Un passé sous silence 3 ... [Terminée]

la pauvre tite puce, elle voit bien qu'ya un truc qui cloche...
j'espère que tout se passera bien en Irak, faudrait pas qu'il arrive quelques choses à Mac !
vivement la suite !

bah voilà je suis toute ! c'est trop beau ! mais pitié fais qu'il n'arrive rien à Mac! ce serait trop affreux pour la petite puce! vivement la suite (parce que j'adore) !

Avant que j'oublies voici le nouveau chapitre...

Chapitre que j'ai apprécié écrire... Désolé pour lem anque d'originalité dnas les noms... Vous comprendrez de quoi je parle ne lisant...lol

Je vous laisse le découvrir et encore merci pour vos commentaires.

Bonne lecture.

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Chapitre 14 :

Maison des Rabb
Lundi 22 Novembre 2007
11h10 (Heure locale)

Trish se rappela alors du trouble qui s’était installé en elle.

Flash back

Trish se rapprocha alors du lit de l’enfant et s’assit sur le bord. Les yeux de Emma commençaient à se remplir de larmes.

Trish : Papa et maman ne sont pas là ma puce.

Une petite larme coula alors sur la joue de la petite fille. Jamais elle n’avait été séparée de ses parents. Parfois elle ne voyait pas l’un des deux pendant un certain temps, mais l’autre était toujours là pour s’occuper d’elle.

Emma : Pourquoi sont partis ? Ils m’aiment pu ?

Trish fut émue au plus haut point. Comment expliquer à une enfant de cet âge là que son père a été déclaré mort dans un pays hostile des suites d’une mission. Et que sa mère est partie dans ce pays pour découvrir la vérité…

Trish : Tes parents t’aiment plus que tout au monde. Ils ont du partir en voyage ma puce. Ils auraient voulu t’emmener mais ils ne pouvaient pas. Alors ils ont demandé à grand père et à moi de prendre bien soin de leur petit trésor. Tu comprends ?

La petite fille hocha de la tête, pas convaincu par ce que venait de lui dire sa grand-mère. Après quelques secondes de silence, Emma posa une autre question.

Emma : Ils rentrent quand ?

Trish caressa de sa main libre les boucles brunes de la petite fille.

Trish : Dès qu’ils le pourront ma puce, ils feront au plus vite pour revenir auprès de toi.

Bien que pas vraiment satisfaite de la réponse, Emma du se résoudre à ce que les choses soient ainsi. Ses parents lui avaient expliquée qu’à cause de leur travail, il se pourrait que parfois ils doivent s’absenter. Devant le regard encore triste de la petite fille, Trish décida d’intervenir.

Trish : Cela te plairais qu’avant de t’endormir grand-mère te raconte une histoire.

Le magnifique sourire qui lui rappelait tant son fils illumina le visage de l’enfant.

Trish : Il était une fois, dans un royaume lointain du notre, une petite princesse du nom de Clara qui vivait auprès de ses parents…

Emma était déjà complètement absorbée par les paroles de Trish.

Trish : La petite fille vivait dans un foyer heureux. Son papa et sa maman, le roi David et la reine Catherine, étaient émerveillés à chaque instant par leur enfant. Ils passaient beaucoup de temps tous les trois ensembles. Ils allaient souvent faire de longues balades à cheval dans leur royaume. Clara étant trop petit pour monter toute seule, son papa l’asseyait toujours sur sa monture, et la callait entre ses jambes. Ils pouvaient ainsi veiller au mieux au bien être de sa petite princesse…

Les yeux de Emma commençaient déjà à se fermer, mais elle luttait de toutes ses forces, voulant à tout prix entendre la suite de l’histoire.

Trish :… Clara adorait quand son papa lançait le cheval au galop, elle avait le sentiment de voler. Leur bonheur familial était à son comble. Mais un jour, le roi David dû partir dans une contrée lointaine pour une mission très dangereuse. Il ne voulait pas quitter sa femme et sa petite princesse, mais il n’avait pas le choix, le sort de son royaume dépendait de lui. C’est avec beaucoup de tristesse qu’il partit donc…

Le cœur de Trish se serra légèrement. Emma quant à elle ne dormait toujours pas, même s’il était de plus en plus dur de garder les yeux ouvert, l’histoire que sa grand-mère lui racontait lui plaisait énormément.

Trish : … Après plusieurs semaines, le roi David ne revenant toujours pas au royaume, la cours le déclara mort. La reine Catherine ne pouvait pas croire cela. Elle était convaincue que son mari était vivant, quelque part. Au fond de son cœur, elle savait qu’il était encore en vie. Ne trouvant personne pour l’aider dans sa quête, elle partie avec son valet à la recherche du papa de son unique enfant… Elle traversa tous les autres royaumes, mais jamais elle ne trouvait la trace de son époux. Cependant, elle ne pouvait pas se résigner à abandonner. Elle avait promis avant de partir à sa petite puce qu’elle lui ramènerait son père. Alors, elle continua et se rendit alors dans le seul royaume qu’elle n’avait pas exploré. Le royaume des enfers, qui était le plus redouté de tous par tous les autres royaume. Qu’importe les dangers qui attendaient la reine Catherine, elle ne ferait pas machine arrière maintenant. Bravant avec courage tous les dangers et les obstacles qui se dressèrent devant elle… C’est dans une petite caverne, alors qu’elle allait se protéger contre la pluie qui battait depuis déjà 1h qu’elle retrouva son époux. Recroquevillé devant le feu, celui-ci tentait de se réchauffer par tous les moyens… Prenant conscience de la présence de l’autre, ils se jetèrent dans les bras et s’embrassèrent… Le bonheur était à nouveau visible dans les yeux de la reine Catherine. Le voyage qui les ramena jusqu’auprès de leur fille se passa rapidement. Après le bonheur de pouvoir serrer à nouveau son trésor dans ses bras, le royaume décida d’organiser une grande fête en l’honneur de leur roi… La petite princesse Clara put à nouveau aller galoper avec son papa. Le bonheur et la joie régnaient à nouveau sur leur vie, et plus rien ne viendrait désormais troubler cette plénitude retrouvée.

