Eagles Wings (episode 4 à6) [terminée]

En effet je confirme...

J'ia hate de recevoir pour la relecture la suite de cet épisode 6 qui est toujours aussi pationnant...

Le dénouement est proche. JE vias enfin savoir quel sort tu me réserve... Allé pitié fait pas la sadique je veux une belle fin pour MArlène ... Bon pour Hamr et MAc aussi, mais j'ia bine le droit de penser en premier lieu à moi non ?

En tout cas je tiens à prévenir tout le monde attendez vous à des révélations innatendues...

j ai hate de lire la suite!!!!!

Ils sont trop choux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Mais j'ai peur d'un coup de ce qui peut arrivé dans ce dernier épisode !!

J'ai enfin lu la suite des épisodes!!!! Génial!!!
vive la suite!!!

QG de la police de Wildforest

Marlène:-Quoi ? Vukovic ?

Sarah:-ouais et la balle correspond à celle de son flingue.

Clive:-c’est étrange. Qui l’aurait soupçonné ?

Marlène s’assit sur une chaise et paru réfléchir.

Harm:-Mars….ça va ?

Marlène:-y a un truc que je vous ai pas dit.

Harm:-quoi ?

Elle leva la tête et les regarda.

Marlène:-la dernière fois, il m’a menacé mais je l’ai remis à sa place. Je n’aurais jamais pu imaginer qu’il avait un lien avec cette affaire.

Clive:-justement. Maintenant tu sais qu’il en a un.

Sarah:-mais lequel. Vukovic a 28 ans à peu près, donc il n’était pas né à cette époque. C’est…..il doit y avoir de l’argent dedans, sinon pourquoi il ferait ça ?

Harm:-il a un complice. Seul, il ne pourrait faire ça. Au faite, on sait ce qu’est devenu notre auteur.

Clive:-ça bouge pas de ce côté.

Marlène:-non, il faut creuser sur Helena. Il faut voir Big Bud. Il est mêlé à tout ça. Au faite, Sarah qui est Rosa ?

Sarah:-Rosa ? C’est la femme de ménage des Roberts.

Marlène:-elle est là depuis longtemps ?

Sarah:-oui. Depuis toujours je crois.

Harm:-pourquoi tu demandes ça ?

Marlène:-L’aumônier m’a dit que Helena était parti et qu’il y avait une raison mais que la déontologie ne lui permettait pas de le dire, par contre Rosa le sait.

Harm:-je déteste ça. Cette foutu déontologie. Une femme est morte et il ne peut rien dire.

Sarah:-parfois nous aussi, on se sert de la déontologie. Bon.

Elle passa sa main dans ses cheveux et commença à marcher dans la pièce. Il y avait un long silence tout le monde étant plongé dans leurs pensées.
Sarah s’appuya contre le bureau.

Sarah:-une équipe doit interroger Rosa et l’autre doit se mettre sur le cas Vukovic.

Clive:-interrogez Rosa. Tu la connais, elle te parlera plus facilement.

Harm:-ok, on fait comme ça.

Marlène se leva et partit avec Clive.
Harm commença à mettre sa veste quand il remarqua que Sarah ne bougeait pas.


La porte du grenier s’ouvrit, Sarah suivit son cousin.

Lucas:-tu vois, y a rien. Allez, entre.

Ils avancèrent lentement, Sarah avait quand même peur. Mais Lucas était là, si il y avait quelque chose il la protègerait.

Finalement, elle lâcha la main de son cousin et se débrouilla toute seule. Elle vit une grosse malle qu’elle toucha du bout des doigts.

Lucas:-tu veux qu’on voit ce qu’il y a dedans ?

Elle recula légèrement pendant que Lucas ouvrait la malle.

Lucas:-vient là.

Elle s’avança et regarda ce qu’il y avait dedans. Lucas la prit dans ses bras.

Lucas:-il n’y a pas de monstres. Il n’y a que des photos.

Il avait raison, elle ne devait pas avoir peur. Elle tendit la main et prit une photo qui l’avait intriguée. Elle la regarda.

Deux femmes étaient assissent côte à côte, souriante, l’une d’elle tenait un bébé qu’elle montrait à l’objectif. Le bout de chou, les yeux grands ouverts regardait devant lui.

Sarah:-qui c’est ?

Elle désigna de son doigt la jeune femme avec le bébé.

Sarah:-c’est maman ?

Lucas ne répondit pas.

Sarah……Sarah…..

Elle secoua la tête. Elle sentit la main de Harm sur son épaule.

Harm:-Sarah…ça va ?

Elle le regarda.

Sarah :-excuse moi un vieux souvenir.

Harm:-et…. ?

Sarah:-rien. Au faites on a une photo de Helena ?

Harm:-euh…oui, celle de la photo qu’il y avait chez les Roberts. Tu te sens bien tu es sûre ?

Sarah:-oui. Ça va. La fatigue, c’est tout.

Harm:-ok, ben alors, on y va ?

Sarah:-oui, oui. Je te rejoints dans deux secondes, je mets ma veste et j’arrive.

Harm sortit même s’il sentait qu’il y avait un truc qui clochait. Sarah ouvrit le tiroir et prit le dossier de l’affaire, elle trouva la photo et la regarda.

Elle posa sa main sur sa bouche pour retenir un cri. C’était impossible.

A suivre.

Ah mais oui vite la suiiiiiiteeeeeeee !!!!!!!

Chapitre 3 :

Sur la route

Les arbres défilaient à vive allure à travers la vitre de la voiture. Sarah avait appuyé son front contre, et fixait le paysage extérieur. Comment cela était il possible, il y avait une explication, c’était obligé.

Harm : Sarah, y a quelque chose que tu ne me dis pas ?

Elle secoua sa tête négativement.

Harm : alors pourquoi reste tu silencieuse ?

Sarah : je suis fatiguée, c’est tout.

Elle se tourna encore plus sur le siège, évitant son regard. Elle avait peur qu’il puisse lire dans ses yeux.

Sarah : on va interroger Rosa et ensuite je vais aller à l’hôtel, j’ai besoin de repos.

Harm : c’est la première fois que je t’entends dire ça. Tu es toujours d’attaque.

Sarah : tu me connais depuis moins de deux semaines. Tu ne sais pas comment je peux être. On ne se connaît pas assez pour tout savoir sur l’autre.

Elle avait dit ça sur un ton de reproche, Harm le sentit. Il s’enfonça plus dans le siège. Quelques heures auparavant elle lui disait qu’elle l’aimait et là, elle le repoussait. Il en comprenait plus rien.

Par chance, ils arrivaient près de la maison des Roberts. La première fois qu’il avait vu cet endroit, Harm avait tout de suite compris que toute l’histoire avait un lien avec eux.

Ce n’était pas vraiment une maison, on aurait dit plutôt comme un manoir. Assez sombre, et la verdure autour n’arrangeait rien. Le manoir était éloigné de la ville et du reste des habitants et avait une grande forêt. Le lieu correspondait au maître, Big Bud Roberts était aussi sombre que son manoir, il avait par sa carrure le même caractère imposant.

Il se gara dans l’allée et il sortit de la voiture, suivit par Sarah qui ne disait rien. L’ambiance entre eux était très froide, beaucoup trop au yeux de Harm. Elle tapa fortement à la porte et attendit.

La porte s’ouvrit, c’était Rosa.

Rosa : Bonjour que puis….

Sarah : répondre à nos questions. On peut rentrer ?

