The Colonel's secret man [terminée]

Chapitre 21 :

Lundi 3 janvier 2005
6h53 AM
Appartement de Harm
Nord de Union Station, DC

Harm ouvrit les yeux, il tourna légèrement la tête et rencontra une masse de cheveux bruns. Sarah était allongée sur le ventre, la tête tournée à l’opposé de Harm. Ce dernier scruta la chambre de son appartement, c’était un peu le chantier, mais tous les deux étaient trop fatigués hier soir par le voyage, qu’ils avaient été directement au lit.

La semaine s’était très bien déroulée, Sarah avait beaucoup parlé avec Trish et Grams du bébé, du mariage, tous ces trucs de filles. Il les avaient laissées discuter entre elles et était resté avec Franck.

Ils avaient parlé de son avenir avec Sarah, de ce qu’il comptait faire au niveau de sa vie professionnelle.

Automatiquement, son regard se dirigea vers son armoire où se trouvaient ses uniformes de la Marine, il sourit en reconnaissant parmi eux, les uniformes de Sarah. La marine mêlé aux marin’s il en avait toujours rêvé, mais maintenant il ne faisait plus partis de la marine, même si Sarah l’appelait encore son capitaine.

Il devait en tout cas la réveiller car elle devait aller travailler. Il se leva, prépara le petit déjeuner qu’il lui apporta au lit. Il posa le plateau à côté d’elle et caressa doucement son épaules. Ce geste mêlé avec la fraîcheur de ce mois de Janvier réveilla Sarah. Elle s’éveilla doucement, émergeant de son profond sommeil.

Sarah:-Salut

Harm:-salut. Bien dormi ?

Sarah:-super. Ça sent le café.

Harm:-ouais.

Elle remarqua le plate au à ses côtés.

Sarah:-petit déj’ au lit. Tu sais que j’adore ça.

Harm:-je le sais. Tout comme je sais que tous les hommes qui passent la nuit avec toi te le servent.

Sarah:-ouais, on peut dire ça, enfin ça dépend de qui. Ni Dalton, ni Mic ne l’ont fait. Mais qu’importe, plus aucun homme ne pourra le faire étant donné que je serais ta femme et qu’aucun n’autre homme ne compte pour moi.

Harm:-et aucune femme ne comptera dans ma vie à part toi et notre fille enfin si c’est une fille.

Elle lui sourit et décida de s’attaquer à son petit déjeuner.

Harm:-je vais prendre ma douche, tu veux que je te conduise au JAG.

Sarah:-non ça va. Je n’ai pas envie que tu vois ça. Je sais que ça peut être dur.

Harm:-ok. Bon appétit, chérie.

Sarah:-merci.

Il alla dans la salle de bain sous le regard légèrement triste de Sarah. Elle mordit dans sa tartine sans vraiment avoir faim. De toute façon, d’ici peu de temps elle irait aux toilettes pour sortir tout ça de son estomac. Son regard alla vers l’armoire tout comme celui de Harm.

Il y avait encore ses uniformes. La première fois où ils avaient décidé de mettre une partie de leur affaire chez l’autre, Sarah avait eu peur en ce qui concernait les uniformes. Elle voyait bien, la tristesse dans les yeux de Harm lorsque ses yeux allaient sur ses ailes. Pourtant, elle devait lui dire. Elle avait voulu le faire hier durant le trajet mais elle s’était retenue. Elle n’avait pas encore retrouvé le courage. Même si c’était une bonne nouvelle, elle avait suivit le conseil de l’amiral, le lui dire au moment opportun.

Elle entendit le son de la douche s’arrêter alors elle fit semblant de continuer son repas comme si de rien n’était. Il sortait quelques secondes plus tard, en civil et il remarqua de suite que Mac n’avait pas vraiment mangé.

Harm:-Mac, ça va ?

Elle releva la tête et lui fit un sourire pas vraiment convaincant.

Sarah:-oui ça va. Pourquoi ?

Harm:-tu as à peine touché à ton petit déjeuner, d’habitude tu te jettes dessus tellement tu es affamé.

Sarah:-j’ai pas très faim.

Harm:-le stress de reprendre le travail.

Sarah:-ouais ça doit être ça. Ecoutes je vais aller me préparer, je sens que la journée va être longue et j’ai envie de me mettre vite au travail comme ça je peux rentrer plus tôt.

Elle lui sourit et se leva pour aller se doucher.

Harm la suivit du regard, elle était bizarre ce matin, certainement le travail et le bébé.


Quelques minutes plus tard.

Sarah sortit de la salle de bain, toujours nauséeuse, toutes ces nausées, ça durait depuis deux semaines et ça l’agaçait

Elle s’arrangea le visage devant le miroir avant de partir. Elle descendit les marches et vit Harm buvant son café et lisant le journal, assis sur un des tabourets du comptoir. Elle passa ses bras autour de lui et posa sa tête sur son épaule.

Sarah:-j’y vais.

Harm:-ok.

Sarah:-faut que je te parle avant de partir.

Harm:-de quoi.

Elle s’assit sur le tabouret à côté de lui.

Sarah:-l’amiral m’a appelé le lendemain du réveillon. Il veut que tu reviennes au JAG, attends que je termine. Il a une dérogation pour nous, on pourra être marié, avoir une vie ensemble tout en travaillant ensemble au JAG. Je sais que cette décision est importante et je voulais t’en parler hier mais j’ai pas trouvé le temps ou plutôt le courage. Je veux que tu y réfléchisses aujourd’hui.

Elle s’arrêta un moment avant d’inspirer profondément.

Sarah:-Harm, je t’aime et j’aime ce nous mais…..il y a cette épée de Damoclès. Quand je regarde tes uniformes et toi aussi, il y a ce drôle de sentiment.

Harm:-c’est dur, je l’avoue.

Sarah:-réfléchis Harm. Si tu veux on se voit au déjeuner, on pourra en parler. Ok ?

Harm:-ok.

Sarah:-je t’aime

Elle l’embrassa avant de partir.

Lorsqu’elle eut fermé la porte Harm resta assis. Un sourire sur les lèvres. Lui et Sarah de nouveau au JAG. Il devait y réfléchir sérieusement.

A suivre

chapitre 22:

La journée avait été très longue, beaucoup trop au goût de Sarah, surtout qu’elle devait déjeuner avec Harm et que ce dernier avait finalement décommandé.

Sarah : Harm ! Chéri, je suis là. Harm !

Harm : je suis dans la chambre.

Elle retira son calot et sa veste avant d’aller rejoindre son fiancé. Elle monta les marches qui séparées la chambre et le salon, elle le vit alors assis sur le lit.

Sarah :qu’est ce que tu fais de beaux ?

Harm : pas grand-chose, je rangeais l’album photo.

Sarah : et c’est pour ça que tu n’as pas voulu déjeuner avec moi ?

Harm : c’est pas vraiment ça, c’est juste que je voulais avoir le temps pour moi de réfléchir et puis si je t’avais vu tu aurais faussé mon choix.

Sarah : Pourquoi ?

Harm : parce que tu sais que tu as des moyens infaillibles pour me faire dire oui.

Sarah : et alors, tu….as réfléchis à la proposition de l’amiral. Je veux dire, tu vas revenir au JAG.

Harm : pourquoi veux tu à tout pris que je revienne ?

Sarah : parce que…..parce que c’est ton job, tu es fait pour ça. Tu me manques au tribunal, tu manques à tout le monde.

Harm : je ne sais pas.

Elle passa la main dans ses cheveux et le regarda dans les yeux, finalement elle s’assit sur le lit en face de lui.

Sarah : ne m’oblige pas à….à…..

Harm : à quoi, à me forcer. De toute façon j’ai appelé l’amiral et je lui ai déjà donné ma réponse.

Sarah : qui est ?

Il ne dit rien et se contenta de lui sourire. Il se leva, ferma l’album et le posa sur la table de nuit.

Harm : je vais préparer le dîner.

Sarah : dis le moi.

Harm : va prendre une douche, tu le sauras après, promis.

Sarah : s’il te plait Harm.