Alors qu’elle relevait son regard sur le visage d’Emma, elle découvrit la petite fille endormie, serrant dans ses bras le doudou lapin que ses parents lui avaient offert pour son dernier anniversaire.

Fin du Flash back

La sonnerie de la porte d’entrée sortie Trish de ses pensées. Elle s’essuya les mains sur le torchon et se dirigea vers la porte d’entrée. Elle ouvrit la porte, alors que la sonnerie retentissait une seconde fois.

Trish : Bonjour… Entrez donc…

Aaaaaaaaaaaaah trop magnifique !

Je sais, je suis parfois lente pour laisser des coms... ms je le fais souvent à l'inspiration & souvent les mots me manquent

Mais j'adore réellement de trop cette histoire...

Espérons que l'histoire de Trish soit également celle de Harm & Mac & plus seulement celle de David & Catherine !!!

j'adore... viv'ment la suite

Mirciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Tout bcp encore d'avoir répondu à ma requête (na na elle n'a pas enlevé le haut pr moi) elle a fait mieux, elle a écrit cette petite merveille

Chapitre 15 :

Maison des Rabb
Lundi 22 Novembre 2007
11h30 (Heure locale)

Harriet entra dans la maison des Rabb après l’invitation de Trish. Elle était venue avec AJ Jr.

Harriet : Bonjour, Madame !

Trish pris un regard faussement sévère.

Trish : C’est Trish, Harriet. Quand mon fils me disait que vous étiez incorrigible j’avais du mal à le croire, je vois qu’il avait parfaitement raison.

AJ Jr. : Bonjour, Trish ! Je peux aller voir Emma ?

Trish : Elle est dans le jardin avec Franck, poussin. Tu peux aller les rejoindre.

Le petit garçon ne se le fit pas dire deux fois, et courut en direction de la porte de la cuisine donnant sur le jardin.
Harriet éleva un peu la voix pour que son petit garnement puisse l’entendre.

Harriet : Sois sage AJ.

AJ Jr. : Promis maman…

Il avait déjà la main sur la poignée de la porte. Une fois seules, Trish invita Harriet à prendre place au salon.

Trish : Que me vaut l’honneur de votre visite, Harriet.

Harriet : J’étais venu rendre visite à Mac et voir comment elle allait… Tient d’ailleurs, elle n’est pas là ?

Le regard de Trish se voila de tristesse immédiatement. Elle faisait fasse grâce à Franck et surtout elle faisait tout ça pour Emma. Sa petite fille était bien trop jeune pour qu’on la confronte directement à la situation.

Trish : Sarah est partie…

Harriet : Elle avait besoin d’être seule et de se retrouver pour affronter tout ça ?

Trish releva les yeux et regarda fixement Harriet.

Trish : Non. Sarah est partie en Irak à la recherche de Harm.

Harriet pu juste émettre un oh d’étonnement qu’elle recouvrit avec sa main.

Trish : Elle est persuadée que Harm est vivant quelque part en Irak. Elle nous a demandé de prendre soin d’Emma durant son absence, et qu’elle ne rentrerait qu’une fois qu’elle saurait la vérité.

Harriet ne s’attendait pas à ce qu’elle venait d’apprendre. Pourquoi Mac refusait elle de croire l’inévitable ? Harriet se remémora alors la quête de Harm pour retrouver son père.

Harriet : Elle a peut être besoin de faire cela pour accepter sa mort.

Trish afficha un regard coupable. Elle se sentait coupable d’avoir accepté sans douter de la mort de son fils. Alors que sa belle fille avait elle refusé de l’enterrer car elle était persuadée qu’il était toujours en vie. Elle avait ressenti comme un poignard dans le cœur quand elle avait pris conscience de la quête qu’allait mener Mac. Elle n’abandonnerait pas alors qu’elle n’avait même pas lutté. Comme si au fond d’elle-même, elle savait que rien ne pourrait empêcher son fils de subir cette affreuse tragédie qui touchait les Rabb depuis déjà des générations.

Trish : Et si elle avait raison, si Harm était vivant quelque part là bas en Irak…

Harriet la regarda étonnée.

Harriet : Vous pensez qu’il puisse être encore vivant ?

Trish : Je ne sais plus quoi penser… Je suis perdue…

Une larme perla au coin de l’œil de Trish. Harriet le remarqua de suite et posa une main réconfortante dans son dos, la massant légèrement pour l’apaiser.

Harriet : Je ne peux qu’imaginer ce que vous devez vivre… Mais j’ai moi aussi des enfants et il n’y a rien de plus horrible que de perdre ses enfants…

Trish : Mon cœur me dit de croire que Sarah a raison et qu’elle me ramènera mon fils. Mais ma raison refuse d’accepter cette idée. La souffrance que j’ai ressentit à l’annonce de sa mort a été tellement si horrible, que je n’aurais pas le courage de la supporter une deuxième fois si Sarah devait revenir seule… Mais même si je me refuse à la possibilité que Harm soit encore en vie quelque part dans ce pays, la mère qui est en moi veux croire plus fort que tout que son petit garçon est encore vivant…

Les larmes de Trish tombaient désormais abondamment sur son visage. Elle avait été forte durant ces quelques jours, pour Emma. Mais là, toutes les larmes et la douleur ressortaient sans aucune retenue. Les sanglots qui secouaient Trish attristèrent Harriet et ses propres yeux s’embuèrent également. Ne sachant comment réagir, elle finit par attirer Trish dans son étreinte pour la réconforter, même si vu la situation rien ne pourrait calmer la douleur d’une mère qui a perdu son unique enfant…
Au bout de quelques minutes à pleurer toutes les larmes de son corps, Trish finit par se calmer. Le bruit de petits pas dans la cuisine la ramenèrent à la réalité. Elle adressa un léger sourire pour remercier Harriet de sa présence. Elle essuya ses dernières larmes au moment où AJ Jr. et Emma arrivaient en courant dans le salon.