Elle n’attendit même pas la réponse et rentra, Rosa par politesse, la laissa passer, tout en jetant un coup d’œil interrogatif à Harm.

Il la suivit et ils allèrent dans le salon.

Rosa : que voulez vous….

Sarah : pourquoi Helena est elle partie ?

Rosa : qui ?

Sarah : Helena….Helena Pitt ou plutôt Roberts. La femme du frère de Big Bud. Pourquoi est elle partie ?

Rosa : je ne comprends pas.

Sarah : vous avez travaillé avec elle, elle était là avec vous. Vous étiez âgé de 25 ans et elle de 20 ans. Elle s’est mariée et ensuite pour une raison que seulement DEUX personnes savent elle est partie. Ces deux personnes sont l’aumônier Turner et vous. Je répète ma question. POURQUOI est elle partie ?

Harm regarda abasourdi la femme à ses côtés, elle semblait énervée.
Rosa quant à elle regardait ses pieds.

Sarah : Rosa ne m’obligez pas à répéter.

Rosa : j’ai…..c’était il y a longtemps…..

Sarah : ROSA.

Rosa : Elle….elle était belle, quand elle est arrivée ici, elle a fait tourner les têtes de tout les garçons, y compris Big Bud. Il lui a tourné autour mais elle a préféré son frère. Ils se sont mariés, Big Bud n’a pas apprécié et il…..par jalousie, un soir alors que son frère était absent il l’a….

Sarah : il l’a.... ?

Rosa : il l’a violé.

Harm : il l’a violé ?

Rosa : oui. Elle est partie après ça. Cependant, après qu’elle est eut son bébé, elle est revenue…

Sarah : son bébé ?

Rosa : oui. Elle est tombée enceinte. Après le viol, elle était partie sans rien dire à son mari mais il l’a retrouvée. Je crois que son bébé n’était pas le sien.

Harm : mais celui de Big Bud.

Rosa : oui. Elle est revenue après l’accouchement, certainement pour dire toute la vérité à Big Bud et aux autres.

Harm : elle a eu son accident et elle est morte, son bébé aussi.

Rosa ne dit rien et remua légèrement sur son fauteuil.

Harm : le bébé est mort n’est ce pas ?

Elle ne dit rien et n’osa pas relever la tête.

Sarah :il n’est pas mort. Puisque ma mère le connaissait.

Harm : quoi ?

Sarah : ma mère et Helena se connaissaient. Elles se sont vues plusieurs fois je suppose.

Rosa : elle était amie. Votre mère l’a aidé après son viol, elle avait un petit appartement loin d’ici, elle lui a donné les clés.

Sarah : Helena m’a connu également ?

Rosa : non, vous êtes né après, enfin votre mère est décédée vous n’aviez que 1 mois environ et Helena est morte 2 mois avant.

Sarah : quoi ?

Rosa : oui. C’était ainsi.

Sarah : ok, merci d’avoir répondu à nos questions. On y va.

Elle se leva sans demander l’avis de Harm et sortit rapidement du manoir.

Harm : merci pour vos précisions.

Rosa : je n’ai dit que la vérité alors pourquoi ai-je l’impression qu’elle ne me crois pas.

Harm : je ne sais pas.

A suivre

Oua comment c'est trop bizarre lol!!!! J'ai vraiment hâte de connaitre le dénouement en tout ças!!!!!!

Chapitre 4 :

Sarah s’allongea lourdement sur le lit.

Harm : bon tu vas me parler.

Sarah : de quoi ?

Harm : de tous ce que tu me caches, Sarah il y a des choses que tu ne me dis pas.

Elle se releva pour s’asseoir sur le lit.

Sarah : depuis quand ai-je des comptes à te rendre, tu te prends pour qui ?

Harm la regarda fixement, comment pouvait elle dire ça. Comment…

Harm : tu as raison je n’ai aucun droit, après tout je ne suis que ton partenaire. Mais je crois que j’oublie quelque chose. A oui, partenaire avec qui tu t’es payé une partie de jambes en l’air si je comprends bien ton attitude, mais tu vas peut être me dire que tu fais ça avec tous et que tu leur dis tous que tu les aimes.

Sarah : comment oses tu dire ça ?

Harm : comment oses tu dire au gens que tu les aimes et à les repousser ensuite ?

Il se retourna et sortit de la chambre en claquant la porte. Il alla dans sa propre chambre.

Il n’avait pas envie de rester ici en faites, il voulait régler cette affaire au plus vite. Il prit une douche, l’eau le détendit, il toucha sa blessure de la matinée, une blessure qui ne serait plus qu’un souvenir.

Sarah de son côté n’en revenait pas des paroles de Harm. Elle se leva et sortit elle aussi pour aller dans sa chambre. Arrivée devant la porte 213, elle tapa, car elle n’avait plus la clé. Elle tapa encore, il ne répondit pas, elle porta son oreille à la porte et crut entendre le bruit de l’eau. Elle voulut attendre, mais elle savait qu’après ce qu’elle avait fait, il lui faudrait du temps.

Elle se retourna et se trouva face à la personne qu’elle ne pensait pas vraiment revoir.

Sarah : Mic.

Mic : bonjour Sarah.

Il se tenait en haut des marches et la fixait.

Elle s’était appuyée contre la porte de la chambre de son amant pour faire face à son ex-fiancé. Elle entendit alors la douche s’arrêtait.

Sarah : Mic je suis étonnée que tu sois là.

Mic : je viens voir ma fiancée.

Elle se détacha de la porte et commença à avancer.

Sarah : Mic, toi et moi, c’est fini, je te l’ai dit. Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. On ne va pas se marier.

Mic : tu es ma femme, Sarah. J’ai tout risqué pour toi alors, tu n’as pas le droit de me dire non.

Elle se dirigea vers sa propre chambre.

Sarah : arrêtes.

Il la prit par le bras et la poussa contre la porte.

Sarah : MIC !!

Il l’embrassa avidement, la bloquant contre la porte.

Harm mit son blouson, il allait continuer de travailler peut être en bas, en sirotant un café. Il ouvrit la porte et la vision qu’il eut le déboussola. Sarah dans les bras de son soit disant ex-fiancé.

Sarah n’appréciait pas du tout ce baiser, elle avait entendu du bruit et son regard s’était dirigé vers la source de ce son et vit Harm. Comme si, il était sa force elle arriva à repousser Mic.

Sarah : Harm…je te jure que…

Mic : Rabb, c’est vous alors, le fameux inspecteur de D.C, je suis Mic son fiancé.

Harm : enchanté de vous rencontrez. Désolé de ne pas rester mais j’ai une enquête.

Il traversa le couloir puis descendit en bas.

Sarah : Harm.

Il lui jeta un regard noir en continuant son avancé. Mic vit l’échange et toucha le bras de Sarah pour l’embrasser encore.

Sarah : ne me touche pas. Toi et moi, c’est fini.

Elle le poussa violement loin d’elle, au point qu’il tomba. Il la vit alors, courir pour rejoindre cet étranger d’enquêteur.

Sarah se dépêcha et rejoignit finalement Harm.

Sarah : Harm, attends. Tu vas où ?

Harm : enquêtez.

Sarah : ce n’est pas ce que tu crois. Regardes moi, s’il te plait.

Il se retourna, elle posa sa main sur sa joue.

Sarah : je suis désolé de mon comportement, Mic et moi on a rompu. Je…..ce baiser était forcé, je ne l’aime pas.

Harm : arrête de faire ça Sarah.