Harm : on ne fait pas l’enfant Miss Mackenzie.

Elle se leva du lit les larmes aux yeux.

Sarah : JE NE FAIS PAS L’ENFANT HARM !!!! JE T’AIME ET JE N’AI PAS ENVIE QUE TU TE SENTES MAL VIS-A-VIS DE MOI ET MON TRAVAIL AU JAG. JE VEUX SAVOIR HARM. JE NE VEUX PAS PRENDRE CE RISQUE JE ……

Harm posa son doigt sur sa bouche.

Harm : chut, calme toi. je ne savais pas que ça comptait autant pour toi.

Sarah : bien sur que si, je ne fais que te dire ça.

Harm : alors saches que……

Sarah : que ?

Ses yeux fixaient les siens brûlant d’impatience. Harm lui sourit et prit son visage entre ses mains, il la rapprocha de lui.

Harm : c’est oui

Il lui murmura ces doux mots contre ses lèvres avant de l’embrasser. Baiser que Sarah hésita à répondre parce qu’elle ne pouvait y croire. Ils se séparèrent.

Sarah : oui. Tu reviens ?

Harm : oui, demain matin à la première heure.

Elle lui sourit avant de lui sauter au cou, Harm fut tellement surpris qu’il tomba à la renverse, l’entraînant ils s’effondrèrent sur le lit.



3 mois plus tard
QG du JAG

Il s’affala sur son siège et fixa la pile de dossiers sur son bureau. Depuis qu’il avait repris son poste au JAG, Harm avait eu des tonnes de dossiers à traiter et ça commencé à le fatiguer. Soudain, il vit une enveloppe qui lui était destinée, une enveloppe qui une heure auparavant n’était pas là. Le courrier étant déjà passé, ça ne pouvait venir que d’une seule personne.

Il l’ouvrit rapidement et tomba sur la dernière échographie de Sarah. Il sourit en voyant son bébé, même s’il avait du mal à le voir, il arrivait un peu à le distinguer et rien qu’à penser que c’était son bébé, il avait un immense sourire sur le visage.

Sarah passa devant son bureau à ce moment et put voir son air béat.

Sarah : la gynécologue m’a dit qu’on pouvait savoir le sexe du bébé, mais je préfère garder le suspens. Tu en penses quoi ?

Harm : que c’est extra. C’est notre bout de chou sur cette photo.

Sarah : je sais. Je savais que tu risquais de finir un peu tard ton procès donc je ne pensais pas qu’on se verrait au cas où je serais moi aussi au tribunal alors je t’ai laissé l’échographie.

Harm : c’est génial ma chérie.

Sarah : comment ça s’est passé au tribunal ?

Harm : super bien. Je sens que je vais gagner si tu veux mon avis.

Sarah : pauvre Sturgis. Bon, je dois y aller on se voit ce soir.

Harm : oui. Au faites, elle t’a dit vers quand le bébé est prévu.

Sarah : ben elle pense vers fin juin, début juillet. Vers le 25 juin peut être. Enfin on verra au moment venu hein ?

Harm : ouais. On a rendez vous à 6h30 pour la maison n’oublie pas.

Sarah : je n’oublierais certainement pas. Promis. Je file. Je t’aime à ce soir.

Harm : à ce soir.


Sarah : mon dieu, j’adore cette maison.

Sarah s’appuya contre le mur du couloir de l’étage. Elle avait eu un coup de foudre direct pour cette maison. Elle avait deux étages. Le rez de chaussée comportait un grand salon, en L dont un coin était une partie salle à manger, une grande cuisine parfait pour Harm, un super grand garage qui pouvait contenir leurs deux voitures. Mais ce qui leur avait le plus plut fut l’étage. Il y avait leur chambre avec une salle de bain pour eux. Et puis 3 autres chambres avec une salle de bain et une pièce qui leur servirait de bureau.

Harm : tu as raison c’est magnifique.

X : alors, elle vous plait ?

Ils se tournèrent vers la propriétaire, une vieille dame d’une soixantaine d’année qui souhaitait partir, car depuis le décès de son mari, elle se retrouvait seule et sa fille lui avait proposé d’aller vivre avec elle. Elle avait tout de suite était emballée par ce couple d’avocat du JAG, très sérieux et très heureux.

Harm : on l’adore

Sarah : c’est vrai. Et puis il y a beaucoup de pièce, assez de chambres pour la famille.

Propriétaire : vous avez une grande famille ?

Harm : et bien ma mère, mon beau père et ma grand-mère, et puis Sarah a sa petite sœur, de plus nous avons un bébé en route.

Propriétaire : toutes mes félicitations. Vous êtes très sérieux comme personne et sincèrement pour ne pas vous mentir j’ai craqué sur vous, donc si vous voulez la maison il n’y a aucun problème par contre mon fils voudrait juste voir le jour où nous signerons les papiers.

Harm : et bien vous avez nos numéros, il n’a qu’à nous appeler nous prendrons rendez vous et on pourra signer les papiers.

Sarah : on la prend ?

Harm : tu l’adores et moi aussi. Alors pourquoi pas.

Le sourire de Sarah s’agrandit.

Sarah : dites à votre fils qu’il nous appelle au plus vite.

Propriétaire : il n’y a aucun souci, madame.

Sarah : on va vous laisser on se voit bientôt.

Propriétaire : j’en serais ravi.

Harm : au revoir.

a suivre

merci pour cette suite

Veux la suite maintenant !!!!

désolé pour la longue attente mais kom vous le savez G U de gros soucis avec mon ordi de ma maison ki est mort et donc plus de fichier. Par chance kom j'ai un nouvel ordi et une super relectrice elle a retrouvé le fichier kelle avait gardé. donc pour m'excusé voici deux suites

Juste une remarque: si un détail va vous sembler bizarre attendait la suite. Vous allez comprendre plus tard.

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Chapitre 23 :

Appartement de Mac
10h40 PM

Harm : a quoi penses tu ?

Sarah fixait le plafond tout en caressant son ventre légèrement rebondi.

Sarah : on va se marier le mois prochain, on va signer dans la semaine l’achat de notre maison et notre bébé arrive dans quelques mois. Alors qu’il y a près d’un an, nos relations étaient tendues.

Harm : alors comment avons-nous fait pour arriver là ?

Sarah : c’est exactement ce que je me demande.

Harm : et bien, on a discuté et on a risqué nos vies dans un pays étranger.

Sarah : drôle de façon de commencer une relation me diras tu. J’ai envie d’être demain, j’ai envie de signer pour cette maison, elle est parfaite. Il y aura une chambre pour Chloé quand elle viendra à DC, et aussi une pour ta mère ou ta grand-mère et puis celle de Junior.

Harm : Parle pas de Junior, il est pas encore là que je sache.

Sarah : Il ? Tu ne voulais pas que ce soit ‘elle’ à un moment ?

Harm : il ou elle ça n’a pas d’importance, on en aura pas qu’un de toute façon.

Sarah : tu en veux combien ?

Harm fronça les sourcils pour faire comme si il réfléchissait.

Harm : pas beaucoup enfin assez pour faire une équipe de foot.

Sarah : QUOI ? Tu sais combien il en faudrait ? Je ne tiendrais pas pour ça faudra te contenter de beaucoup moins, chéri.

Harm : et bien, je ne suis pas contre la polygamie.

Sarah : MACHO

Elle le frappa avec un oreiller et se leva.

Harm : où vas-tu ?

Sarah : je vais aller dormir sur le canapé car je ne reste pas près d’un macho qui avant même d’être marié à déjà dans l’idée de tromper sa femme.

Elle commença à se tourner mais Harm lui attrapa le poignet.

Harm : tu sais que je plaisantais.

Sarah : et bien pas moi.

Elle dégagea son poignet et continua son chemin vers le canapé. Elle s’y assit et prit le livre qu’elle avait laissé sur la table basse, elle sourit en entendant les pas de Harm s’approcher : il démarrait au quart de tour.

Harm : chéri, je plaisantais. Tu ne crois pas que je pourrais te tromper.