AJ Jr. : Dit maman, comme papa est au travail toute la journée on peut rester passer la journée ici…

Harriet allait réprimander son fils mais Trish intervint avant qu’elle n’ait réussi à dire un mot.

Trish : Je pense que ce serait une merveilleuse idée, bonhomme !

Le petit garçon sauta dans les bras de la femme pour la remercier.

Voici le nouveau chapitre de la journée...

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Chapitre 16 :

Quelque part au Nord de Mossoul
Mercredi 24 Novembre 2007
12h00 (heure locale)

Ils avaient passé la nuit chez le frère d’Amine, Samir. Celui-ci avait été un hôte parfait. Il leur avait offert un repas délicieux, concocté spécialement par sa femme. Après une nuit de sommeil réparateur, ils avaient du quitter le domicile de Samir de bonne heure pour que celui-ci ne court aucun danger.
Cela faisait maintenant plus de 5h qu’ils étaient à la recherche du lieu du crash de l’avion de Harm. Ils avaient du rapidement abandonner leur voiture pour pouvoir accéder à l’endroit indiqué la veille par Samir. Depuis, ils arpentaient les petits chemins pour enfin arriver à leur destination.

Clay : Nous devrions faire une pause et nous restaurer un peu.

Mac continuait à avancer sans s’arrêter.

Mac : Je n’ai pas faim.

Clay marcha rapidement pour arriver à sa hauteur et l’attrapa par le bras.

Clay : Cela ne servira à rien de continuer comme cela. On a besoin de reprendre des forces, la route n’est pas finie. Alors tu vas me faire le plaisir de t’arrêter et de manger les quelques vivres que nous avons emportés.

Face au ton autoritaire de son ami, Mac ne put qu’obtempérer.

Mac : C’est bon, tu as gagné…

Ils firent donc une halte d’1heure. Profitant par la même occasion pour préparer leurs armes, au cas où ils ne seraient pas seul sur le site du crash. Une fois leurs affaires rangées, ils reprirent rapidement la route. Leur marche dura encore pendant 1h avant qu’ils n’aperçoivent les traces de l’accident. Contre toute attente, il ne semblait y avoir personne dans les parages. Ils avancèrent tout de même prudemment, restant sur leur garde.

Clay : Je pensais que nous trouverions un petit comité d’accueil à notre arrivée.

Mac ne dit mot et se dirigea vers les quelques débris qui se présentait devant elle. La calendre de l’avion était toujours sur place, mais l’appareil avait complètement brûlé. Il lui sembla tout de même qu’il manquait quelques pièces sur l’appareil.
Clay faisait une inspection de son côté.

Clay : D’après les différentes traces que j’ai pu trouver, on a mis le feu à l’avion bien après le crash. Cela veut donc dire que le feu ne s’est pas déclaré des suites de l’impact. D’après mes faibles connaissances en aéronautique, j’ai pu relever qu’il manquait les instruments de bord. Il semble également que l’on ait retiré l’un des moteur et le système de propulsion.

Clay tourna la tête car il n’entendait plus aucun signe de vie de Mac. Il avança de quelques pas et la trouva accroupie par terre. Elle semblait tenir quelque chose dans ses mains qu’elle était en train de fixer intensément. Clay s’approcha tout doucement et se posta derrière elle. Il se baissa alors à son niveau et posa sa main sur son épaule pour la faire réagir.

Clay : Ca va, Sarah ?

Sarah se tourna vivement et tendit l’objet qu’elle tenait dans ses mains à Clay. Il s’agissait d’un bout de papier partiellement brûlé. Il se rendit de suite compte qu’il s’agissait en fait d’une photographie.
La voix pleine d’émotion, Mac parla enfin.

Mac : Il ne partait jamais voler ou en mission sans cette photo. C’était celle que nous préférions tous les deux. Nous l’avons refaite faire en plusieurs exemplaire pour la mettre dans la chambre d’Emma dans le salon et aussi dans notre chambre à coucher. Harm avait proposé qu’on en fasse faire également une pour chacun de nous deux pour mettre dans nos bureaux respectifs, ainsi que dans nos portefeuilles. Ainsi, quand l’un des deux devait s’absenter il avait toujours un lien avec l’autre et Emma.

Clay regarda à nouveau la photo, malgré le feu, la photo avait été épargnée partiellement par les flammes, on pouvait encore distinguer clairement la petite famille heureuse que formait Harm, Mac et Emma. Tous les trois souriaient grandement face aux jours heureux. Clay prit délicatement Mac dans ses bras. Celle-ci le serra fortement, n’ayant plus que lui pour ne pas sombrer.

Mac : Il n’y a rien ici qui peut nous dire où le trouver Clay… On n’y arrivera pas, autant chercher une aiguille dans une botte de foin. J’ai fait une promesse à Emma que je ne pourrais pas tenir. J’ai tellement voulu croire qu’il pouvait être vivant. Il a été la seule personne que je n’ai jamais aimée. Le seul qui m’a fait me sentir exceptionnelle, dans ses bras j’avais l’impression que j’étais une véritable princesse. J’ai voulu croire que tout ceci n’était pas mort, qu’il n’était pas mort… Mais j’avais tort.

La réalité du moment était en train de rattraper Mac de plein fouet. Elle, qui était pourtant si rationnelle en temps normal perdait toute logique quand il s’agissait de Harm ou de leur fille. Comment allait elle pouvoir vivre sans lui maintenant ?
Les larmes et les sanglots l’animèrent fortement, secouant tout son corps. Clay ne trouva rien d’autre à faire que de resserrer son étreinte.

Mac : Je suis désolé de t’avoir entraîné là dedans, Clay…

faut pas désespéré... haut les coeurs !
maintenant qu'elle s'est affalée, faut qu'elle qu'elle reprenne du poil de marin's !
un marin dans le désert, ça fait tâche !
merci merci pour cette suite !

Voici la suite.

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Chapitre 17 :

Quelque part au Nord de Mossoul
Mercredi 24 Novembre 2007
14h00 (heure locale)

Clay éloigna Mac pour la regarder dans les yeux.