Sarah : Ecoutes, il faut que l’on discute, allons au QG….

Harm : non.

Sarah : pourquoi ?

Harm : parce que tu as besoin de faire le vide dans ta vie et de la remettre en ordre. Et je ne t’aide pas. Quand tu seras prête viens me voir.

Il entra dans la voiture et après un dernier regard démarra le moteur et partit.


a suivre bientot promis

Et quoi qu'est-ce qu'il se passe après??? Il faut que j'arrête de lire des fic pas terminées ou j'en rêve la nuit!!!
tu écris vraiment bien!!

chapitre 5

La voiture avait disparu dans la nuit depuis quelques minutes et Sarah était toujours assise sur les marches de l’hôtel. De l’intérieur Ryan la vit, il vit son regard si lointain vers l’horizon. Il ouvrit la porte et s’assit à côté d’elle. Il posa sa main sur la sienne.

Ryan : ça va ?

Sarah : j’ai connu mieux.

Ryan : il te plait vraiment hein ?

Sarah : je crois.

Elle inspira profondément.

Sarah : je…..de tous les hommes que j’ai eu…..il est le seul avec qui…..je me suis sentie….moi. Tu comprends ?

Ryan : oui. C’était ce que j’avais avec……

Sarah : désolé, je ne voulais pas.

Ryan : j’ai fait mon deuil.

Sarah : Je vais trouver celui qui fait tout ça. Je vais l’arrêter et stopper cette horreur. Il y a eu trop de mort. Bud, Harriet, Lucas et même toi tu as failli y passer.

Ryan : je vais bien.

Sarah : fais attention à toi. S’il te plait.

Ryan : je te le promets.

Ils se regardèrent et se sourirent. Tout d’un coup Sarah remarqua quelque chose. Ses yeux.

Ryan : qu’est ce qu’il y a ?

Sarah : tes yeux. Ma mère et mon père avaient des yeux bleus et moi ils sont marrons. C’est pas normal.

Ryan : c’est la génétique, enfin tu vois. Tu as du choper ça de…..nous. Tu sais moi et la science.

Sarah : ouais. Je vais me coucher. Tu m’excuses de te laisser.

Ryan : bien sur.

Elle se leva et quand elle ouvrit la porte Ryan l’appela.

Sarah : quoi ?

Ryan : la clé de sa chambre est sur le bureau.

Sarah : merci.

Elle sourit et entra. Elle prit la clé et alla dans sa chambre. Dès qu’elle ouvrit la porte, elle sentit son odeur, son parfum. LUI. Elle allait l’attendre. Elle se glissa sous les draps et serra son oreiller contre elle. Son regard parcourut la pièce et elle vit que le tiroir de la table de nuit n’était pas complètement fermé et que quelque chose dépassait. Elle l’ouvrit et vit un dossier dont le titre était Sarah Mackenzie. Elle le prit et l’ouvrit. A l’intérieur il y avait des photos d’elle, des fiches sur elle avec ses aptitudes psychologiques……Il l’observait, il faisait un rapport sur elle.

Comment pouvait il….. ?

Elle ferma le dossier et sourit, un petit sourire machiavélique. Elle allait lui en faire voir de toutes les couleurs.

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Le soleil s’était à peine levé et Sarah était déjà dans sa voiture. Elle conduisait au-delà des limites de vitesse mais elle s’en fichait. Tant qu’elle n’arrivait pas là où elle souhaitait elle ne s’arrêterait pas. Finalement, elle se gara devant le QG de la police. Elle descendit de la voiture et vit que celle de Harm était là. Il n’était pas rentré ainsi il avait passé la nuit ici.

Elle entra et traversa le couloir pour aller jusqu’au bureau. C’était en faites une grande pièce où il y avait une petite partie qui était réservée pour le détenu provisoire. Quand elle ouvrit la porte, elle ne put s’empêcher de sourire. Il était dans cette pièce et dormait allongé sur le banc Un papier dans la main. Il semblait paisible. Elle entra et se pencha pour prendre la feuille mais quand elle tendit la main il la lui attrapa et l’attira à lui.

Harm : Tu comptes me voler maintenant ?

Sarah : juste vérifier.

Il ouvrit les yeux, leur visage n’était qu’à quelques millimètres l’un de l’autre.

Sarah : comment as-tu su que c’était moi ?

Harm : j’ai reconnu ton parfum.

Sarah :oh….tu as lu ça certainement dans ton dossier.

Il fronça les sourcils.

Harm : tu as….tu as fouillé

Sarah : non le tiroir était ouvert.

Harm : et tu as lu.

Sarah : oui. C’était très intéressant d’apprendre ça. Tu me lâches maintenant.

Harm : tu es en colère.

Sarah : non déçue.

Harm : tu n’as pas tout lu.

Sarah : comment ça ?

Harm : et bien, j’étais censé faire un rapport sur toi.

Sarah : censé ?

Harm : je n’ai pas pu le faire. Je leur ai juste dit qu’il n’y avait pas besoin de faire un rapport sur toi parce que tu étais excellente.

Sarah : vraiment ?

Harm : oui.

Elle lui sourit car elle voyait dans ses yeux qu’il ne mentait pas.

Harm : tu l’aimes vraiment ?

Sarah : il m’aime.

Harm : Sarah.

Sarah : je sais. A quoi ça va te servir tu l’as dit toi-même tu vas repartir.

Harm : oui.

Sarah : tu pourrais rester à Tucson.

Harm : non ma vie est à DC. Et je sais que si je te demande de me suivre tu me diras la même chose.

Sarah : c’est vrai.

Elle posa son front contre le sien.

Sarah : tu vas me manquer.

Harm : toi aussi.

Sarah : on se remet au travail.

Il secoua positivement la tête et ils se levèrent pour sortir de cette pièce.

Sarah : tu as trouvé quoi ?

Harm : j’ai fait une recherche sur notre cher frère de Big Bud Roberts. Il s’appelle John Roberts. Il a été incarcéré pour détournement d’argent à hauteur de 100 000 dollars.

Sarah : C’est une grosse somme en effet.

Harm : le plus intéressant c’est qui a été son compagnon de cellule.

Il lui tendit la feuille

Sarah : Andrew O’Connell.

Harm : ouais. Et John est mort juste quelques jours avant que ce dernier ne parte. Cependant, on a retrouvé le corps de John plusieurs semaines après qu’il ne soit mort. Donc Andrew était loin. Et la seule chose qui a permis d’identifier le corps fut un bout de tissu. Le reste était trop usé en quelque sorte.

Sarah : c’est pas vrai.

Harm : j’ai fait une demande de recherche je veux avoir une simulation de ce à quoi il pourrait ressembler maintenant ainsi que son ami. Mars le fait avec Clive.

Le téléphone portable de Sarah sonna, elle le prit.

Sarah : allo ?

………

Sarah : quoi ?

………

Sarah : très bien on arrive.

Harm s’était levé en voyant que quelque chose n’allait pas.

Harm : qu’est ce qu’il y a ?

Sarah : ils ont retrouvé Vukovic.

Harm : et…. ?

Sarah : il est mort depuis 36 heures au moins.

A suivre.

suspense...

Ouala comment j'ai eu peur . Heureusement que Mac comprend vite et que Harm n'est pas rancunié lol !!!

Merci beaucoup pour ces suites Majandraelo!!

Chapitre 6 :

La terre était de moins en moins aride et rude au fur et à mesure qu’ils avançaient. Sarah et Harm traversaient le parc de Wildforest en suivant le policier qui les conduisait jusqu’au corps de Vukovic.
Lorsqu’ils arrivèrent, le médecin légiste était en train de faire son rapport.

