf ans, se produit à l’instant même et je ne peux rien y faire.
Je ne réagis plus, mon corps et mon cœur sont comme engourdis par une douleur intense. J’ai le souffle court, rien que de penser au fait que, d’ici 72 heures et 58 minutes, nous serons séparés, nous serons si loin l’un de l’autre, que nous ne pourrons même pas nous voir dès que l’envie nous prendra ; et Dieu sait que cette envie sera présente dans mon cœur à chaque minute et chaque instant passé loin de toi.
Dans si peu de temps tu prendras un avion qui te mènera à Londres et moi je partirai pour San Diego.

Tant d’émotions traversent mon esprit à l’instant même, elles sont si diverses que s’en est troublant.
Je suis à la fois heureuse de cette nouvelle promotion qui vient de m’être offerte, mais aussi triste, parce que ce bonheur signifie que je dois vivre loin de toi et cela me paraît tout simplement impossible.
Aujourd’hui, je suis bien loin de la Sarah Mackenzie fière, qui n’acceptait l’aide de personne et qui ne pouvait faire confiance à quiconque et encore moins aux hommes. Mais voilà, un jour dans une roseraie je t’ai rencontré et là tout à changé, TU M’AS changé.
J’ai appris au fil du temps à te faire confiance, ce qui te rend exceptionnel à mes yeux parce que tu es le seul homme en qui j’ai une totale confiance, à qui je confierais ma vie sans aucune crainte.
Ce fut d’abord un coup de cœur amical, tu es devenu mon meilleur ami (en si peu de temps), l’épaule rassurante et réconfortante, me permettant de surmonter de nombreuses souffrances, puis ce coup de cœur s’est transformé en coup de foudre amoureux. Un véritable choc, si puissant que je ne peux lutter contre.

Je ne sais même pas si je vais trouver les mots qu’il faut pour te faire comprendre cette explosion de sentiments qu’il y a en moi.
Je suis heureuse lorsque tu es près de moi, lorsque nous respirons le même air, lorsque nos yeux se croisent et que nous sommes les seuls à comprendre ce qui est dit à travers ce regard.
Cette amitié forte et sincère est beaucoup plus intense que je ne pouvais l’imaginer, car tu n’es pas seulement mon meilleur ami, mais tu es également et principalement celui qui a chamboulé mon cœur, celui qui l’a transpercé de ses yeux bleu océan, tu es celui que j’aime…
Je t’aime à un point que c’en est même parfois effrayant car je m’aperçois au fur et à mesure que le temps passe que ma vie et mon bonheur dépendent de toi et que JE dépends de toi.
C’est assez difficile à avouer mais c’est tellement vrai, lorsque je te vois je ne peux m’empêcher de ressentir ce sentiment intense qui m’anime et me fait vivre. Et pourtant à de nombreuses reprises j’ai essayé de me persuader que je n’avais que des sentiments amicaux à ton égard, mais il m’était impossible de refouler et de renier ce que je ressentais et ce que je ressens encore pour toi.
Ce qui me conforte dans l’idée que j’ai fait de nombreuses erreurs.
Comment me faire pardonner le fait que je me sois jetée dans les bras de d’autres hommes parce que tu ne répondais pas à mes attentes ?
Certes je maintiens que je ne pouvais pas t ‘attendre indéfiniment, mais je n’aurais pas dû me précipiter dans leurs bras, alors que le seul homme qui occupait mon esprit, c’était toi.
Je ne pouvais pas leur dire que je les aimais, parce que ce n’était pas réellement le cas. Je ressentais toujours un arrière goût d’amertume lorsque ces mots sortaient de ma bouche, car je savais au fond de moi même que je leur mentais.
C’est toi que j’aime.