Sarah : qui sait ? Si je ne te satisfais pas tu iras voir ailleurs, tu l’as dit toi-même. Alors, vu mon état et l’heure qu’il est, je suis obligée de rester ici, même après notre rupture.

Harm : qu…quoi ?

Il s’assit sur la table basse et lui prit le livre des mains.

Sarah : Harm !

Harm : dis moi que tu plaisantes.

Sarah : rends moi mon livre.

Harm : SARAH !!!!

Sarah : je plaisante chéri, j’avais compris que tu ne disais pas la vérité. Maintenant rends moi mon livre, je veux vraiment finir ce chapitre ce soir.

Harm : viens alors le lire dans le lit.

Sarah : avec toi à côté.

Harm : je serais sage promis.

Sarah : bien sinon je te frappe avec le livre.

Harm : ok, je ne veux pas me prendre Tom Clancy sur la figure.

Elle rigola et se leva du canapé, sous le regard de Harm elle retourna dans la chambre. Ce dernier sourit et partit la rejoindre en courant.


3 mois et demi plus tard
Appartement de Mac.

Sarah : j’en peux plus.

Elle s’affala sur son divan en soupirant, Harriet lui sourit.

Harriet : c’est ça être enceinte, mais ça va passer d’ici peu.

Sarah : je sais, si seulement ce gamin pouvait sortir.

Harriet : Vous avez finit d’aménager la maison ?

Sarah : pas du tout, en faites.

Harriet : et bien, imaginez avec un bébé si la maison n’est pas prête.

Sarah : on a juste choisi le salon, la cuisine je laisse Harm faire, ça va être son domaine. Par contre la chambre reste à voir.

Harriet : vous avez déjà une idée ?

Sarah : et bien, on hésite, on pense mettre nos lits dans les chambres d’amis et en prendre un neuf pour notre chambre. Et puis on verra le reste là bas, on n’a pas trop de meubles non plus.

Harriet : le camion vient demain, c’est ça ?

Sarah : ouais, on reçoit les nouveaux meubles demain matin et durant l’après midi, on fait le vide de nos appartements. Ça me fait vraiment bizarre tout ça quand même.

Harriet : ça nous fait tous bizarre. Et vous allez vous marier après la naissance du bébé en plus.

Sarah : j’ai du mal à réaliser. Quand je me réveille et que je vois ce gros ventre je me dis oh mon dieu je suis enceinte je vais me marier avec Harm et vivre avec lui jusqu’à la fin de ma vie, allez quand le réveil va-t-il sonner que je sorte de ce doux rêve qui est impossible.

Harriet : comment Harm vit ça ?

Sarah : ça va bien, il supporte mes sautes d’humeurs, et puis j’avoue j’adore voir son sourire béat quand il pose sa main sur mon ventre et qu’il sent le bébé bouger. Parfois quand il est fatigué il pose sa tête dessus et il écoute.

Harriet : il veut une fille ou un garçon ?

Sarah : et bien……il veut les deux donc en clair peu de temps après la naissance de notre premier bébé il en veut un autre.

Harriet : j’en ai eu deux Mac, j’en attends encore et je ne suis pas un Marin’s, pourtant j’y arrive. Alors vous et Harm, je suis sur que même si c’était une équipe de sport vous y arriverez.

Sarah : on verra.

Elle se leva, en portant sa main sur son ventre.

Sarah : il a en tout cas de l’énergie.

Harriet : comme ses parents. Mac ça va ?

Sarah s’appuya contre le canapé en tenant son ventre. Instantanément Harriet se leva et alla auprès d’elle.

Harriet : Mac…..

Sarah : Harriet……je crois…….je crois……je….les eaux….je…j’ai perdu les eaux.

Harriet : oh mon dieu, tenez bon Mac. Je vous conduits à l’hôpital. Appuyez vous.

*******
Harm : ce que j’essaie de démontrer votre honneur c’est que le caporal Lanvin a……

Le bruit lourd de la porte qu’on ouvrait brusquement l’arrêta et tout le monde regarda surpris Coates qui arrivait en courant.

Coates : monsieur, c’est…..

Juge : quartier maître, nous sommes en plein procès.

Coates : je sais monsieur mais.

L’amiral qui était là se leva et jeta un regard noir à son assistante.

Amiral : Coates, j’espère que ça vaux vraiment le coup.

Coates : justement monsieur. Capitaine…..Le….le…colo….Mac….

Harm : quoi Mac ?

Coates : elle….est….le bébé….

Amiral : elle accouche ?

Coates : OUI.

Harm : monsieur, je demande une suspension d’audience.

Juge : pourquoi ?

Harm : le colonel est ma….compagne, c’est mon bébé qu’elle est en train d’avoir.

Juge : je comprends bien sur allez y. Nous reprendrons plus tard.

Chapitre 24 :

Sage femme : Poussez madame Mackenzie.

Sarah : je fais que ça.

Harm attrapa sa main.

Harm : allez chérie.

Sarah : ne me dit pas ce que je dois faire…..c’est de ta faute si je suis là et crois moi….quand ça sera finit tu ne me toucheras pluAAAAAAAAHHHHHHHHHH !

Sage femme : je vois la tête allez encore une fois.

Sarah : j’en peux plus. Faites le sortiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRRRRRRRRRRRR

Bébé : OOOOOOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNN

Sage femme : bravo, vous avez une magnifique petite fille.

Sarah se laissa tomber de fatigue. Elle était épuisée, la dernière chose qu’elle sentit fut le baiser sur son front de Harm.

Elle ouvrit ses yeux et fut aveuglée par la lumière, elle mit sa main devant ses yeux.

Sarah : ohhhhhh, lumière.

Harm : chérie.

S’habituant à la lumière elle put retirer sa main et distingua le visage de son bel amant.

Sarah : Harm…..où….le bébé….comment….

Harm : elle va bien, ils ont juste besoin de lui faire des examens car elle est née avec de l’avance même si ce n’est que l’affaire de quelques jours, ils pensent que c’est mieux.

Sarah : c’est une fille, une petite fille….comment elle est ?

Harm : elle est magnifique et en pleine forme apparemment.

Sarah : j’ai eu si peur.

Harm : ne t’inquiète pas, tout va bien chérie.

Sarah : je sais.

La porte de la chambre s’ouvrit doucement, une vieille infirmière entra.

Infirmière : monsieur et madame Rabb, votre bébé.

Elle tendit le petit bout de chou à Harm qui le prit délicatement dans ses bras. Par chance, il avait eu de l’entraînement avec AJ quand il était petit. L’infirmière les laissa seuls avec leur enfant. Harm fixait ce petit être dans ses bras.

Harm : woaw, ça fait bizarre de se dire que c’est nous qui avons fait ça.

Il s’avança vers le lit et s’assit à côté de Sarah. Cette dernière s’étant assise dans le lit, fut à la hauteur de Harm et put voir le visage de leur ange.

Sarah : c’est vrai. Elle est magnifique. Regardes la. C’est nous qui avons fait ça ? C’est….. woaw.

Harm : notre petite fille. Au faites, on n’a toujours pas choisi le prénom.

Sarah : je ne sais pas. Tu ne voulais pas Harmony.

Harm : Harmon, Harmony c’est trop ressemblant.

Sarah : et que penses tu de Melinda.

Harm : Melinda ? Ouais, c’est joli. Une raison particulière ?

Sarah : non, mais Chloé regarde une série où l’un des personnages s’appelait Melinda. J’amie beaucoup ce prénom.

Harm : Melinda Rabb. Ça sonne bien.

Sarah : tout aussi bien que Sarah Rabb.

Harm : et bien pour ça tu auras besoin d’attendre le mariage.

Des coups à la porte les interrompirent, elle s’ouvrit doucement et Sturgis passa la tête.

Sturgis : on peut entrer ?

Sarah : bien sur.

Il entra avec un immense bouquet de fleurs dans les mains, suivit de AJ jr et de Harriet et Bud.

Sturgis : alors où est ce petit monstre qu’il voit son tonton Sturg’

Harm : Sturgis, c’est une fille.