Sarah : Alors c’est vrai, ça fait plus de 36 heures qu’il est mort.

Médecin légiste : oui. Il a reçu une balle dans le dos mais il avait été assommé avant.

Harm : la balle on sait de quel genre d’arme il s’agit.

Médecin légiste : oui. De la sienne. C’est exactement la même balle que celle que vous avez reçu et comme elle venait de son arme…..

Sarah : pas d’empreintes ?

Médecin légiste : non.

Sarah : donc on sait que le tueur a son arme. C’est peut être quelqu’un qu’il connaît qui lui a volé la sienne sinon je ne sais pas comment il l’aurait. Il ne s’en séparait jamais.

Harm : il faut voir avec qui il pouvait être ce soir là.

Médecin légiste : Alicia.

Sarah : Brumby ?

Médecin légiste : oui ils sortent ensemble et je crois les avoir vu ensemble il y a deux jours avant qu’il ne décède.

Harm : elle a peut être vu le tueur. Elle pourra nous dire si il avait son arme avec lui.

Sarah : ouais. On vous laisse vous charger de lui. On va voir Alicia.

Médecin Légiste : bien.

Ils marchèrent jusqu’à leur voiture en silence. Harm remarqua que Mac était plus que plongée dans ses pensées.

Harm : qu’est ce qu’il y a ?

Sarah : rien. Ça me trouble cette affaire. Si le tueur c’était Vukovic. Pourquoi ? Quel était le mobile ? Et puis pourquoi le tuer ?

Harm : il avait peut être découvert l’assassin. Mais tu oublies les caméras de surveillance.

Sarah : c’est vrai. Sauf que……

Harm : que quoi ?

Sarah s’arrêta et s’appuya contre un arbre.

Sarah : je me souviens qu’une fois on avait eu un bug informatique et il a du faire un stage. Même après ça, il ne savait pas très bien se servir d’un ordinateur.

Harm : peut être qu’il a joué la comédie.

Sarah : peut être. Ou alors quelqu’un voulait lui faire porter le chapeau. D’où son meurtre.

Harm : ouais. Ça ne me semble pas clair. On va au café d’Alicia peut être qu’elle le sait, elle pourra nous renseigner.

Ils reprirent la direction de la voiture et montèrent à l’intérieur.


QG de Tucson
Pendant ce temps.

Marlène tapotait avec ses doigts nerveusement sur la table, attendant que l’ordinateur finisse ce que Harm lui avait demandé. Clive entra dans la pièce et sentit tout de suite l’énervement de la jeune femme.

Clive : ça va ?

Marlène : non. Ça irait mieux si ce fichu ordi allait plus vite.

Clive : Harm vient d’appeler. Vukovic n’est pas le coupable, il a été tué.

Marlène : quoi ?

Clive : et oui. Notre tueur n’a plus de logique si il l’a tué. Il ne fait pas partie de l’affaire Helena.

Marlène : C’est pas clair.

Elle se leva de la chaise et marcha un peu dans la pièce.

Marlène : je me demande ce que ça va nous donner. De savoir à quoi doit ressembler John Roberts.

Clive : ouais. Après quand tout sera fini, tu repars.

Marlène : ouais. A DC. Et toi tu restes là.

Clive : bien sur. Ma vie est ici.

Marlène : la mienne à Washington.

Clive : tu vas me manquer.

Marlène : toi aussi. Mais comme me l’as dit Harm. On n’est là que pour l’enquête et rien d’autre. Malheureusement que ce soit lui ou moi on s’est attaché aux gens. On n’aurait pas du.

L’ordinateur émit un bip et l’imprimante démarra. Peu à peu le visage de ce à quoi ressemblerait John Roberts s’afficha. Quand l’impression fut finit Marlène prit la feuille.

Marlène : oh mon dieu.

Clive : quoi ?

Il se mit à côté d’elle et regarda la photo.

Clive : c’est pas vrai.

Marlène : on doit les prévenir.

Clive : appelle les, moi je vais chercher la voiture.


Harm et Mac entrèrent dans le café et tous les deux se dirigèrent vers le serveur.

Sarah : Alicia est là ?

Serveur : non.

Harm : vous savez quand elle va revenir ?

Serveur : dans pas longtemps. Elle ne m’a rien dit.

Sarah : bien. J’ai besoin d’aller dans son appartement……pour le mariage. Elle a un truc pour moi.

Serveur : vous pouvez monter, je pense qu’il doit y avoir la clé ou c’est ouvert.

Sarah : merci.

Le serveur partit et Harm regarda surpris Sarah.

Harm : Mariage ? je croyais qu’il…..

Sarah : il l’est mais…..c’est un prétexte. Tu restes là au cas où elle revient.

Harm : parfait.

Sarah lui sourit et monta les marches doucement. La porte était ouverte. Il n’y avait personne. Ni dans la chambre, ni dans le salon. Rien. Elle regarda discrètement par la fenêtre et vit quelque chose dehors. Il y avait quelqu’un dans le jardin.

Sarah : Alicia ?

Elle fronça les sourcils en essayant de distinguer la silhouette. Mais rien. Alors elle descendit et sortit dehors. Elle traversa le jardin. Il n’y avait personne.

Un bruit la fit sursauter. C’était la porte du cabanon au fond de l’allée, elle était ouverte et à cause du vent elle s’était fermée.

Sarah s’avança vers la petite cabane, si la porte était ouverte…….

Une douleur derrière la tête se fit sentir et la dernière chose que Sarah perçut un trou noir. Elle s’était écroulée par terre.

a suivre

NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Mac Et Harm qu'est-ce qu'il fait vite faut qu'il monte sur son cheval blanc et qu'il la sauve lol !!!!

Encoreeeeeeeeeeeee

Chapitre 7 :

Harm regarda sa montre, cela faisait quinze minutes qu’elle était partie. Alicia n’était pas revenu non plus. Il se leva et poussa la porte pour aller vers les escaliers allant à l’appartement d’Alicia. Soudain il vit que la porte pour aller dehors n’était pas fermée. Il allait la fermer quand un objet brillant attira son attention.

Il sortit et se dirigea vers ce fameux objet. Il s’abaissa quand il arriva devant. Il le ramassa, c’était la bague de Sarah, celle que son cousin lui avait offerte pour lui souhaiter bonne chance. Elle la portait toujours à sa main droite.

Il réfléchit un instant et vit le cabanon devant lui.


Dans le cabanon.

Sarah ouvrit doucement les yeux, il faisait sombre très sombre. Il y avait juste une faible lumière. Elle avait mal à la tête et elle était attachée.

X : la belle a décidé de se réveiller.

Sarah cligna des yeux pour s’habituer.

Sarah : Alicia ?

Elle regarda la femme devant elle, la sœur de celui qui aurait du être son futur mari et qui pointait une arme sur elle.

Alicia : Surprise.

Sarah : c’était toi ? Mais…..

Alicia : mais…..pourquoi ? N’est ce pas c’est la grande question. Cependant je ne vais pas y répondre tant que…….

Harm : Sarah ?

Alicia leva la tête.

Alicia : jusqu’à ce qu’il arrive. J’en étais sur. Toi et lui…..mmmm…..ne bouges pas.



En haut Harm était entré, il n’y avait personne. Il allait partir quand un bruit l’arrêta.