Je ne peux pas vraiment mettre de mots sur cet amour, car il est tellement fort qu’il en devient impossible à expliquer, que les mots en deviennent insuffisants.
Tu es à la fois ma force et ma faiblesse, celui qui me fait rire et pleurer, celui qui fait battre mon cœur et celui à qui chacune de mes pulsations est dédiée.
Ce sentiment est tellement fort qu’il dure depuis neuf ans; neuf ans passés à attendre que ces trois mots sortent de ta bouche. Ces trois mots, si petits par la taille mais tellement grands par leur signification et leur importance. Mais voilà ils ne sont jamais venus donc je me suis renfermée et je me suis dit que cet amour n’était pas réciproque. Et ne voulant pas souffrir davantage, alors j’ai enfoui ce sentiment au fond de moi aussi bien que je le pouvais afin que personne ne devine ce que j’éprouve à l’égard de mon collègue et meilleur ami. Seulement je ne suis pas sûre d’avoir réussi puisque beaucoup de personnes (si ce ne sont tous nos amis) ont toujours douté sur le fait que nous ne soyons pas ensemble, et crois moi, j’ai espéré un nombre incalculable de fois que leurs doutes soient fondés, mais malheureusement non.
Je ne sais pas si cette lettre changera quoique ce soit mais au moins je partirai en ayant la satisfaction de t’avoir enfin avoué mes sentiments, et d’avoir été honnête avec toi.
Beaucoup de choses sont incertaines dans ce monde mais ce dont je suis sûre c’est que je t’aime purement et sincèrement.
Tu es Unique à mes yeux et dans mon cœur.

Maintenant tu sais ce que je ressens pour toi, tu sais que je t’aime plus que tout.
Je n’ai jamais ressenti cela auparavant.
Ces sentiments sont sincères, profonds et tellement forts que j’ai l’impression que mon cœur n’est pas assez grand pour contenir tout cet amour et qu’il va exploser.

Je t’aime.
Sarah.


Je parcours les dernières lignes de cette missive et je sens que mes yeux me brûlent, ils sont emplis de larmes, larmes de joies, larmes de soulagement, mais aussi larmes de tristesse.

Oui je me sens triste à l’idée de toutes ces années perdues où nous nous sommes fait du mal mutuellement et surtout inutilement, puisque nous nous rendons compte des années après que nous ressentons la même chose avec la même intensité.

La lettre de Mac m’émeut énormément, je reste là sans bouger et je pense qu’un sourire béat doit se former sur mon visage car en réalité je n’y croyais plus, comme elle me l’avait dit « Il n’y aura jamais de nous », mais cette phrase qui m’a transpercé était en fait une protection pour Sarah car elle non plus n’y croyait plus.

Je me lève et attrape mes clefs en ayant l’intention de me rendre chez Mac, mais cette peur qui m’a empêché durant toutes ces années de lui avouer mes sentiments, refait face.
Peut-être devrais-je moi aussi lui écrire une lettre.

Cette idée me paraît inappropriée car Mac ne m’a peut-être pas dit tous ces mots en face mais elle a quand même eu le courage de me donner cette lettre.

Si elle ne l’avait pas fait je ne sais pas si j’aurai agis je pense que oui car l’idée de partir loin de Mac m’est difficilement supportable, mais je ne sais pas si j’aurais osé la voir, je pense que j’aurais attendu qu’elle vienne me voir.

Et puis je dois lui dire tout cela en face pour lui montrer que mes sentiments sont réellement sincères et que je n’ai plus peur de lui dire…ces trois mots, si petits par la taille mais si grands pour leur importance.

Je continue donc dans ma première idée et me dirige vers ma voiture afin d’aller chez Mac.

Appartement Mac
Georgetown
Le soir même

**Pensées de Mac**

Ca se trouve il est en train de lire la lettre en ce moment et…

Quelqu’un frappe à la porte et je sens l’angoisse croître et si c’était lui…

Et oui c’est lui. Je retiens ma respiration ; il me faut une poignée de secondes avant de le laisser passer.

Je referme la porte et il me tourne le dos, la boule au creux de mon estomac devient de plus en plus grande.