Sturgis : c’est vrai ? Ben alors elle je la gâterais tout aussi bien.

Il posa le bouquet sur le pied du lit.

Bud : il nous faut un vase je crois, c’est de la part de tous le JAG. Même le juge y a participé, Monsieur.

Sarah : le juge ?

Harm : j’étais en plein tribunal quand elle a voulu se montrer.

Harriet : je peux la prendre monsieur.

Harm : bien sur.

Harriet prit la petite fille dans ses bras.

Harriet : elle est magnifique.

Sarah : j’aimerais la prendre mais je suis trop engourdi, j’ai mal au bras.

Harriet : ça va passer ne vous inquiétez pas. Après vous allez pouvoir la tenir. En tout cas, elle est bien de vous, elle est déjà toute petite mais elle vous ressemble.

Sturgis : et bien, imaginez avec le caractère des parents.

Harm : Sturgis s’il te plait. Et puis si je fais un peu le bilan, des trois hommes présents, tu es le seul qui n’a pas eu encore d’enfant. Alors quand vas-tu nous faire un petit garçon ou une petite fille.

Sturgis : et bien, pas pour l’instant je vous laisse faire.

Bud : comment s’appelle votre fille alors ?

Sarah : Melinda.

AJ jr : Elle est belle.

Bud : oui elle l’est.

AJ jr : elle est aussi belle que tata.

Harriet : on a un amoureux je crois pour votre fille.

Harm : si ça reste dans la famille ça va.

Ils se mirent à rire sous le regard interrogateur de AJ jr qui ne comprenait pas l’hilarité des adultes autour de lui.

J'imagine trop bien cette jolie petite fille... Le physique de sa mère et la matière grise de son père... Ou l'inverse!!! Y'en a qui ont de la chance...
bravo!!

Chapitre 25

Harm s’assit sur le fauteuil derrière son bureau, une folle envie d’appeler Sarah lui traversa la tête. Il détestait être aussi loin d’elle et sa fille. Il voulait reste auprès d’elle. 4 mois après il n’était toujours pas rassasié des moments qu’il passait avec elles. Mac avait obtenu sa journée de congés pour rester avec Harriet et Melinda à la maison. Quelle chance !

Il était déjà deux heures de l’après midi, bientôt il pourrait partir du bureau et rentrer à la maison.

‘Vous avez un nouveau message’

Il releva la tête en entendant ça et cliqua sur l’icône e-mail.

From : Sarah.Mackenzie@jagnavy.us
To : Harmon.Rabb@jagnavy.us

Salut chéri

Comment se passe ta journée?

Je t’envoie un petit quelque chose en fichier joint je sais que tu vas adorer.
Je t’aime.

A ce soir.

Ne rentre pas trop tard.

Il sourit. Depuis 4 mois, il avait l’habitude de ce genre de message, il téléchargea son fichier joint et l’ouvrit quand il eut fini.

Un immense sourire s’afficha sur son visage quand il vit ce fameux fichier. Sturgis fut intrigué par ce sourire béat.

Sturgis : salut. Qu’est ce qui te fait sourire comme ça ?

Harm : Sarah vient de m’envoyer une photo de Melinda.

Sturgis : j’aurais du m’en douter, il n’y a que Melinda pour t’amener ce sourire. Je peux voir la photo.

Harm lui indiqua de la tête oui et Sturgis s’avança rapidement vers lui. Il regarda l’écran.

Sturgis : elle est magnifique.



Harm : je sais.

Sturgis : elle va en faire tomber des garçons.

Harm : ben on a intérêt à s’entraîner toi et moi pour chasser ceux qui seront trop près.

Sturgis : promis. Je te laisse, tu ferais mieux de fermer le fichier sinon tu vas pas travailler et tu vas rentrer tard, donc Mac va t’engueuler.

Harm : tu crois que c’est elle qui a le commandement de la maison ?

Sturgis : C’est un Marin’s Harm. N’oublie pas que tu es le mari d’un colonel des Marin’s et que ça peut être dangereux si la Navy n’obéit pas correctement.

Harm : toi tu parles trop avec Bobbi qui parle trop avec Mac.

Sturgis : ouais, ben ta femme a mis dans l’idée de ma Bobbi, des idées de mariage.

Harm : c’est vrai.

Sturgis : ben en faites, elle aimerait aussi être à sa place.

Harm : ben demande la en mariage. Tu l’aimes, vous allez habiter ensemble.

Sturgis : j’ai déjà choisi la bague.

Harm : c’est vrai ?

Sturgis : ouais, je vais la demander en mariage demain soir.

Harm : c’est pas son anniversaire en plus ?

Sturgis : justement.

Harm : et bien, c’est génial.

Sturgis : je peux te poser une question ?

Harm : oui.

Sturgis : Tu étais stressé quand t’as demandé Mac en mariage.

Harm : non.

Sturgis : vraiment ?

Harm : en fait, tout est arrivé si vite que…..voilà.

Sturgis : je vois.

Harm : calme toi, elle va dire oui.

Sturgis : j’espère. Bon j’y vais, l’amiral m’attend.

Il sortit du bureau de Harm et courut presque jusqu’au bureau de l’amiral.

Ah ce Sturgis, il n’en ratait pas une.

Harm suivit son conseil et se mit rapidement au travail. Sa vie avec Mac était tellement belle, ils avaient quand même quelques disputes mais ils essayaient de régler ça. Son regard se posa sur son alliance, ça le fit sourire. D’abord la maison, ensuite le mariage et après le bébé. Certes le bébé avait été conçu avant le mariage et la maison mais ils s’en fichaient.
Il sourit en voyant son alliance, juste quelques semaines après la naissance de Melinda, Harm et Sarah avaient pris la voiture et était allée chez Sarah Rabb en Pennsylvanie. Peu de temps après Trish et Franck étaient venus, c’était tellement beau, c’était avec la famille au grand complet que Sarah avait fait part à Harm de son envie de se marier et vite. Finalement, ils avaient choisit ils se marieraient le 4 juillet.

Ils étaient revenus à DC, avaient prévenu leurs amis et en ce 4 juillet, ils s’étaient unis. Sarah Mackenzie était devenue Sarah Mackenzie Rabb.

a suivre

J'adore tout simplement

Merci Majandraelo pour cette suite, j'ai hâte de lire la suivante.

Ps: Pourrais tu me dire de quel épisode est tirée la photo? elle me dit kelkechose!!! Merci.

je ne sais plus, on me l'a donné. C'est en faites l'un des enfants d'Harriet. L'un des deux jumeaux je crois. Je demanderais confirmation. promis

Chapitre 26 :

4 juillet 2005
Chapelle d’Annapolis.
11h25 AM

Sarah se regarda dans le miroir. Sarah Rabb. Voilà son nouveau statut. Elle portait une magnifique robe de mariée que Harriet, Bobbi et elle avaient vu un jour alors qu’elle était encore enceinte dans un catalogue d’une boutique.




Elles avaient craqué toutes les trois. Le lendemain, elles étaient allées dans cette boutique et avaient immédiatement commander la robe.

On tapa à la porte.

Sarah : oui.

Elle s’ouvrit et Chloé entra.

Chloé : Salut, t’es prête.

Sarah : ouais.

Chloé lui tendit le bouquet et elle sortit de la pièce. AJ l’attendait pour la conduire à l’autel. Harriet, Chloé et les autres demoiselles d’honneur marchèrent dans l’allée, jetant des pétales de roses ici et là.

AJ : allez Sarah c’est le moment.

Sarah : ouais. Merci AJ.

Il lui sourit et ils entrèrent dans la salle principale au son de la marche nuptiale. Sarah ne regardait même pas où elle marchait, elle regardait fixement l’homme qu’elle allait épouser. Il semblait assez nerveux, elle l’était aussi. Lorsqu’elle arriva à lui, elle put lire dans son regard tout l’amour qu’il avait pour elle.