Alicia se retourna furieuse vers Sarah qui avait fait exprès de faire tomber un objet en verre qui était dans le sous-sol du cabanon.

Alicia : tu sais que tu me facilites la tâche.

En effet Harm avait découvert les marches qui le conduiraient au sous-sol. Il poussa la porte qui se trouvait devant lui.

Harm : Sarah.

Sarah : Harm ne……

Alicia : doucement Capitaine.

Alicia pointa son pistolet sur lui.

Harm : Alicia ?

Alicia : et oui. On ne bouge pas. Si l’un de vous bouge je descends l’autre.

Harm : pourquoi ?

Elle soupira fortement et fit les cents pas dans la petite pièce.

Pendant qu’elle marchait dans la pièce, elle faisait moins attention. Harm l’aperçut, il tenta quelque chose.


Voiture de Marlène et Clive

Le portable de Marlène sonna.

Marlène : Allo ?......Allo ?.....Allo ?

Clive : C’est qui ?

Marlène : je……attends…..je crois que c’est Harm.

Clive : qu’est ce qui se passe ?

Marlène mit le haut parleur.
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Alicia : Alors…..laissez moi vous raconter une histoire. Un jour une femme a voulu demander sa vengeance à celui qui l’avait violée. Cette jeune femme ignorait que cela lui serait fatal. Des jeunes enfants décidèrent d’aller s’amuser à refaire une légende. Entraîner par Harriet la chef, ils partirent ensemble. Lucas, Bud, Sturgis et même mon frère. Sauf que Mic ayant eu peur est parti quand l’accident a eu lieu. Résultat des courses…….une femme morte.
Mais quel lien entre elle et moi. Hein ? La bêtise qu’a faite mon frère, celle de les suivre a entraîné le départ de nos parents. C’est à cause de ça que mes parents m’ont abandonnée. Je revois encore dans mes cauchemars, leur dispute, tout l’alcool et le reste……a cause d’EUX.

Sarah : c’est pour ça que tu t’es vengée.

Alicia : oui. Et je veux mon argent.

Harm : quel argent.

Alicia : les 100 000 dollars. Seule l’enfant d’Helena pourra les toucher.

Sarah : l’enfant est mort.

Alicia : NON. Et tu devrais demander à ton oncle et ta tante où il est. Quand les enfants sont rentrés ce sont eux qui s’en sont chargés.

Sarah : bien alors, je peux leur demander Alicia. Ecoutes moi. Je n’ai qu’à aller les voir et ils me le diront.

Alicia : certainement pas.

Harm : Alicia……

Alicia : on se tait capitaine. Vous…..vous n’auriez jamais du être là. Vous êtes arrivé et vous avez tout chamboulé. Mes plans. TOUT. Même son mariage. Quoique d’après ce que j’ai vu et entendu vous êtes un sacré bon coup.

Sarah : alors, la surveillance. C’était toi ?

Alicia : Tu crois que Greg savait faire quelque chose. Heureusement qu’il a rencontré ce type quand il travaillé à la prison de Salt Lake City et qu’ils ont parlé de toute cette affaire.

Harm : Vukovic connaissait John Roberts ?

Alicia : oui. Ils se sont vus, c’est lui qui lui a parlé de l’argent. Quand il est venu ici, on a discuté et puis il avait un peu trop bu et il m’a tout dit. Voilà vous savez toute l’histoire. Alors, lequel de vous deux je tue. Pourquoi pas toi. Si tu n’étais pas revenue…..

Harm se jeta sur Alicia voyant qu’elle ne faisait plus attention à lui. Il se débattit avec elle, pendant que Sarah essayait de se détacher. Alicia arriva à se relever mais Sarah avait été plus rapide. Elle avait pris son arme et lui avait tiré une balle dans la jambe. Alicia s’écroula par terre et Sarah l’assomma.

Harm la regarda et elle lui sourit.

Harm : viens sortons d’ici.

Ils remontèrent rapidement à la surface.

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Marlène : nom de Dieu. Accélère.

Harm avait raccroché pour pouvoir appeler les secours.

A suivre.

TINNNN lol comment j'ai eu peur

Ah le duo de choc est de retour lol pfff de façon les Brumby hein

Merci pour cette suite Majandraelo

Chapitre 8

Alicia : LACHEZ MOI. VOUS NE POUVEZ PAS…..ESPECE DE…..

Alicia ne put rien dire d’autre car les policiers venaient de fermer la porte. Harm et Mac étaient assis sur une table du café, un policier vérifiait les petites blessures de Sarah.

Policier : je n’arrive pas à croire que c’était elle.

Harm : nous non plus.

Tout d’un coup une voiture déboula à vive allure. Lorsqu’elle s’arrêta, Marlène et Clive en descendirent rapidement.

Marlène : Harm….j’ai…..une nouvelle importante.

Harm : pire que celle là.

Clive : oui. Largement.

Marlène : tu te souviens tu m’avais demandé de faire une simulation de ce que pourrait être John.

Sarah : oui.

Elle leur tendit la feuille et tous les deux crurent tomber de 20 étages.

Harm : mais c’est….

Sarah : …..Andrew O’Connell. Je croyais que John était mort.

Harm : on n’avait aucun élément pour l’identifier. A part la blouse, il a pu très bien la changer.

Marlène : pourquoi reviendrait il ?

Sarah : pour l’enfant.

Elle se leva.

Harm : où vas-tu ?

Sarah : je……je rentre à l’hôtel. J’ai besoin de me reposer. Ça te dérange si je prends la voiture.

Harm : non. On va au QG. Ne t’inquiètes pas.

Sarah : bien.

Elle partit vers la voiture, démarra le moteur et elle s’en alla.

Marlène : elle a l’air épuisé par tout ça.

Harm : on l’est tous.

Clive : tu veux qu’on fasse quoi maintenant que Alicia est la coupable.

Harm : je ne sais pas. J’ai besoin de vérifier un truc au bureau.

Clive : bien. On y va.

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Valérie O’Hara nettoya la dernière table du restaurant. Elle venait de nettoyer un peu l’hôtel pendant que Ryan et les autres n’étaient pas là, elle était seule alors. Elle entendit la cloche de l’entrée, c’était certainement son mari.

Valérie : Matthew…..tu sais que….

Elle se retourna et failli crier.

Valérie : TOI.

X : bonjour valérie.

Valérie : John qu’est ce que tu veux ?

John : tu le sais.

Valérie : J’ignore où est l’enfant. Il a été porté disparu le jour où Helena est morte.

John : je ne te crois pas. Elle avait l’enfant avec elle. Il n’est pas mort. Karen Sims n’a pas pu le prendre elle était avec mon frère ce soir là. L’aumônier Turner était absent puisque ses enfants étaient chez vous. Il n’y a que vous et votre mari. Vous étiez certes avec les enfants, mais vous étiez deux.

Valérie : non. Je ne suis pas impliquée là dedans.

John : je ne vous crois……

La voiture de Sarah se fit entendre dehors. John et Valérie tournèrent la tête vers la fenêtre pour voir la jeune femme arriver. John partit en courant dans la cuisine pour se cacher quand Sarah entra.

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QG de la police

Harm tapait sur l’ordinateur regardant des vieilles chroniques de journaux.

Marlène : qu’est ce que tu cherches ?

Harm : un truc particulier. Clive, Sarah est bien née le 14 août.

Clive : oui. Pourquoi ?

Harm : et bien. Sa mère est morte dans un accident seulement 1 mois après.

Clive : oui et…. ?