Puis sans que je ne comprenne comment Harm se retourne d’un coup vers moi, me prends le visage entre ses mains et m’embrasse avec une ardeur déstabilisante.

Sur le coup, je suis tellement surprise que mes sens ne réagissent pas, mais lorsque je sens ses mains descendre le long de mes bras pour finalement se poser sur mes hanches alors là mon corps sort de sa torpeur et je passe mes bras autour de sa nuque et immisce ma langue dans sa bouche, afin de trouver la douceur de la sienne.

Nos deux corps sont si serrés que j’ai l’impression qu’ils ne font qu’un.

Harm se détache de moi, me regarde droit dans les yeux et me sourit.

Je fonds face à tant de charme, l’angoisse qui me pesait sur l’estomac s’estompe peu à peu.
Je sens que mes lèvres ne peuvent s’empêcher de former un sourire. Sourire de soulagement, sourire de joie, sourire d’espoir.

Harm : Moi qui avais hésité entre t’écrire une lettre et venir te voir directement, je crois que l’option choisie est vraiment la meilleure.

Nos yeux ne se lâchent pas, tout comme nos deux corps nous sommes encore collés l’un à l’autre et cette sensation me procure tant de bien.

Harm : Je ne sais par où commencer. Ta lettre m’a tellement ému. De nombreuses émotions traversent à l’instant même mon esprit et elles sont si diverses que je suis quelque peu déstabilisé.

Je souris face à Harm qui à l’air d’un adolescent qui ferait sa première déclaration d’amour.
J’essaie de le rassurer en lui caressant la joue.

Mac : Tu as eu le courage de m’embrasser donc je pense que tu peux me dire ce qui te passe par la tête.

Harm me sourit.

Harm : J’ai l’air bête, non ?
Mac : Non…

Je rigole à sa réflexion

Mac : Juste un peu effrayé.
Harm : Je suis comme sur un petit nuage parce que lorsque j’ai lu ta lettre je me suis aperçu que j’avais des certitudes non fondées.
Mac :…
Harm : Et oui depuis le Paraguay j’étais certain que, l’espoir qu’il y ait un jour un « nous », était fichu parce que tu ne ressentais rien pour moi. Mais voilà tout à l’heure lorsque je découvrais ces lignes une vague d’espoir est venue me submerger, puisque je lisais le plus beau de tout les je t’aime parce qu’il venait de Toi, la femme dont je suis éperdument amoureux.

Puis il repose ses lèvres sur les miennes pour un tendre et langoureux baiser.

A cet instant précis je suis la femme la plus heureuse du monde, enfin Harm et moi nous sommes trouvés, nos timing sont parfaits et en osmose.

La chaleur de son corps contre le mien me fait défaillir, le plaisir m’enivre et me fait perdre pied.

Ses mains sur mon corps, sa peau contre la mienne…

Je ne peux pas résister enfin je vais connaître le poids de son corps, son odeur, sa douceur, je n’en peux plus je crois que si ça continue comme ça je vais mourir de plaisir.

Nous sommes dans mon lit et je ne sais même pas comment nous avons atterris là.

Harm est nu devant moi et…mon Dieu ce qu’il est beau !

Enfin nous allons pouvoir vivre ce moment de bonheur que j’attends depuis des années, enfin je vais sentir le contact de son corps lové contre le mien enfin Harm et moi allons faire l’amour.


Le lendemain
Appartement de Mac

**Pensées de Harm**

Cette nuit restera gravée à tout jamais dans ma mémoire.

Je sens encore le souffle chaud de Mac dans mon cou, l’agréable sensation de brûlure que sa bouche me laissait sur ma peau, la chaleur de ses mains.

Jamais une autre femme n’a allumé un tel brasier dans mon corps et dans mon cœur.

Je sais que c’est elle, oui c’est certain Mac est ma moitié, celle que tout le monde recherche et qui est censée forcément exister. Et bien, moi je l’ai trouvée et jamais je ne la quitterais.