Clay : Je t’interdis d’abandonner maintenant, Sarah. Tu ne m’as pas conduit jusqu’ici pour m’annoncer lâchement que tu abandonnais et que tu perdais tout espoir.

Mac le regarda au travers de ses larmes, complètement surprise par l’attaque de Clay.

Mac : Il n’y a aucun espoir, Clay. Je me suis faite de fausses illusions.

Clay la secoua légèrement.

Clay : J’ai toujours eu une confiance aveugle dans ton intuition. Quand tu es venue me chercher pour partir ici, j’ai voulu tout d’abord te raisonner, je pensais aussi que c’était parce que tu ne voulais pas accepter sa mort. Mais j’ai vu la détermination dans tes yeux, j’ai vu la conviction qu’était la tienne.

Mac baissa légèrement le regard, honteuse de cet abandon.

Clay : Regarde moi.

Mac releva avec hésitation les yeux pour les confronter à ceux de Clay.

Clay : Harm ne t’aurait pas abandonnée. Il aurait remué ciel et terre jusqu’à son dernier souffle dans l’espoir de te retrouver. Tu n’as pas le droit de baisser les bras maintenant, Sarah. Rappelle toi tout ce que vous avez traversé ensemble. Rien ne peut vous séparer, Sarah.

Les paroles de Clay lui redonnaient espoir. C’est vrai, elle n’avait pas le droit de l’abandonner lui, et puis elle pensait aussi à Emma. Elle renifla bruyamment et essuya du revers de la main ses larmes pour effacer les dernières traces de son abattement.

Mac : Tu as raison, Clay. Harm aurait continué jusqu’au bout, quoi qu’il puisse se passer il n’aurait pas abandonné avant de découvrir la vérité. Mais comment faire ? Nous n’avons aucune piste, rien pour nous indiquer où chercher…

Clay la regarda malicieusement. Et posa son doigt sur le cœur de Mac.

Clay : Il te faut chercher là, Sarah.

Elle le fixa, un regard de total incompréhension bordait son visage.

Mac : Que veux-tu dire par là ?

Clay : Lorsque Harm a eu son accident alors qu’il rentrait sur Washington pour ton mariage, tu as réussi à guider les secours à lui. Sans toi, il ne s’en serait sûrement pas sortit. Tu as fait de même avec Chloé.

Mac commençait à comprendre où Clay voulait en venir. Mais ce don qu’elle avait, été quelque chose qu’elle ne contrôlait pas.

Clay : Un lien spécial te lie aux personnes qui te sont chères. Et grâce à ce lien particulier que tu as avec eux, tu es capable de ressentir leur présence au plus profond de toi. Utilise ce lien, Sarah pour retrouver Harm. Je sais qu’au fond de ton cœur tu sais où il est.

Mac regarda la photo que Clay tenait toujours dans sa main. Elle devait arriver à sentir sa présence. Elle devait arriver à savoir où il se trouvait. Mais elle n’avait rien qui la rattachait à lui, elle avait besoin d’un objet matériel qui puisse lui permettre de se sentir proche de Harm pour pouvoir le trouver.
Comme s’il semblait lire dans ses pensées, Clay tira doucement sur la chaîne autour de son coup et fit apparaître l’alliance e, or qui y était toujours attaché.

Clay : Tu as avec toi le lien le plus fort qui te lie à Harm. Cette bague est le symbole de votre amour, de l’engagement que vous avez pris devant Dieu et tous vos amis.

Mac lui fit un magnifique sourire. Jamais elle n’aurait pu tenir içi sans sa présence. Il était un ami formidable. Chaque jour elle s’en rendait compte un peu plus.

Mac : Merci, Clay… Merci pour tout… Merci d’être là…

Clay : Je n’aurai voulu être ailleurs qu’ici avec toi, Mac…

Après un autre sourire franc, elle prit délicatement l’alliance de son époux dans sa main et la caressa doucement avec ses doigts. Elle ferma les yeux comme pour se concentrer, et arriver à faire le vide autour d’elle, se concentrant uniquement sur le petit anneau qu’elle tenait en main. Une multitude d’images défilèrent devant ses yeux, allant de son mariage avec Harm, aux moments intimes qu’ils avaient partagés. Toute sa vie passée à ses côtés défilait tel un film. Puis des images qui lui étaient inconnues vinrent remplacer les anciennes.
Clay put noter le changement d’expression sur son visage. Le léger sourire qui l’accompagnait jusqu’alors laissa place à un visage reflétant l’incompréhension et la surprise.
Mac ouvrit subitement les yeux.

Mac : Je sais où il se trouve…

Clay avait une totale confiance en son don, mais il était tout de même assez surpris de la rapidité avec laquelle elle avait trouvé.

Mac : Donne moi une carte du pays Clay.

Il fouilla dans son sac et en ressortit la carte routière d’Irak qu’ils avaient pensé à prendre dans leur paquetage. Il la déposa au sol et aussitôt Mac examina la carte. Au bout de quelques secondes, elle posa son doigt sur un point précis de la carte. Elle releva alors le regard.

Mac : Il est là…

Bon voici la suite.

Pour le prochain chapitre il faudra attendre dimanche soir désolé...

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Chapitre 18 :

Quelque part au Nord de Mossoul
Mercredi 24 Novembre 2007
16h00 (heure locale)

Clay fixait le point sur la carte que Mac pointait avec son doigt.

Clay : tu es formelle ?

Mac : Je sais qu’il est là…

Clay n’insista pas. Il examina plus précisément la carte pour trouver le meilleur moyen pour s’y rendre. L’endroit que Mac lui avait indiquait été relativement proche de leur position actuelle. D’après lui 1 à 2h de marche suffiraient à rallier l’endroit en question.

Clay : Si nous partons maintenant, nous arriverons à être sur place avant la nuit.

Sans être totalement consciente des gestes qu’elle faisait, Mac rassembla le peu d’affaire qui jonchaient le sol, et commença sa marche dans la direction indiquée plus tôt par Clay. Elle s’arrêta subitement et se retourna face à son ami.

Mac : Et si je me trompait ?

Face au regard noir qu’il lui jeta, elle reprit instantanément sa marche.