Harm était subjugué par tant de beauté, elle était sublime, elle était tellement belle. Il se demandait bien ce qui pouvait la rendre moche. Il l’avait vu le matin, la journée et le soir. Il l’avait vu avec des cernes sous les yeux, il l’avait vu joyeuse, triste, blessée, il l’a trouvée toujours aussi jolie. C’était ça l’amour. Ou plutôt, il était tombé amoureux d’une déesse.

Chaplin Turner : Mesdames et messieurs, nous sommes réunis aujourd’hui pour unir cet homme et cette femme par les liens sacrés du mariage. Le mariage c’est….

Harm n’écoutait déjà plus les paroles de l’aumônier, tout ce qu’il voulait c’était veux tu la prendre pour épouse.

Chaplain Turner : Si quelqu’un a une raison pour s’opposer à cette union qu’il parle maintenant ou qu’il se taise à jamais.

De suite Chloé se tourna vers l’assistance, et fusilla la salle du regard pour dire en clair ‘si l’un de vous se manifeste je le descends’. Tout le monde crut que personne n’allait se manifester cependant il y eut un petit bruit.

Mac : C’est quoi ce bruit ?

Bruit : Areuh….areuh….

Harm tourna automatiquement la tête vers sa mère qui tenait Melinda.

Trish (murmurant) : désolé.

Chaplin Turner (plaisantant) : Dois je prendre ça comme un oui.

Avant même que Harm et Mac ne proteste d’autre l’avait fait.

Harriet et Chloé : NON !

L’aumônier Turner se recula légèrement devant le regard plus que noir des deux femmes.

Sarah se retourna et regarda ses deux amis et demoiselles d’honneur.

Chloé : ben quoi. J’attends ce mariage depuis des années.

Sarah lui sourit et Harm ne put s’empêcher de sourire aussi.

Chaplain Turner : bien. Harmon….tes vœux.

Harm regarda Sarah dans les yeux.

Harm : Sarah…..Je n’ai pas de mots pour dire ce que je ressens. Tu….tu as fait de ma vie quelque chose de magnifique. Tu lui as donné un sens. Tu as été là durant toutes les épreuves que j’ai croisées. Tu m’as suivi au bout du monde. Tu as eu la folie de me faire confiance. Tu es….extraordinaire. La plus belle chose qui me soit arrivée dans la vie, depuis que je t’ai vu je suis tombé sous ton charme. Tu m’as donnée aussi un immense cadeau, notre petite fille qui….comme tout le monde a pu le voir à déjà un caractère bien trempé.

Cela fit rire l’assistance.

Harm : On va devoir s’accrocher. Je suis heureux de t’avoir comme partenaire, amie, ange gardien maîtresse, compagne, mère de mon enfant et maintenant ma femme. Enfin…Bien sur si tu dis oui.

L’assistance eut un petit rire, Sarah aussi mais c’était plus par stress qu’autre chose.

Harm : je t’aime simplement.

Chaplin Tuner : Merci. Sarah…à toi.

Sarah se retourna et donna son bouquet à Harriet. Elle prit ensuite les mains de Harm dans les siennes.

Sarah : et je dois passer après ça. (Elle inspira profondément) Bon….La première fois que je t’ai vu, j’ai cru que j’allais te détester parce que tu étais arrogant enfin le parfait pilote de la NAVY et je ne croyais pas tomber sous ton charme. Mais quand tu m’as aidée pour mon oncle, mon cœur de Marin’s a fondu….pour toi. Et que je le veuille ou non…..Je suis tombée éperdument amoureuse de toi. Tu m’as aussi aidée à….traverser mes épreuves.

Une larme commença à rouler sur sa joue.

Sarah : ce dont je suis la plus heureuse, c’est que…..je te remercie pour la vie que tu m’as offerte. Tu m’as donnée une famille avec qui je me sens bien, une maison où je peux dire que je suis chez moi et surtout tu m’as donnée ton amour. Alors, aujourd’hui je suis plus qu’heureuse de savoir que tu vas devenir mon mari et que moi je vais devenir ta femme. Et que nous allons vivre ensemble jusqu’à la fin de notre vie. Je t’aime et tu es dans mon cœur mon partenaire, mon meilleur ami, ma raison de vivre et d’être encore là, mon amant, mon amour, le père de ma fille et surtout l’homme que j’aime le plus.

Elle avait dit ça d’une traite pour s’empêcher de pleurer. Des larmes coulaient sur ses joues. Harm tendit la main et les essuya avec son pouce en lui souriant.

Chaplin Turner : Merci Sarah. Maintenant répètes après moi.

Sarah : Moi Sarah Catherine Mackenzie prends Harmon David Rabb Junior ici présent pour époux, pour le meilleur et pour le pire jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Elle passa l’anneau à son doigt.

Chaplin : Harm….répètes après moi.

Harm : moi Harmon David Rabb Junior prends Sarah Catherine Mackenzie ici présente pour épouse, pour le meilleur et pour le pire jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Il lui passa l’alliance au doigt.

Chaplin : Par les pouvoirs qui me sont conférés par l’état de Virginie je vous déclare mari et femme. (à Harm) Allez mon vieux, tu peux embrasser ta femme.

Harm : tu crois que je vais attendre ta permission.

Harm se pencha vers elle.

Harm (à Mac) : semper fi.

Sarah (à Harm) : Go navy.

Harm: je t’aime.

Elle lui sourit et ils s’embrassèrent tendrement devant tous leur amis et la famille.

A suivre bientôt si j'avance

Rah la la commen J'ADORE de trop ta fic Majandraelo !!!



Merci Beaucoup pi poour la suite on attendra le temps qu'il faut ne t'inquiète pô !!!

Chapitre 27 :

Retour au présent.
Septembre 2005
Maison de Harm et Mac.
8h40 PM

Sarah s’enfonça profondément dans l’eau chaude de son bain, elle soupira de bonheur en se reposant.

Des coups à la porte lui firent ouvrir les yeux. Elle s’ouvrit et Sarah put voir qui la dérangeait.

Harm : salut. La petite est couchée.

Sarah : parfait. Tu me rejoins.

Harm : j’arrive.

Harm se déshabilla lentement sous le regard plus que séducteur de sa femme. Quand il fut nu, elle lui fit un peu de place et il s’assit derrière elle. Sarah se positionna entre ses jambes.

Sarah : je t’aime.

Harm : moi aussi je t’aime.

Il caressa doucement sa main gauche et son doigt trouva son alliance.

Harm : tu sais j’ai repensé à notre mariage aujourd’hui.

Sarah : c’est vrai ? Moi aussi. Je me suis souvenu de tes vœux, mon dieu. Et Melinda.

Harm : quelle peur elle m’a faite.

Sarah : et Chloé et Harriet tu t’en souviens.

Harm : oui. Elles sont de vraies terreurs toutes les deux.


Sarah : Oui. Surtout ensemble.

Sarah entremêla leurs doigts et s’appuya encore plus contre le torse de son mari. Elle posa sa tête contre son épaule et accepta la douce étreinte que Harm lui offrait. Elle ferma doucement ses yeux et soupira de bonheur. Elle était dans son bain avec son mari pendant que leur fille dormait. Quoi de plus beau.

Harm déposa un léger baiser sur son épaule. L’épaule de sa femme. Il sourit en y repensant. Il y a à peu près plus d’un an, Sarah et lui ne se parlaient même plus et voilà que maintenant, ils étaient ensembles, mariés, parents. Il venait de signer pour près de 18 ans de bonheur mais aussi de galère. Un enfant chamboule toujours une vie.

Tout comme le téléphone qui sonna, les sortant de leur bulle.

Sarah : c’est le tien ou le mien ?

Harm : celui de la maison.

Elle tendit la main et attrapa le téléphone. Harm avait amené leur portable et celui de la maison au cas où.

Sarah : Allo ?

X : Sarah, c’est Trish.

Sarah : Trish. Comment allez vous ?

Trish : bien. Je voulais savoir Franck doit aller à DC pour affaire demain, je pensais qu’on pourrait venir voir Melinda.

Sarah : bien sur, ça serait super.

Harm : qu’est ce qui se passe. ?

Sarah : ta mère et Franck seront à DC demain. Elle voudrait voir Melinda.