Harm : J’ai vu une photo que Sarah a essayé de me cacher dessus on voyait sa mère avec l’inconnu et elle datait du 17 août. Un bébé dans les bras de Helena, sa mère était toujours enceinte.

Je sais qui c'est !!!!!!!!!!! lol enfin je crois mdr !!!!

Ah mais il faut la suite sinon on va mourir à trop réfléchir !!!

Chapitre 9 :

Marlène : c’est impossible.

Clive : Sarah m’a raconté que sa tante était venue voir sa mère quand elle avait des complications avec le bébé et…….

Harm : et…… ?

Clive : qu’elle y est restée un mois. Elle y était quand sa sœur est morte. Elle n’était pas avec elle ce jour là. C’est pour ça que le bébé n’était pas mort.

Harm : attends t’es en train de me dire que si ‘Sarah’ n’est pas morte dans l’accident c’est parce que sa tante l’avait avec elle’.

Marlène : oui, mais le problème c’est qu’on a aucun recensement d’enfant Mackenzie, enfin, j’avais lu qu’elle avait accouché chez elle selon Valérie O’Hara.

Harm se leva d’un coup et partit en courant.

Marlène : Harm, tu vas où ?

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Sarah regarda sa tante.

Sarah : ça va ? Tu as l’air apeurée ?

Valérie : ça va.

Sarah : on peut parler ?

Valérie : de quoi ?

Sarah : Helena, John Roberts……leur enfant.

Valérie : que veux tu savoir ?

Sarah : où est il ?

Valérie : je ne sais pas.

Elle détourna les yeux de sa nièce et commença à nettoyer de nouveau la table.

Sarah : je n’arrive pas à y croire. Je……

Elle se mit à pleurer.

Sarah : COMMENT AS-TU OSER ME MENTIR ? COMMENT AVEZ-VOUS PU ME FAIRE CA ?

Valérie : Sarah je……

Sarah : C’EST MOI N’EST-CE PAS ? LA FILLE DE HELENA.

Elle se calma.

Sarah : la photo où Helena et maman tienne un bébé date du 17 août. Je suis née le 14. Comment est ce possible ? Maman est enceinte dessus. Expliques moi ça.

Valérie : il n’y a rien à expliquer.

Elle se retourna et lui fit face.

Valérie : mes enfants, mes propres enfants venaient de tuer leur mère. Quand j’ai vu le bébé je n’ai pas pu m’empêcher.

Sarah : alors je suis sa fille. A John et Helena ou plutôt à Big Bud et Helena. Je suis une Roberts.

Valérie : oui.

Sarah : c’est…..je préfère mourir.

Valérie : Sarah !

Sarah : je ne suis pas comme eux. Je…..je ne peux pas c’est au dessus de mes forces.

Elle tourna les talons et sortit rapidement de l’hôtel. Elle avait envie de vomir. Elle. C’était impossible.

Elle monta dans la voiture et conduisit rapidement sans but.

Valérie avait voulu retenir celle qu’elle considérait comme sa nièce mais cette dernière était trop rapide. Elle était en colère et elle savait à quel point elle ressemblait à sa mère. Le même sang chaud, le même courage…….

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Harm arriva à l’hôtel mais il n’y avait pas la voiture de Sarah, il vit Valérie O’Hara assise sur les marches. Il sortit de la voiture et alla vers elle.

Harm : bonjour.

Valérie : bonjour. Que voulez vous ?

Harm : la même chose que Sarah je crois.

Valérie : comment le savez vous ?

Harm : ça c’est top secret.

Il lui sourit et s’assit à côté d’elle.

Harm : je comprends, votre geste. Je……Vous vous êtes sentie coupable de tout ça.

Valérie : je n’aurais pas du……

Harm : vous lui avez offert un foyer, une famille, de l’amour. Je crois que même avec cette révélation, vous serez toujours pour elle sa tante. La famille ça ne signifie pas avoir le même sang, ça signifie s’aimer. Vous lui avez donné tout ça. Laisser lui le temps.

Il la regarda dans les yeux et il lui sourit.

Valérie : merci.

Harm : vous savez où elle est allée ?

Valérie : non. A moins qu’elle ne soit chez John.

Harm : je vais voir. Allez vous reposer. Vous en avez besoin.

Il se leva et commença à partir mais Valérie l’appela.

Harm : oui.

Valérie : je comprends ma nièce. Pourquoi…..elle est tombée sous votre charme.

Harm : vous croyez ?

Valérie : elle tient à vous. Je le sais. Ça se voit. Elle est heureuse. Même après toute cette affaire.

Harm : merci.

Il remonta dans la voiture et démarra.

Ah non pitié Mac faut pas qu'elle fasse de bêtises !!!!!!
Vite Harmmmmmmmmmmm rattrape-la !!! lol

La suite la suite la suite !!!!

Chapitre 10

John se regarda dans la glace, ses yeux étaient rouges. Il avait pleuré. Ainsi Sarah était celle qu’il cherchait. La fille d’Helena. Il aurait du le savoir. Elle était comme elle. Elle lui ressemblait tellement.

Il s’assit sur son fauteuil et fixa la photo de celle qui avait été sa femme. Elle lui manquait terriblement, sa voix, son parfum, sa peau, son rire. TOUT. Une larme s’échappa et roula sur sa joue. C’était libérateur. Il revenait de l’hôpital et il avait eu ses réponses. Enfin, une partie. La fin de sa réponse c’était quand il était allé chez Valérie.

Il avait toujours adoré cette femme, elle était drôle, gentille, attentionnée et quand il était revenu, elle l’avait tout de suite reconnu. Leur regard s’était rencontré et il avait su que maintenant il partageait son secret avec elle.

Il entendit une voiture s’arrêter, le même bruit qu’auparavant. C’était donc elle. Il sourit. La même.


Sarah était devant la porte de la maison, une peur énorme tiraillait son ventre, elle sortit son pistolet et retira le cran de sécurité. Elle vit que la porte était ouverte, elle n’eut qu’à toucher la poignée pour entrer. La maison semblait vide, elle s’avança encore et encore et sursauta quand par un coup de vent la porte se ferma.

X : je savais que tu viendrais.

Elle se retourna et vit John face à elle, ce dernier recula en voyant l’arme dans sa main.

John : tu peux ranger ça, je ne vais pas te tuer. Je ne le veux pas.

Sarah : j’aimerais comprendre.

John : je le sais.

Il marcha un peu et s’appuya contre la commode.

John : tu es comme ta mère. Tu lui ressembles.

Sarah : je ne suis pas elle. Je ne suis pas un Roberts.

John : non c’est vrai. Tu n’as presque rien pris de la famille. Même ce côté d’intrépide et de courage. C’est elle.

Sarah : comment était elle?

John : toi. Elle était toi. Le même regard sévère et doux à la fois, le même sourire, la même gentillesse. Quand elle est arrivée, je n’ai pu que l’aimer. Elle se fichait de mon argent et de mon statut. Elle a vu l’homme que j’étais vraiment.

Sarah : vous l’aimiez ?

John : plus que ma vie. Et je crois que toi et lui vous savez ce que c’est.

Sarah : moi et qui ?

John : Harm. Le flic de Washington. J’ai vu les regards entre vous. Le même que Helena et moi avions eu. Je vous ai vu dans l’abbaye.

Sarah : c’était vous ?

John : non. Je passais par là, pour fuir en quelque sorte. Vous étiez là. Alicia essayait de vous effrayer. J’ai voulu l’en empêcher mais Harm l’a fait en arrivant.