Mac : Non, je ne me trompe pas, mon instinct ne me jouerait pas de tour.

Clay sourit grandement, il avait enfin réussit à re-motiver, Sarah.

Après 1h30 de marche, ils arrivèrent devant une petite demeure. Une modeste petite ferme qui devait appartenir à de pauvres paysans de la région. La nuit commençait déjà à tomber sur la plaine qui s’étendait devant eux. Ils avancèrent prudemment vers la demeure ne sachant pas comment les habitants allaient les accueillir.

Clay : Je vais passer par derrière, tu passes par devant toi.

Mac regarda Clay un sourire moqueur sur le visage.

Mac : La CIA passe toujours par derrière pour se couvrir, et nous les marin’s on attaque de front…

Mac partit à rire franchement. Clay lui donna une légère tape sur le bras pour lui montrer son mécontentement face à sa remarque sur la CIA. Mais il ne put s’empêcher de rire avec elle. Une fois leur calme retrouvé, ils mirent leur plan à exécution.
Mac s’approcha doucement face à la demeure tandis que Clay avait fait le tour pour arriver par l’arrière.
Alors que Mac se trouvait à 5m de la maison, un homme d’un certain âge sortit avec un fusil dans les mains.

Mac : Bonjour, vous parlez anglais ?

Elle avait utilisé une voix douce pour ne pas effrayer l’homme. Elle se présentait ici en tant qu’ami et ne voulait créer aucun problème. Elle voulait juste trouver des réponses.
L’homme s’approcha d’elle pour se trouver à tout juste 1 mètre. Il lui répondit alors dans un anglais plus que sommaire.

Homme : Vous… vouloir… quoi… ? Nous… rien avoir…

Mac regarda l’homme qui était maintenant tout près, elle put juger qu’il devait avoir approximativement 55 ans. Il avait une légère barbe, son visage était marqué par le travail et les conditions dans lesquelles il vivait.

Mac : Je ne veux rien. Je suis à la recherche de mon mari…

L’homme la fixa sans aucun changement d’expression sur son visage. Mac porta alors sa main à son sac. Face au geste, l’homme pointa son fusil en avant, ce qui eut pour effet de faire aussitôt relever les mains de Mac en avant, de façon à ce qu’elles soient visible pour l’homme.

Mac : Je veux juste vous montrer une photo pour savoir si vous l’avez vu.

L’homme acquiesça de la tête et Mac sortit alors la photographie qui se trouvait dans son sac. Elle la tendit alors à l’homme.

Mac : Vous voyez, l’homme sur cette photo est mon mari. Vous l’avez vu ?

L’homme sembla réfléchir. Pendant ce temps, Clay avait fait le tour de la maison et n’ayant rien trouvé, il rejoignit Mac. Celle-ci le voyant approcher prévint l’homme pour qu’il n’ait pas peur.

Mac : Je suis venue içi accompagné d’un ami pour ramener mon mari dans notre pays.

L’homme examina Clay puis reporta son attention sur Mac. Après quelques secondes supplémentaires qui parurent une éternité à Mac, l’homme se décida à parler.

Homme : Vous aller par là-bas et marcher pendant 5 minutes.

Le cœur de Mac sembla manquer un battement, se pourrait-il qu’elle retrouve Harm ? Elle tourna alors un regard complètement perdu vers Clay.

Clay : Tu devrais y aller seule, Sarah. Je t’ai accompagné jusque là mais maintenant toi seule peux faire les dernier pas.

Mac prit donc la direction indiquée par l’homme. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine. Elle avançait d’un pas incertain. Elle arriva à une petite haie, elle passa par un petit sentier au travers de celle-ci. Son cœur cessa tout battement face à la vue qui s’offrait à elle. Elle avança maintenant à grandes enjambées et se retrouva bientôt face à un homme. Elle l’aurait reconnu n’importe où, ce regard n’appartenait qu’à lui. Il semblait tout aussi muet qu’elle. Ne sachant s’il était dans un rêve ou si c’était bien la réalité.
La gifle qu’il reçu sur la joue résonna dans la petit clairière…

QUI A OSE FRAPPE HARMINOU ???????
il est pas mort !!!! ah l'intuiton Mackenzienne !

Semper Fi Mac !!!

Je dis pas qu'il a du vivre les plus beaux mois de sa vie mr son mari...

Mais je lui en aurais également foutu une pour l'inquiétude que j'aurai eu...

Parfois la peur mélangée à la joie, peut donner de drôles de réaction, dont celle ci !!!

Aaaaaaaaaaah j'adore !

Maintenant j'attends les explications de mr Rabb (en espérant que ni les nm Webb ou CIA apparaissent ds la conversation...)

Viv'ment la suite... Je veux savoir

Et en mm tps, c'est bientôt la fin

Ah ms qu'entens-je ?!!!

Yaura une quatrième partie

Trop gentille !!!! Mirciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Citation :

Ah ms qu'entens-je ?!!!

Yaura une quatrième partie

Trop gentille !!!! Mirciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

NONNNNNNN....... NONNNNNNNNNNNNN et RE NONNNNNNNNNNNNNN

On avait convenu jsute pour une 3° partie j'ia dit que je ne poursuivrais pas cette histoire à la fin de cette partie... Cette fois elle est cloturé pour de bon... Je t'interdits de m'e naprler sinon tu sias que je vias craquer et que je vias commencer à y cogiter...

Je vois que le pourquoi de la baffe à sucité autant d'interrogation que dnas le clan des personnes qui ont lu la fic en avant première...

Et bine l'explication dans ce chapitre, et je peux déjà justifier que ayant je pense un caractère assez semblable à celui de MAc je l'ai faite réagir comme je pense que j'aurai réagit...

Allé j'arrête les bavardages et je vous laisse lire.