Harm : ben, c’est pas mal parce que moi demain je finis tôt et toi tu ne travailles pas. A quelle heure Franck aura fini ?

Sarah : Trish ?

Trish : j’ai entendu. Franck ne travaille que le matin en faites. C’est pour cette raison que je vous ai appelé.

Sarah : alors c’est parfait. Vous n’avez qu’à venir dans la matinée je reste à la maison donc il n’y a aucun problème.

Trish : ok. A demain, je vous laisse. Bonne soirée.

Sarah : vous aussi. Au revoir.

Harm : attends.

Sarah raccrocha et reposa le téléphone au sol avant de se retourner face à son mari.

Sarah : qu’est ce qu’il y a ?

Harm : et bien, c’était ma mère.

Sarah : et ?

Harm : elle ne veut même pas me parler ? Je suis quand même son fils.

Sarah : et moi sa belle fille. Je lui ai donné une petite fille et j’ai fait de son fils un homme honnête.

Harm : ok et donc moi dans l’histoire je suis quoi, le fournisseur de spermatozoïdes et le mauvais garçon. C’est ça mon rôle ?

Sarah : ouais.

Harm la regarda choqué et ouvrit la bouche tandis que Sarah explosait de rire.

Harm : très bien alors si c’est comme ça, j’espère que tu as des piles pour ton vibromasseur.

Sarah : pourquoi ?

Harm : ne compte plus sur moi pour ça.

Sarah : plus de galipettes ?

Harm : plus du tout.

Sarah : et tu tiendras comment ?

Harm : ben Dieu ou plutôt les hommes ont crée Playboy, FHM…..tu sais tous ces magazines pour hommes.

Sarah : tu en as ici ?

Harm ne répondit rien et lui sourit.

Sarah : non. Tu n’en as pas. Je……je l’aurais su ou tout du moins….j’en aurais trouvé.

Harm : tu crois.

Sarah fronça les sourcils, il semblait tellement sérieux, tellement sincère. Maintenant elle avait peur, qu’il dise la vérité.

Sarah : Harm, dis moi que tu mens. C’est un mensonge n’est ce pas ?

Harm : on est inquiète, madame Rabb.

Sarah : Harm, je ne plaisante plus. Harm.

Harm la regarda dans les yeux et vit une chose qu’il n’avait pas vue depuis longtemps. De la peur, de l’inquiétude. Mais de quoi ?

Harm : je plaisante Sarah. Je travaille toute la journée, je n’ai pas le temps pour ça. Et puis j’ai mieux qu’une fille de Playboy à la maison.

Il lui lança son Flyboy Grin et l’embrassa délicatement puis il lui caressa la joue. Elle posa sa main sur la sienne. Harm comprit ce dont elle avait peur. Elle craignait de ne pas être une bonne épouse, une bonne femme et une bonne mère. Rassurée, elle reposa sa tête sur l’épaule de son mari. Malheureusement, Melinda se réveilla, certainement trop en manque d’un de ses parents.

Tous les deux soupirent.

Harm : j’y vais.

Sarah : non, reste encore dans le bain. Je m’en occupe tu as eu une longue journée.

Elle se leva, Harm l’observa regardant son corps nu. Il le connaissait par cœur, il n’avait quasiment pas changé, elle avait pris quelques petites formes depuis la grossesse et elle ne les avait pas encore perdues après la naissance. Mais elle s’en fichait et Harm aussi. Ces petites formes étaient là pour leur rappeler quel merveilleux cadeau allait avec.

Chapitre 28

Mi-Octobre 2005
5h30 PM

Sturgis : Alors ?

Le ballon passa dans le panier. Harm et Sturgis partageaient une partie de basket pour se détendre un peu du stress du bureau.

Harm : quoi ?

Sturgis : Toi et Sarah ça roule toujours ?

Harm : mouais.

Sturgis : allez dis moi ce qui ne va pas.

Harm marqua un panier et fixa son ami.

Harm : tout va bien, je te le jure.

Sturgis : mais ? Je sens qu’il y a un mais.

Harm : C’est la routine. Tu connais pas ça, le mariage et tout le reste. La vie devient un peu monotone.

Sturgis : a quel point ?

Harm : C’est toujours la même chose, le matin je me lève, Sarah s’occupe de Melinda, moi du petit déjeuner, ensuite on part travailler. Le soir on rentre, on s’occupe encore de la petite et puis on est tellement fatigué qu’on va dormir. Tu vois, on a plus de temps ensemble, comme avant. Je sais que c’est parce qu’on a un enfant mais…même on ne fait plus aucun effort pour se surprendre.

Sturgis : Ah, je connais ça un peu avec Bobbi. Elle et moi depuis qu’on habite ensemble, ben je trouve que c’est un peu toujours pareil. Quoique avec son métier, elle n’est pas souvent là, ces derniers temps.

Harm : Et vous êtes pas encore marié. T’es bien parti dis moi.

Sturgis : c’est vrai.

Ils partagèrent encore quelques parties avant de s’arrêter essoufflés et fatigués. Ils devaient ensuite chacun rentrer chez eux pour se préparer, tous les avocats du JAG partageaient un dîner en l’honneur de la promotion de Coates, ce soir dans un restaurant chinois.

Sturgis : tu vas essayer de la surprendre ?

Harm : on verra. Déjà, Melinda n’est pas à la maison, elle est chez ma grand-mère. On va y passer le week-end. Ça c’est la surprise. On part demain matin. Donc ce soir, la maison sera pour nous.

Sturgis : quelle chance. Bobbi n’est pas là.

Harm : je te plains.

Sturgis : c’est ça fous toi de moi.

Harm sourit en se dirigeant vers leur voiture.

Harm : en tout cas, Sarah me réserve aussi une surprise et ça je veux savoir. Je m’attends au pire avec elle.

Ils rirent en rentrant respectivement dans leur voiture.


Maison d’Harriet
7h10 PM

Sarah se regarda une dernière fois dans le miroir de la salle de bain de Harriet.

Sarah : vous êtes sur que ça lui plaira ?

Harriet sourit à l’angoisse de son amie. Les deux femmes avaient parlé depuis un petit moment de la routine qui s’installait dans la vie de Harm et Mac. Sarah lui avait avouée que la vie semblait devenir monotone et elle lui avait dit qu’elle ressentait que Harm aussi le voyait.

Alors, elles avaient décidé de passer la journée à se faire bichonner dans des salons de beauté, chez le coiffeur. Harriet avait dit à Mac que quand elle avait eu les mêmes problèmes dans son couple, il lui avait suffit de changer sa coiffure pour que cette vieille routine parte.

Sarah avait fait alors quelque chose de très inattendu, Harm serait plus que surpris.

Harriet : vous êtes magnifique Sarah et la robe est superbe. Harm va être dingue.

Sarah : je l’espère. Il m’a dit qu’il avait réservé une surprise. J’ignore laquelle.

Harriet : et Mélinda ?

Sarah : elle est chez Grams. Comme on a eu énormément de travail, on avait peur de ne pas avoir le temps de s’en occuper. Alors il y a deux jours, Harm l’a amenée là-bas. Et on ira la récupérer bientôt. Ce week-end je pense. Enfin. On va avoir un peu de temps tout les deux.

Harriet : si vous avez besoin d’aide….

Sarah : vous êtes là, je sais.

Harriet : vous êtes vraiment anxieuse.

Sarah : oui.

Harriet : il va craquer.

Sarah : j’espère. On y va ?

Harriet : je n’attends plus que vous.

Les deux femmes se sourirent avant de partir de la maison.

Restaurant chinois
7h30 PM

Bud s’assit à la table réservée pour eux, Harm, Sturgis, Coates et l’amiral étaient déjà là. Il ne manquait plus que Harriet et Sarah.

Sturgis : vos femmes sont en retard.

Harm : comme d’habitude. Non. Sérieusement qu’est ce qui retient une femme autant de temps dans une salle de bain.

AJ : pas la moindre idée.

Bud : moi je crois savoir.

AJ : ah oui.

Bud ne répondit pas et resta bouche ouverte.