Sarah baissa finalement son arme et passa la main dans ses cheveux. Elle fixa l’homme devant elle, depuis qu’elle l’avait vu la première fois, elle ressentait quelque chose de particulier au fond d’elle.

Sarah : est ce que….est ce qu’elle avait un don particulier.

John : oui. Elle faisait en quelque sorte des rêves prémonitoires. Je suppose que tu as ça aussi.

Sarah : Je crois. Avant chaque meurtre je rêvais qu’un enfant avec d’incroyables yeux bleus venait me voir. Ses yeux me faisaient regarder l’océan dont l’eau était devenue subitement rouge, comme du sang. Ensuite j’entendais un cri de femme. Récemment j’ai vu comme une peluche dans l’eau.

John : ça a une signification.

Sarah : j’aurais du mourir dans l’accident alors comment ai-je survécu. Et…..enfin, le tueur d’Helena aurait du me tuer. J’ignore même qui c’est.

Sarah se retourna quand elle entendit le bruit d’une voiture qu’on arrêtait brutalement.

John : ne t’inquiète pas. C’est Harm. Il est comme toi.

En effet quelques secondes plus tard la porte s’ouvrit, c’était Harm.

Harm : Sarah !

Sarah : Harm, c’est bon range ton arme, s’il te plait.

Il fronça les sourcils et voyant la sincérité dans les yeux de Sarah. Il s’exécuta.

Harm : enchanté de vous voir, John.

John : moi aussi, capitaine.

Sarah : John qui a tué Helena. Dites le nous.

John : mon frère. C’est lui qui a détourné l’argent pour m’emprisonner afin que je ne parle pas. Les enfants avaient laissé Helena et toi seules. Ensuite Big Bud est arrivé et comme elle le menaçait il l’a tuée.

Harm : comment le savez vous.

John : de la même manière que j’ai su pour les autres. Que ce soit Lucas, Bud Harriet, je leur ai injecté un sérum de vérité et j’ai eu mes confessions.

Harm : et ensuite Alicia les entendant les tuait.

John : oui.

Sarah : comment savait elle que……

Marlène : Harm je…..

Marlène et Clive venaient d’arriver en courant.

Harm : baissez vos armes c’est bon.

Sarah : John, comment Alicia savait pour vous ?

John : en prison, Gregory était gardien, je lui ai parlé de ça un jour quand j’étais trop fatigué pour savoir ce que je disais. Il a ensuite était dans un bar où il l’a rencontrée il lui a dit et c’est elle qui lui a suggéré de m’aider à sortir de là. Après elle a crée une fausse lettre de transfert vers une prison. Ensuite on a juste dit que pour ma bonne conduite on m’a sorti. Pendant les deux ans de ma fin de détention, Alicia avait tout préparé et Gregory qui avait été muté ici l’aidait. Je croyais qu’elle allait juste être une aide pour retrouver la fille d’Helena mais pas pour se venger.

Harm : ça doit être terrible de perdre la femme qu’on aime et son enfant.

John : oui. Même si tu n’es pas ma fille Sarah. Dans mon cœur je t’ai toujours aimé.

Marlène : C’est une histoire de dingue tout ça. Et qui a sauvé Sarah ? Et qui a tué….

Harm : Big Bud.

Marlène : Quoi ? L’enfoiré.

Sarah : c’est le cas de le dire. Mais pourquoi il ne m’a pas tué ?

Clive : Peut être que quelqu’un t’avait déjà vu. Peut être que les enfants t’avaient déjà prise.

John : non ils m’ont avoué être partis tous les 6 ensembles.

Clive : en tout cas la cavalerie va arriver, on a intercepté un message radio, Alicia a avoué que il devait rechercher Andrew…enfin John.

Harm : ouais c’est dommage.

John : bien, j’attendrais ici. Je ne m’opposerai pas.

Harm : en tout, c’est vraiment terrible pour Alicia et pour nous.

Sarah : de quoi ?

Harm : et bien, compte tenu de ses problèmes mentaux, elle a dénoncé un innocent qui plus ai, un homme qui se trouve à San Diego depuis plus d’une semaine pour un séminaire.

Marlène : tu peux parler clairement.

Harm regarda John dans les yeux. Les deux hommes face à face se fixèrent.

John : ne risquez pas votre carrière.

Harm : je ne la risque pas. En faites, Andrew O’Connell n’a jamais existé, l’homme qui portait ce nom était juste un écrivain qui tentait une expérience, portait le nom d’un détenu, mort dans un accident de voiture, dans une petite ville et voir si les gens le reconnaissait. C’est tout.

Marlène : oui. En plus, avec de bons papiers c’est prouvé. Puisque j’aurais vérifié moi-même.

John : vous êtes sérieux ?

Harm : on a rien contre vous. Vous recherchiez juste qui avez tué votre femme. On l’a trouvé. Vous n’avez tué personne. Partez avant qu’ils n’arrivent. Vous n’avez qu’à partir avec Marlène et Clive qui ont du retourner à Tucson pour arrêter Big Bud et de la avec vos papiers, vous partirez pendant quelque temps.

John : merci.

Il les regarda un à un.

John : vous…..je…..c’est certainement la plus belle chose qu’on ai faites pour moi.

Ils lui sourirent.

Marlène : bon on y va avant de se faire choper.

John : je vous suis.

Marlène, Clive et John partirent pendant que Sarah et Harm restèrent à attendre juste quelques secondes car des policiers ainsi que leur supérieur respectif arrivèrent. Clive avait fait exprès de prendre un autre chemin plus long pour ne pas les croiser.

Cresswell et AJ entrèrent dans la maison.

AJ : ou est il ? Où est Andrew ?
Harm : Andrew ?

Cresswell : oui, Andrew O’Connell.

Harm regarda Sarah avant de sourire.

Harm : en faites c’est une longue histoire.

AJ : comment ça ?

Sarah : et bien….sortons d’ici. En faites, il ne s’appelait pas Andrew O’Connell, il s’agissait de…..

Ils sortirent de la maison, Harm ferma la porte derrière lui.

Ou clair je veux pareil que toi ma Coco lol !!!!! Harm et Mac ?????

Chapitre 11 :

Le lendemain
Chambre 213

Harm ferma son sac de voyage en soupirant, il regarda la fenêtre devant lui donnant sur l’arrière de l’hôtel et sur le paysage magnifique de Wildforest. D’ici peu ce paysage ne serait qu’un souvenir.

X : tu comptais partir sans même me dire au revoir.

Harm se retourna et vit Sarah qui se tenait dans l’embrasure de la porte. Il lui sourit et elle s’avança en fermant la porte.

Harm : non. J’allais venir te voir.

Sarah : menteur.

Harm : d’accord, je déteste dire au revoir.

Elle se tint devant lui et posa ses mains sur sa chemise. Elle le fixa dans les yeux.

Sarah : tu ne sais même pas comment le sang est arrivé dans la grotte.

Harm : si.

Sarah : vraiment.

Harm : oui. Elle prenait par piqûre le sang des victimes et ensuite elle passait par la petite porte de la cabane. On a découvert qu’elle conduisait par un long couloir jusqu’à la grotte. Elle était tellement perfectionniste qu’elle voulait vraiment faire tout comme dans la légende.

Sarah : je vois. En tout cas, c’est génial…..ce que tu as fait pour John.

Harm : c’était normal et tu le sais.

Sarah : quand pars tu ?

Harm : dans une dizaine de minutes.

Sarah : on reste en contact ?