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Chapitre 19 :

Quelque part au Nord de Mossoul
Mercredi 24 Novembre 2007
18h00 (heure locale)

Sa main était toujours suspendue dans les airs, elle se rapprocha encore plus de lui et commença à tambouriner avec ses points sur son torse. Elle voulait évacuer toute la souffrance qu’elle vivait depuis ces derniers jours, depuis l’annonce de sa mort. Fasse au désespoir de la jeune femme, l’homme en face d’elle la prit dans ses bras. La serrant contre son torse le plus fort possible. Aussitôt elle cessa tout mouvement, se perdant totalement dans son étreinte. Puis bientôt les gestes et mouvements désordonnés laissèrent place aux larmes. Elle n’avait plus la force de rester debout, toute la pression était en train de retomber et ses dernières forces étaient en train de l’abandonner. Elle glissa légèrement dans ses bras. Il la suivit dans son mouvement et tomba à genou avec toujours dans ses bras Mac. Mac lâcha alors dans un sanglot.

Mac : Pourquoi tu nous as fait ça, Harm ? Pourquoi ?...

Pour seule réponse il resserra son étreinte. Voulant profiter de sa présence.Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pu profiter de la sentir dans ses bras. Mais il savait aussi qu’il lui devait des explications. Et le temps des réponses était arrivé.

Harm : Je suis désolé de vous avoir fait vivre tout ceci… J’aurai tellement aimé t’épargner tout ceci ainsi qu’à Emma…

Les larmes baignaient maintenant son visage à lui aussi.

Harm : Tu connais l’armée, Sarah. On m’a demandé de faire une mission et même si j’aurai préféré refuser je n’en avais pas le droit…

Mac s’éloigna légèrement pour voir dans les yeux de son époux. Ce regard lui avait tellement manqué.

Mac : Pourquoi nous avoir fait croire que tu étais mort, pourquoi ne pas avoir fait signe plus tôt ?

Harm la fixa complètement hilare. Mort ?

Harm : Mais je n’ai jamais fait croire à ma mort…

Soudain la réalisation de ce qu’elle venait de dire prit forme dans sa tête. Ils l’avaient cru mort.

Harm : L’armée t’as annoncée ma mort ?

Mac hocha simplement la tête.

Harm : Ma mission était simple, je devais survoler le nord de l’Irak et crasher mon avion. On a eu vent que des soldats américains aidaient les Irakiens à se fournir en armes, ainsi qu’à récupérer les épaves de nos avions lorsque ceux-ci s’écrasaient sur leur sol…

Mac l’écoutait attentivement. Voulant savoir ce qui avait éloigné son mari d’elle et surtout les motifs de sa disparition.

Harm : Seulement j’ai eu un problème de moteur et j’ai du atterrir en catastrophe. Le terrain ne s’y prêtait pas vraiment et l’atterrissage a été quelque peu violent… J’ai réussi à m’extraire de la carlingue, et je me suis éloigné de l’épave pour ne pas me faire repérer. Je me souviens alors être arrivé dans cette clairière, je sentais que je ne tiendrais pas debout encore longtemps. Le choc m’avait beaucoup secoué et j’étais au bord de l’évanouissement…

Mac pouvait voir dans ses yeux qu’il était en train de revivre les moments de l’accident. Il avait cette ride qui barrait son front.

Harm : Alors que j’avançais encore de quelque pas, j’ai aperçu un homme qui devait avoir la cinquantaine…

Mac pensant aussitôt qu’il devait s’agir de l’homme qu’elle avait rencontré plus tôt.

Harm : J’ai tout juste eu le temps de lui demander son aide avant de m’effondrer sur le sol…

Mac avait le cœur serré, tout cela avait été difficile a vivre pour elle, mais Harm avait traversé des moments tout aussi difficile, il avait été blessé et il était loin de chez lui, loin de sa famille et de ses amis.

Harm : Je me suis réveillé deux jours et demi plus tard. J’avais un léger mal de crâne, mais sinon je me portais relativement bien… J’étais installé dans une chambre relativement sommaire… Après un bon repas et m’être rafraîchi j’allais déjà beaucoup mieux.

Mac demanda alors surprise.

Mac : Pourquoi ne pas être rentré ou avoir essayé de contacter le Patrick Henry.

Harm fit un geste pour désigner ce qui les entourait.

Harm : Comment aurai je pu contacter qui que ce soit d’ici. Ce pays est plus qu’hostile face aux américains. Je n’avais d’autre choix que celui d’attendre que l’on vienne me chercher.

Mac : Et si personne n’était venu, nous te croyons tous morts. Ta mère t’a mis en terre il y a une semaine, Harm.

Harm caressa de sa main la joue de Mac.

Harm : Mais toi tu ne l’as pas cru. Je savais que toi tu viendrais me sauver. Personne d’autre que toi n’aurais réussi à le faire…

tu vas pas faire la 4ème partie? tant pis je me ferai une raison ! lol j'adore vraiment trop ! vivement la suite !

Allé la voici la suite...

L'épilogue pour demain ou ce soir suivant si je pars ou pas...

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Chapitre 20 :

Quelque part au Nord de Mossoul
Mercredi 24 Novembre 2007
18h30 (heure locale)

La nuit commençait à les recouvrir. Mac restait interdite devant la révélation de Harm. Elle était extrêmement touchée par ses paroles.

Harm : Et puis je t’avais laissé quelque chose pour me retrouver.

Mac fronça les sourcils en signe d’incompréhension. Harm approcha alors la main de son tee-shirt et saisit la bague qui pendant à son cou.

Harm : Je savais qu’avec ceci tu me retrouverais. Cette bague est la preuve de notre amour. J’avais juré de ne jamais l’enlever, mais quand j’ai accepté cette mission je savais que je pouvais rester bloqué ici. J’ai alors pris la décision de laisser mon alliance dans mes affaires dans l’espoir que tu la trouves.

Mac lui adressa un tendre sourire. Cela faisait des mois qu’il n’avait plus eu droit à une telle vision. Cela lui donna des ailes et il lui rendit un sourire tout aussi flamboyant.

Mac : Je t’ai en effet retrouvé grâce à ton alliance. Mais je t’ai surtout retrouvé grâce à Clay !

Harm plissa les yeux, ne comprenant pas ce que Mac voulait dire par là.