Harm : Bud ?

Bud : Vous devriez regarder derrière vous. Elles sont là.

Sturgis : enfin elles sont…..

Harm se retourna et resta bouche bée. Harriet venait d’arriver.

Harm : je rêve. C’est pas Sarah à côté d’elle.

Sturgis : si.


A suivre

Citation :

Harm : ok et donc moi dans l’histoire je suis quoi, le fournisseur de spermatozoïdes et le mauvais garçon. C’est ça mon rôle ?

moi je veux bien qu'ils tiennent le meme role pour moi

Citation :

Harm : très bien alors si c’est comme ça, j’espère que tu as des piles pour ton vibromasseur.

Sarah : pourquoi ?

Harm : ne compte plus sur moi pour ça.

Sarah : plus de galipettes ?

Harm : plus du tout.

Sarah : et tu tiendras comment ?

Harm : ben Dieu ou plutôt les hommes ont crée Playboy, FHM…..tu sais tous ces magazines pour hommes.

genial le coup du vibro c 'est vraiment bien trouvé et mac qui commence a paniquer

Citation :

Elle craignait de ne pas être une bonne épouse, une bonne femme et une bonne mère.

mais non t 'est la meilleur t en fas pas

Citation :

Sarah avait fait alors quelque chose de très inattendu, Harm serait plus que surpris.

je me demande vraiment ce qu 'elle a pu fairen voyons non vraiment je ne vois pas

Citation :

Harm : je rêve. C’est pas Sarah à côté d’elle.

Sturgis : si.

mais qu'est ce qu'elle a bien put faire!!!!!

bref toujours aussi génial j ai vraiment hate de lire la suite

Ah! Elle est trop géniale cette fic! Ca faisait longtemps qu'on attendait une suite!

En tout cas, continue commeça!

Bravo

super la suite!!!
j'étais trop écroulée!!

Chapitre 29 :

De loin, Sarah vit le regard de Harm. Oh oui, il devenait dingue, elle sourit et accompagnée d’Harriet elle se dirigea vers la table.

Sarah : bonsoir.

Harriet : bonsoir tout le monde.

AJ : bonsoir mesdames et bien colonel vous êtes épatante.

Sarah : merci

Elle s’assit à côté de Harm et lui sourit.

Sarah : ça va chéri ?

Elle déposa un léger baiser sur ses lèvres et lui sourit.

Harm : euh….oui. Ça te change.

Sarah : et tu aimes ?

Harm : ouais. C’est vraiment …différent. Je trouve ça génial en tout cas.

En effet, c’était plus que différent. Mac s’était fait des rajouts aux cheveux, maintenant ils étaient longs, lui arrivant en dessous des épaules par de légères petites boucles à l’anglaise. Elle avait en plus vêtu une longue robe noire, avec une fente sur la jambe droite.

Sarah : félicitations, Jen.

Jennifer : merci madame.

Bud : et ça vous fait quoi alors d’avoir changé de grade ?

Jennifer : et bien….j’ai de plus grandes responsabilités……

Jennifer continua de parler mais Harm ne l’écoutait pas, trop occupé à jeter un coup d’œil discret sur sa femme. Elle le subjuguait. Elle était assise à sa gauche, ainsi il pouvait voir sa jambe droite dévoilée par la fente.

Sarah de son côté souriait, elle avait réussi son coup, voyant son mari totalement attiré par elle. Elle posa alors sa main sur sa cuisse et la caressa doucement à travers le tissu. Ils se jetèrent un regard en coin et se sourirent.

Harm fit de même, posant sa main sur sa cuisse nue, il la caressa tendrement. Jennifer continuait de parler pendant que Harm remontait doucement sa main sur la cuisse de Sarah. Cette dernière sentait qu’elle s’approchait dangereusement vers son entrejambe, alors pour le déstabiliser, elle fit de même. Tous les deux essayaient de ne pas montrer leurs émotions ce qui fut très dur. Harm se pencha doucement vers son oreille.

Harm : dis moi, je ne te savais pas aussi coquine.

En effet, elle n’avait rien mis sous sa robe, elle se pencha aussi vers son oreille.

Sarah : rien que pour ton plaisir, chéri.

Elle posa alors sa main dans son entrejambe.

Sarah : mais dis moi, tu es déjà au garde-à-vous.

Harm : et toi tu es prête pour moi.

Sarah : Harm ?

Harm : quoi ?

Sarah : j’ai envie de toi.

Harm : moi aussi, j’ai envie de toi.

Ils se lancèrent un regard, empli de désir. Harm retira sa main à regret, sachant qu’ils ne pouvaient pas faire ça de cette manière, dans un restaurant chinois entouré de leurs collègues et surtout de leur supérieur. Voyant le regard de son mari, Sarah retira aussi sa main.

Cependant il l’embrassa dans le cou, même si il savait que ce geste n’allait pas passeré inaperçu, il s’en fichait. Après tout c’était un geste naturel entre un mari et sa femme. Il en profita pour lui murmurait à l’oreille un doux ‘je t’aime.’ Sarah ferma doucement les yeux quand il l’embrassa délicatement derrière l’oreille et lui mordilla un peu le lobe.

Sturgis : dites moi vous deux. On vous gênes pas ?

Harm s’éloigna à regret de sa femme, souhaitant encore profiter un peu d’elle. Voilà plusieurs jours que tous les deux s’étaient éloignés, trop plongés dans la routine, mais aussi dans leur vie de famille qui était nouvelle pour eux.

Sarah : pas le moins du monde Sturgis. Pas du tout. J’ai le droit de profiter de mon mari, non ?

Sturgis : euh…Et bien…..

Tout le monde le regarda, attendant une réponse et sous le regard des autres, aucune réponse ne lui vint à l’esprit.

Sturgis : ok….j’ai rien dit. Je me tais.

Harm : t’as bien raison.

Sturgis : ah ah, très drôle.

Jennifer prit le panier que le serveur venait d’amener, celui qui contenait les gâteau de la chance ( je sais plus comment ça s’appele, tu sais ces gateau avec un mot dedans.)

Jennifer : tenez, monsieur, madame. Honneur à vous, aux anciens et jeunes mariés.

Sarah fixa un instant les gâteaux avant de tendre la main et d’en prendre délicatement un, Harm fit de même puis ils les ouvrirent en se regardant dans les yeux.
Chacun lut alors le message sur le long bout de papier. Harm sourit, soit ces gâteaux étaient truqués, soit c’était un pur hasard très étrange.

Bud : alors, que disent vos prédictions ?

Harm :…..Malgré les dures épreuves, le bonheur est devant et proche. Plus que ce que vous ne croyez. La vie nous réserve pleins de surprises.

Sarah : attends, montre moi ça.

Sarah prit rapidement le bout de papier.

Sarah : c’est pas vrai.

Harm : quoi ?

Elle lui tendit un des deux papiers.

Sarah : lit le.

Harm : Malgré les dures….et bien c’est ma prédiction ça.

Sarah : c’est la mienne aussi.

Elle lui donna alors l’autre bout de papier qu’il lut alors soigneusement. En effet, c’étaient les mêmes prédictions, les mêmes mots.

Harm : a ton avis c’est du hasard ou alors c’est truqué.

Bud : la vérité est ailleurs monsieur.

Harm : quoi ?

Bud : c’est la phrase clé de la série X-Files.

Harm fronça légèrement les sourcils.

Sarah : c’est une série sur…..

Harm : oui, je connais.

Sarah : vraiment ? Toi qui ne regarde pas la télé.

Harm : tu oublies que j’ai une mère et une grand-mère qui adore ça.

Sarah : c’est vrai.

Harm : et vous, alors, c’est quoi vos prédictions.

Sturgis ouvrit son gâteau et en tira son message.


Sturgis : alors…… ne vous fiez pas à vos peurs. Le chemin que vous prenez est le bon. Suivez le. Donc en clair, même si j’ai peur le jour de mon mariage, j’ai pas intérêt à changer de décisions.

Harm : oui, à moins que tu ne sois suicidaire.

Sturgis : pourquoi ?