Harm : bien sur.

Elle lui sourit et approcha son visage délicatement du sien. Elle déposa un léger baiser sur ses lèvres et quand elle voulut se séparer de lui, il approfondit le baiser. Ils s’embrassèrent comme si ils ne se reverraient jamais. Comme si ils savaient que l’éloignement un jour ou l’autre allait les séparer définitivement. Ils durent malheureusement s’arrêter quand ils furent à bout de souffle.

Harm : a bientôt.

Sarah : ouais.

AJ (d’en bas) : RABB !

Harm : je dois y aller.

Sarah : tu vas me manquer.

Harm : toi aussi.

Ils se sourirent tristement et Harm prit son sac avant de partir. Sarah le regarda fermer la porte derrière lui. Elle s’assit sur le lit et laissa sa peine sortir. Elle pleura pendant de longues minutes. Jamais encore son cœur n’avait autant saigné de douleur.

Elle resta dans la chambre longtemps et finit même par s’endormir.

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3 mois plus tard
QG de Tucson.

Les lettres défilèrent les unes après les autres au fur et à mesure que Clive avançait dans son rapport. Même le bruit des portes automatiques ne le dérangea pas, cependant il sursauta quand il vit Sarah devant lui.

Clive : tu m’as fait peur.

Sarah : j’ai vu ça. Comment vas-tu ?

Clive : elle me manque et c’est pas ces quelques allé retour vers DC qui soulage ma peine. Plus j’y vais et plus c’est terrible à chaque fois je suis heureux de la voir mais je sais apèrs qu’on va se séparer.

Sarah : c’est pour ça que je n’y vais pas.

Clive : tu devrais aller le voir.

Sarah : non. Je souffrirais trop et puis il doit avoir déjà refait sa vie.

Clive : non. il n’a personne. Marlène me l’as dit.

Sarah : il ne dit pas tout à Marlène. En attendant on a un nouveau venu dans l’équipe.

Clive : je sais.

Sarah : tu viens avec moi pour l’accueillir.

Clive : j’ai pas envie.

Sarah : tu as tort.

Clive : pourquoi ?

Elle ne répondit rien et sourit. Clive intriguait se leva et la rejoignit.

Sarah : Clive, je te présente Marlène Johns…..

Avec ça, elle montra de la main Marlène qui était assise sur une chaise dans le couloir en train d’attendre.

Sarah : ta partenaire au laboratoire.

Marlène se leva quand elle les vit et sourit à Clive. Ce dernier alla vite la rejoindre et la serra dans ses bras. Il l’embrassa sous le regard de Sarah et de beaucoup d’officiers. Sarah eut une pointe dans le cœur en imaginant que ça pourrait être elle et Harm. Soudain, elle se dépêcha d’aller au toilette, elle était prise encore d’une de ses fichues nausées. Elle avait attrapé une grippe certainement et voilà que depuis quelques temps, ça n’arrêtait pas.

Elle se passa de l’eau sur le visage et s’observa dans le miroir, les traits légèrement tirés.

X : Salut, Sarah.

Une de ses collègues venait de rentrer.

Sarah : bonjour Emilie.

Emilie : ça va ? T’as l’air fatigué.

Sarah : je dois avoir un foutu virus depuis un petit moment.

Emilie : qu’est ce que t’as ?

Sarah : je vomi souvent ces derniers temps. Surtout le matin.

Emilie sourit et vint à côté d’elle.

Emilie : sensible aux odeurs, mal à la poitrine…..

Sarah : oui. C’est un virus courant ?

Emilie : ça fait des siècles qu’il court.

Sarah : c’est quoi ?

Emilie : la joie d’être enceinte.

Chapitre 12 :

Sarah : non je ne peux pas être enceinte.

Emilie : tu prends pas la pilule ?

Sarah : si.

Emilie : c’est bizarre.

Sarah : Enfin quand j’étais avec Mic je la prenais. Et j’ai arrêté quand on a romp…….

Emilie : et ?

Sarah : oh mon dieu. C’est pas vrai.

Elle prit sa tête entre ses mains. Elle n’y avait pas pensé quand…..

Emilie : t’as eu quelqu’un depuis ?

Sarah : oui, malheureusement.

Emilie fronça les sourcils devant l’aveu de son ami, normalement on est heureux quand on est enceinte.

Emilie : malheureusement ?

Sarah : il vit à Washington DC et moi ici.

Emilie : woaw.

Elle sourit.

Emilie : Il est flic ?

Sarah : oui.

Emilie : mignon ?

Sarah : très beau et sexy si tu veux tout savoir.

Emilie : il peut pas venir vivre ici ?

Sarah : c’est compliqué.

Emilie : tu peux pas aller là bas ?

Sarah : non. euh…pas pour l’instant. C’est……

Emilie : c’est compliqué, je vois.

Sarah : désolé. Bon je vais retourner au travail.

Emilie : ouais moi aussi. Surtout que Clive a une nouvelle copine apparemment. Tu sais si elle est sympa cette fille.

Sarah : elle est extra. J’ai travaillé avec elle.

Emilie : cool. On a une nouvelle femme dans la famille.

Sarah lui sourit et se dépêcha de sortir. Elle ne retourna pas dans son bureau mais alla à la première pharmacie qu’elle trouva.

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Le soir même.

Positif. Le test était positif.

Elle était enceinte.

Sarah s’enfonça dans le canapé. Ce fichu policier de DC. Elle sourit, elle ne le détestait pas, pas le moins du monde, mais elle était en colère. En colère contre elle, contre lui et contre eux.

Elle posa sa main sur son ventre encore plat, d’ici peu de temps elle le verrait grossir petit à petit.

Jingo grogna légèrement en posant sa tête sur les jambes de sa maîtresse.

Sarah : oui mon vieux. On va être trois.

Elle soupira en observant le test qu’elle avait acheté quelques heures auparavant. Son regard alla du test au téléphone.

Elle le prit, mais la peur la prit tout d’un coup. Comment allait t’elle lui dire ça.

‘Allo Harm, c’est Sarah. Comment va tu ? Ah oui, au faites, je suis enceinte.’

Elle était pathétique. La voilà enceinte et seule.

Elle se leva et alla dormir dans sa chambre, elle avait besoin de s’endormir. Demain un officier de San Diego allait venir. D’après ce qu’elle avait compris, il venait tout juste d’arriver là bas et déjà on lui donné une mission ici. En faites, elle et lui allaient devoir travailler ensemble certainement pour qu’elle se prépare à partir.

Elle avait surpris une conversation, son patron parlait d’un officier de Tucson qui serait muté à San Diego. Elle rêvait d’aller là-bas, le soleil, la Californie.

C’est sur la magnifique pensée de ce paysage qu’elle s’endormit doucement dans les bras de Morphée.


Un enfant courait sur la plage, cheveux bruns, yeux bleus. Sarah assise sur le perron d’une maison le vit s’avancer vers elle. Il lui sauta dans les bras. Elle le serra fort contre elle, puis elle regarda au fond de ses yeux. Ce bleu, les mêmes que…..

La sonnerie de la porte d’entrée la fit sursautait. Sarah se releva dans son lit, elle frotta ses yeux. Qui pouvait bien sonner à cette heure ci.

Elle se leva du lit, Jingo aboyait fortement, elle ouvrit la porte de la chambre, ce dernier partit en courant devant la porte.

Sarah : quel entrain, mon vieux.

Sarah sourit et ouvrit la porte. Elle crut qu’elle allait s’évanouir.