Mac : Clay m’a accompagné dans ce long voyage. Personne ne te croyait encore en vie. L’armée avait arrêté les recherches, et tu as été officiellement enterré. J’ai refusé d’assister à cela. Au fond de mon cœur je savais que tu n’étais pas mort. Le jour de la cérémonie, je suis restée avec Emma. J’ai alors ouvert la lettre que tu m’avais adressée au cas où il t’arriverait quelque chose.

Harm eu un moment de surprise.

Harm : Ils t’ont rendu mes effets personnels ?

Mac : Oui, le jour où on m’a annoncé ta mort, le soldat qui est venu m’a remis une boite avec toutes tes affaires. Au dessus des affaires j’ai trouvé ton alliance et juste au dessous une enveloppe avec écrit dessus Sarah. Je n’ai pas eu le courage de la lire, mais le jour de ton enterrement je l’ai enfin ouverte. Je m’étais rendu au mur avec Emma et je l’ai lu là-bas.

Harm était extrêmement ému de ce qu’il était en train de découvrir. Il n’avait pas pensé un instant que cela avait pu se dérouler de cette façon de l’autre côté de l’atlantique.

Mac : J’ai alors promis à Emma de lui ramener son papa et je suis partit de la maison en confiant notre fille à tes parents. Je me suis de suite tournée vers Clay pour trouver de l’aide. Je savais que ce voyage serait difficile et qu’il ne serait pas facile de se déplacer sur ce territoire hostile.

Harm savait que l’espion et sa femme avaient un passé commun. Et il était content que Clay ait été là pour elle durant les moments difficiles qu’ils avaient du traverser. Il devait reconnaître qu’au début leur relation était plutôt difficile, mais au fil des rencontre il avait découvert un homme différent de celui qu’il avait l’habitude de côtoyer. Les moments où l’homme était le plus surprenant était quand il s’occupait de la petite Emma. Jamais auparavant Harm n’aurait pu s’imaginer Clay avec un enfant dans les bras. Il du bien vite reconnaître face aux rires de sa fille que l’espion avait un don pour s’occuper d’eux.

Mac : Je dois avouer que malgré ma détermination de départ, si Clay n’avait pas été là, j’aurai baissé les bras sans aucun doute. J’étais perdu, je ne savais plus que croire, si je devais me fier à mon instinct ou si je devais admettre ce que tout le monde semblait croire…

Une nouvelle larme roula sur la joue de Mac au souvenir de tout ce qu’elle venait de traverser. Harm l’essuya rapidement et la laissa poursuivre son récit.

Mac : Clay m’a remué et il m’a fait prendre conscience que je n’avais pas le droit d’abandonner, de t’abandonner. Il a aussi précisé que toi tu aurais remué ciel et terre pour me retrouver sans jamais baisser les bras…

Mac se jeta dans les bras de Harm. Elle avait besoin de le sentir à nouveau contre elle pour être sûre de sa présence. Son odeur si familière emplissait ses narines et la rassurait.

Mac : Promet moi de ne plus jamais nous abandonner…

Harm embrassa tendrement la tempe de Sarah et resserra plus fort son emprise sur sa femme.

Harm : Je te le promet, je n’aurai plus jamais le courage de vous quitter. L’armée est toujours passé avant tout dans ma vie, mais depuis que toi et Emma en faite parties, il n’y a rien de plus important que mes deux princesses dans mon cœur.

Mac releva légèrement le visage pour le regarder tendrement.

Mac : Je t’aime…

Il rapprocha son visage du sien et souffla alors tout contre ses lèvres.

Harm : Je t’aime aussi, mon amour…

Le baiser qui suivit fut le baiser de la délivrance, du soulagement, de l’amour… symbole poignant de tout l’amour qui pouvait les unir et du bonheur d’être enfin auprès de l’être aimé. Au bout de quelques secondes qui leur semblèrent une éternité, Harm mit fin à leur tendre baiser. Posant son front contre celui de la jeune femme il murmura.

Harm : Si on rentrait à la maison, mon cœur ?

Mac : Je te suis où tu voudras, du moment que tu ne me quittes plus…

Bon allé voici l'épilogue...


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Epilogue :

Maison des Rabb
Dimanche 28 Novembre 2007
15h30 (Heure locale)

Des cris d’enfants en train de jouer joyeusement, émanaient du jardin de la maison. Harm serra plus fortement la main de Mac. Celle-ci arrêta leur marche pour le regarder.

Mac : Tout va bien se passer, Harm.

Harm la regarda sans grande conviction.

Harm : Ils croient tous que je suis mort, Mac. Cela va leur faire un choc terrible.

Mac posa sa main sur sa joue pour le calmer. Elle faisait toujours de même avec Emma lorsque celle-ci était agitée. L’effet était en général immédiat et la petite fille était tout de suite apaisée.

Mac : Cela va sûrement leur faire un choc terrible, mais ils savent pourquoi je me suis rendu en Irak. Ils seront heureux que tu sois ici et bien vivant. Et puis il y a une petite fille qui a sans aucun doute hâte de retourner voler avec son papa. Tu ne vas pas la faire attendre plus longtemps avant qu’elle ne retrouve les bras de son héros ?

Un magnifique sourire illumina son visage à l’évocation de leur petite princesse. Depuis qu’il avait retrouvé Mac, elle n’avait cessé de lui parler des progrès de leur fille. Mac avança d’un pas.

Mac : Tu es près, matelot ?

Harm hocha simplement de la tête et la suivit en direction du jardin. Au moment ou ils passèrent le petit portillon qui se trouvait à l’arrière de la maison, le regard de Harm se posa aussitôt sur la petite puce quoi jouait au ballon avec le filleul de ses parents.
Comme animé par une force inexplicable, Emma tourna aussitôt son attention vers le fond du jardin. La petite fille lâcha le ballon qu’elle tenait dans ses mains, et du haut de ses deux ans et demi, elle se dirigea vers la source qui avait attiré son attention.