AJ : les femmes sont particulières le jour de leur mariage, le pire à faire c’est de les abandonner à l’autel.

Sarah : c’est pas vrai, on est pas si terrible que ça.

Harm crut s’étouffer avec sa boisson, puis voyant le regard de sa femme, il se retint de rire. Si il voulait avoir une chance de dormir dans le même lit qu’elle et non sur le canapé, il avait intérêt à être très gentil avec elle.

Sarah : tu voulais dire quelque chose ?

Harm : non.

Sturgis le fixa désolé, il savait que Sarah le tenait. Harm lui dit en articulant bien pour qu’il puisse lire sur ses lèvres.

Harm : Tu vois terrible.

A suivre

moi en tout cas je veux bien dormir avec lui sur le canapé

toujours aussi bien j ai hate de lire la suite!!!!

J'adore!
Vivement la suite!

Chapitre 30

Mi-Octobre 2005
11h06 PM
Maison de Harm et Mac
Arlington.

La soirée venait de se finir, Sarah jeta sa veste à l’autre bout de la chambre en soupirant. Elle se laissa tomber lourdement sur le lit.

Sarah : j’en peux plus.

Harm s’appuya dans le chambranle de la porte de leur chambre, il l’observa avec amusement. Elle agissait comme une adolescente qui rentre du lycée en jetant ses affaires. Elle était magnifique, allongé de cette manière, au bord du lit, une partie de ses jambes flottant dans le vide, ses pieds proches du sol. Il s’approcha doucement et s’allongea à côté d’elle de la même manière.

Harm : moi aussi, j’en peux plus.

Sarah : heureusement que nous avons un long week-end devant nous.

Harm : ouais.

Ils soupirèrent en même temps et Harm jeta un coup d’œil sur elle. Elle avait fermé les yeux et sa respiration se calmait petit à petit, montrant qu’elle commençait à enfin s’apaiser. Il posa sa main sur sa cuisse comme au restaurant, il lui caressa délicatement la jambe amenant un sourire sur le visage de Sarah.

Sarah : Harm ?

Harm : mmm

Sarah : c’est ta main que je sens là ?

Harm : non, non, pas du tout.

Sarah : menteur.

Harm : a question idiote, réponse idiote.

Sarah : bien sur.

Doucement, il se mit sur son côté pour la regarder, il posa sa main alors sur sa joue et la caressa. Sarah gémit en ouvrant les yeux, elle tourna la tête et le fixa dans les yeux.

Sarah : bonjour vous.

Harm : bonjour. T’ai-je dis à quel point tu es magnifique ?

Sarah : oui. Tu me l’as dit au restaurant.

Il laissa sa main descendre le long de son bras, et passait sur son dos qu’il caressa à travers la robe. Sarah sourit et le poussa pour qu’il s’allonge sur le dos, elle passa alors sur lui.

Sarah : tu m’as aussi dit que tu avais envie de moi, et je crois que c’est toujours le cas.

Harm : comment le sais tu ?

Sarah : je le sens, contre moi.

Harm : c’est l’effet que tu me fais.

Sarah : ah oui…un an qu’on est ensemble et toujours aussi attiré l’un par l’autre. Hein ?

Elle se pencha doucement vers lui et l’embrassa tendrement. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un doux baiser chaste, qui devint plus approfondi, quand la langue de Sarah titilla les lèvres de Harm, lui demandant la permission d’entrer et de rencontrer la sienne. Permission qui lui donna dans la seconde, ils s’embrassèrent alors passionnément. Leurs mains ne restaient pas inactives, elles parcouraient le corps de l’autre avec avidité.

Mi-Octobre 2005
Le lendemain
08h13 AM
Maison de Harm et Mac
Arlington.

La lumière du jour réveilla Sarah, elle tourna le visage en gémissant de contrariété qui se transforma en gémissement de plaisir quand elle sentit la main de son doux amant, son cher et tendre mari.

Harm : bonjour belle ange.

Elle ouvrit les yeux et croisa le regard bleu acier de Harm ainsi que son Flyboy Grin du matin.

Sarah : bonjour bel étalon

Harm : étalon ? Dis moi ça t’as plu alors cette nuit.

Sarah : j’ai adoré. Ça faisait longtemps que nous ne l’avions pas fait comme ça.

Harm : C’est vrai. J’ai passé une très bonne nuit moi aussi. Tu devrais changer de coiffure souvent si ça donne ce résultat là.

Sarah : promis, je vais voir ce que je pourrais faire. Mais seulement si toi aussi, tu faits la même chose.

Harm : quoi me changer de coiffure ?

Sarah : oui et non, changer aussi de comportement. J’aime quand tu me surprends. Tu vois…M’inviter à dîner sans raison, organiser des petits week-ends…n’importe quoi.

Harm : je sais. C’est juste….qu’avec Melinda, le mariage…notre vie est chamboulée.

Elle se tourna pour lui faire face, posant sa tête sur sa main.

Harm : j’ai été habitué depuis toujours, depuis ma plus tendre enfance à une vie de solitaire. Alors…même si j’adore être avec toi …au début c’était dur, j’avais mes habitudes, toi les tiennes et…tu avoueras qu’on avait un peu de mal à gérer les deux…et maintenant…je suis marié et j’ai un enfant. Jamais j’ai appris à faire ça.

Sarah : et tu crois que moi oui ?

Harm soupira, il cherchait ses mots, ses yeux n’arrêtaient pas de fixer différents points invisibles dans la pièce.

Harm : tu…(il la regarda de nouveau dans les yeux)…Tu as ça dans le sang…c’est l’instinct maternel. Quand…je te vois…avec notre fille, les gestes…les paroles, tout est naturel chez toi. Moi, j’ai encore du mal à me rappeler comment on surveille la température du biberon.

Ils se mirent à rire doucement.

Harm : tu vois le genre.

Sarah se mordit la lèvre inférieure. Elle se rapprocha de lui et fronça les sourcils.

Sarah : je ne sais pas si je dois te dire la vérité.

Harm : laquelle ?

Sarah : et bien…je t’ai caché mes factures de téléphone portable…parce que j’ai passé des heures au téléphone avec Harriet, ta mère et Grams pour qu’elles m’aident. Quand tu n’étais pas là, c’était le chaos.

Harm : vraiment ?

Sarah : oui. Harm…toi, tu n’arrives pas à surveiller la température du biberon et bien moi… je n’arrivais même pas à le préparer.

Ils se mirent à éclater de rire.

Harm : on est vraiment incroyable comme parents.

Sarah : on est une véritable catastrophe.

Harm : ouais, mais…on se débrouille pas mal, non ?

Il lui fit son plus beau Flyboy grin et elle lui répondit par son Ninja-girl grin (ben quoi le Flyboy grin existe bien, pourquoi pas celui là).

Harm : je prépare le café.

Sarah : et je m’occupe de préparer nos sacs.

Harm : ensuite on prend la douche….

Sarah : et on s’en va.

Harm : deal ?

Sarah : deal.

Au lieu de se serrer la main, ils s’embrassèrent (ce qui est beaucoup mieux lol) tendrement avant de se lever en même temps du lit, avec la même énergie.

A suivre.

je les imagine bien en parents totalement débordés

ils sont trop mignon!!!!!


vivement la suite

Ils sont trop mignons tous les deux ensembles!!!

oh j'adore trop!!!

bon, c'est po une suite désolé.

Juste pour vous dire que pour la suite, il faudra attendre un tout petit peu.

Même si je suis en vacances, ben C l'été et il fé tellement chaud qu'on passe le temps dans la piscine lol.

Enfin,le début de la suite est ecrite sur papier, il ne me reste plus qu'à la terminer, taper et surtout à l'envoyer à ma relectrice qui par sa conection internet, n'est plus autant dispo qu'avant.

De plus, comme l'indique ma bannière, j'ai un petit (enfin je C po si c le terme à employer) projet en cours. qui n'est pas une fic, c'est en dehors complet de JAG. même si y a Catherine. lol

Voilà, normalement la suite sera pour la semaine prochaine.

désolé de l'attente.