Mac : Alors on rêve capitaine, j’espère que je suis au centre de ce rêve parce que je peux devenir très méchante lorsque je suis jalouse.

Elle me dit cela avec un magnifique sourire, elle est si belle.

Harm : Oh mais tu as toujours été au centre de tous mes rêves.
Mac : J’espère bien parce que ça pourrait chauffer pour ton matricule.

Nous rigolons tous les deux à cette réplique, mais mon rire s’écrase contre les lèvres de Sarah qui m’embrasse avec ferveur.

Après avoir traîné au lit, nous nous levons afin de prendre un petit déjeuner.

Je vois que Mac à l’air inquiète et je ne sais pas pourquoi.

Harm : Sarah, ça va ?

Elle me regarde avec un timide sourire.

Mac : Je ne veux pas paraître rabat joie et casser la magie du moment, mais il y a quand même un problème, qui n’est pas négligeable.

Je comprends aussi tôt de quoi elle parle et c’est vrai que ce n’est pas négligeable.

Alors je doute l’espace d’une seconde, mais me reprends aussi vite parce que je suis sûr de ce dont j’ai envie et je ferai n’importe quoi pour le conserver.

Harm : Marions nous !
Mac :…
Harm : Oui marions nous, et partons vivre à San Diego !
Mac : Attends je ne veux pas que tu démissionnes pour moi.
Harm : Pourquoi ?
Mac : Parce que au début ça ira mais au bout d’un moment tu m’en voudras parce que je serais celle qui t’a fait démissionner.

Je me lève de ma chaise et vais m’accroupir à côté de Mac tout en lui prenant la main.

Harm : Mac, je t’aime plus que tout, et jamais je ne pourrai faire ma vie sans toi après ce que nous venons de vivre. Tu es ma plus belle rencontre sur cette terre et la meilleure chose qui ne me soit jamais arrivée. Et si je démissionne ce n’est pas parce que tu me le demandes mais parce que je l’ai décidé donc jamais je ne pourrais t’en vouloir. La seule raison pour laquelle je t’en voudrais c’est si tu ne nous laisses pas de chance. Alors je te le demande, je t’en supplie presque : Sarah Mackenzie veux tu m’épouser ?

Je vois les larmes couler sur les joues de Mac, puis un énorme sourire s’affiche sur son visage et elle me saute au coup.

Nous tombons tous les deux à la renverse et elle m’embrasse avec fougue.

Mac : Oui je le veux, je t’aime Harm, je t’aime tellement.

Puis nous nous embrassons de nouveau tout en reprenant nos activités d’hier soir, là au milieu de son salon, l’endroit où nous sommes nous importe peu tant que nous sommes tous les deux.

Ne soit en aucun cas désolée d'écrire des fics shipper qui plus est sont magnifiques et que je les love de trop !!!
Elle va être imprimée en deux exemplaires, un dans mon classeur fic préf non loin de mon lit, ainsi qu'un autre dans mon agenda, quand j'aurai des heures libres, je la lirai, mais pas en cours, je travaille [Pour H M]
Merci de nous les faire partager, un réel plaisir que de lire ce genre de fic, mille merchi ma AnneSoso

ouai merco j'adore aussi

j'adore trop ta fin, spécialement losrque Mac se jette sur Harm et qu'ils tombent tous les deux!

une autre petite ???

c'était génial
vivement les prochaines

C'est super beau.

Bravo

A quand la prochaine?

Des fics shipper H&M comme ca j'en redemande pleins. Merci et encore bravo elle est trop chou.

Oups, j'ai rien posté.

Mais de rien.

Tu peux encore compter sur moi pour la relecture.

Je l'adore, à quand la prochaine ?

Merci beaucoup pour les comm' ça me fait plaisir tout plein

trop magnifique, j'adore

continue

c clair c'est trop mimi je veux des fics comme ça tout les jours