Emma : Maman… Papa…

A l’énonciation, tous les adultes présents suivirent du regard la direction que prenait la petite fille. Et alors que celle-ci se jetait dans les bras de son père et de sa mère, les adultes restèrent sans voix face au tableau qui s’offrait devant eux.
Suite à l’invitation de Trish, Bud, Harriet et les enfants étaient venu passer l’après midi chez les Rabb. Après un repas délicieux préparé par les femmes, ils avaient décidé de s’installer dans le jardin pour profiter des quelques rayons de soleil que ce mois de Novembre leur offrait.

Harriet : Oh mon Dieu…

Son mari du la tenir par la taille pour éviter que son épouse ne tombe. Heureusement pour Trish qu’elle était assise car elle serait sûrement tombé à la renverse.
Harm et Mac de leur côté, ne faisait guère attention à ce qui les entourait. Toute leur attention était pour la petite fille qui ne cessait de passer des bras de son père au bras de sa mère. Des larmes perlaient dans les yeux de la petite princesse.

Emma : Pourquoi que vous êtes parti sans moi ? Vous m’aimez pu ?

Le cœur de Mac rata un battement. Comment ne pourraient ils plus aimer leur petite fille.

Harm : Papa et maman ne cesseront jamais de t’aimer ma puce. Tu es le plus beau cadeau que la vie nous a offert…

Emma : Alors pourquoi que vous êtes partis tous les deux ?

Mac caressa les petites boucles de sa fille.

Mac : Maman est allé chercher papa…

Emma : Pourquoi, il retrouvait pu la maison ?

Mac et Harm rire légèrement face à la remarque enfantine.

Harm : En quelque sorte ma chérie. Mais maintenant, papa ne vous quittera plus jamais.

Trop accaparés par leur petite fille, ils n’avaient pas remarqué que le groupe d’adultes s’était rapproché de la petite famille. Trish profita qu’Emma soit dans les bras de Mac pour prendre son fils dans ses bras.

Trish : Tu es vivant, mon fils… Je l’ai tellement souhaité, sans jamais me l’avouer…

L’émotion était à son comble et les larmes de Trish n’avaient de cesse de couler.

Harm : Pardonne moi, maman… Je ne voulais pas te refaire vivre ça…

Trish se dégagea de l’emprise de son fils et le regarda droit dans les yeux.

Trish : C’est le jour le plus heureux de ma vie après ta venue au monde. La vie m’a rendu mon unique fils…

Après des retrouvailles fortes en émotion et une soirée entre amis, Harm et Mac se retrouvèrent devant le lit de leur petite fille qui dormait comme un ange.

Harm : Que ce visage m’avait manqué…

Il se positionna derrière Mac et entoura sa taille tout en posant son menton sur l’épaule de celle-ci.

Harm : Rien ne pourrait me rendre plus heureux que d’être ici, avec toi et Emma…

Mac se retourna légèrement pour le fixer.

Mac : Tu te souviens de notre lune de miel ?

Harm : Bien entendu, comment oublier de tels moments.

Mac : Et tu te souviens de quoi nous avions parlé sur la plage alors que nous contemplions le coucher du soleil.

Flash back

Harm et Mac étaient tendrement enlacés à regarder le soleil se coucher sur l’horizon.

Harm : J’aimerai que l’on donne un petit frère ou une petite sœur à Emma. Je veux un autre enfant de toi…

Mac s’était retourné, surprise par la déclaration de Harm.

Mac : Tu le désires vraiment ?

Harm déposa un tendre baiser sur le bout de ses lèvres.

Harm : plus que tout au monde.

Mac s’était contentée alors de l’embrasser le plus passionnément possible, lui montrant par ce simple baiser la joie qui l’animait à cette idée.

Fin du Flash back

Devant le sourire qu’affichait Harm, elle comprit qu’il savait exactement ou elle voulait en venir.

Mac : Je suis enceinte de 3 mois…

Harm : Il semblerait que mon départ ait eu un point positif…

Il ne lui laissa pas le temps de répliquer et la souleva dans les airs, la faisant tournoyer dans ses bras. Il savait que la vie ne serait pas toujours rose et qu’elle leur réservait sans aucun doute d’autres surprises. Mais avec Sarah, Emma et leur nouvel enfant à venir il était près à tout surmonter pour profiter du bonheur que lui offrait sa famille…



~*~* FIN *~*~

C'est trop bau !!!!!!!!!!!

J'en ai pleuré de joie !!!

BRAVO BRAVO BRAVO !!!!

honte à moi j'ai pas mis de coms

enfin tu sais ce ke je pense de ta fic.

JE L'ADORE

elle est magnifique, kom toutes tes fics

Je suis désolée de répondre aussi tard, surtout que cette fanfic m'était destinée...

Mais parfois, les mots manquent et mettre un commentaire banal, je n'aime pas ça... alors je laisse murir mon idée... & puis voilà, ce soir, je me jette à l'eau & je t'écris enfin ce com si attendu...

Que dire...

Que j'adore serait trop peu pour te dire toute la gratitude que j'ai parce que tu as répondu à ma requête !

J'avais adoré les 2 premières parties... j'adore davantage la 3ème !

Alternée entre Mac en Irak & Emma restée aux USA avec ses grd parents est l'un des aspects qui m'a le plus plu !

Une histoire pas seulement centrée sur Harm & Mac... mais sur leur famille... leurs amis... j'ai adoré

Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci Merci et encore Merci


Viv'ment ta prochaine fic.... C'était un plaisir de te lire & je ne regrette pas un seul instant d'avoir attendu aussi longtemps...

Voila la trilogie se finit & cette troisième partie va rejoindre ses deux autres soeurs qui sont déjà imprimées & dans ma chambre

Ben j'avoue tomcat que je n'y croyais plus... JE désespéré d'avoir enfin ton commentaire sur le final ce cette trilogie...

Je usis vriaemtn ravi que cela vous ai plus à tous. Merci pour tous vos commentaires.

Pour ce qui est de la prochaine fic. Elle est en préparation je te l'ai raconté dnas les détails d'ailleurs Tomcat. MAc79 étant totalemetn absente du net pour le mometn pour des raison de santé j'ia remis sa fic pour son retour donc je m'attaque à l'autre.

Donc patience faut jsute que j'arrive à me motiver pour me lancer...