Chapitre 36
14 Août 2008
Bureau de Sarah Mackenzie
JAG
Sarah était assis derrière son bureau quand Harriet rentra avec un immense bouquet de fleurs.
Harriet : bon anniversaire madame.
Sarah : oh Harriet. Appelez moi Mac. Il est magnifique.
Elle prit le bouquet et embrassa Harriet. Elle le posa sur sa commode et chercha un vase.
Harriet : vous avez toujours un vase ?
Sarah : oui. Depuis que Harm a la manie de m’offrir des fleurs.
Harriet : justement c’est lui qui m’a montrée les fleurs que je devais vous prendre et il m’a donné une carte pour vous quand je l’ai croisé.
Jen : Madame !
Jen entra dans le bureau avec un paquet dans les mains.
Jen : Cadeau pour vous.
Sarah : de votre part ?
Jen : oui.
Sarah : c’est adorable.
Elle ouvrit le paquet, il y avait un joli bijou fantaisie dedans.
Sarah : il est superbe ce bracelet. Je sens que Mel va me le prendre.
Jen : ah oui ?
Sarah : je vais le cacher. Bon voyons voir la carte de Harm.
Elle ouvrit l’enveloppe et s’assit rapidement sur son fauteuil. Des larmes commencèrent à couler sur ses joues.
Sarah : ça….j’adore ce mec.
Elle essuya ses larmes rapidement et tendit la carte à Jen et Harriet qui eurent les larmes aux yeux.
Harriet : c’est magnifique.
Sarah : c’est pas possible. J’adore ce type.
Elle sourit à Harriet et Jen qui était toujours étonnées du bonheur que partageaient leurs deux collègues.
Harriet : comment va-t-il au faites, suite à l’article.
Sarah : bien je pense.
En effet, un journaliste avait fait un article sur sa dernière affaire et l’avait traité d’homme sans cœur, un requin impitoyable.
Ça avait quand même blessé Harm et depuis il se remettait quand même en question.
Plus tard dans la journée
Maison de Harm et Mac
Mac sourit, allongée sur le canapé après un somptueux dîner avec Harm et les enfants. Melinda lui avait fait un magnifique dessin et Harm lui avait fait plusieurs cadeaux. Une magnifique parure et un ensemble pour dormir qui comprenait une nuisette blanche en soie, le peignoir en soie qui allait avec et des chaussons assortit.
Harm couchait les enfants et elle en profita pour monter, elle jeta un coup d’œil par la porte de la chambre de Melinda et elle le vit lire une histoire à la petite.
Elle se dirigea vers leur chambre et mit justement le peignoir que Harm lui avait offert mais sans rien en dessous.
Harm arriva peu de temps après un peu fatigué.
Harm : ça va chérie ?
Sarah : merci pour ce bel anniversaire mon amour.
Harm : c’est normal.
Elle s’approcha de lui et passa ses bras autour de lui.
Sarah : merci pour la carte. Quand as-tu pris la photo ?
Harm : il y a peu de temps. Je ne me souviens plus trop mais…j’y ai pensé de suite.
Sarah : Elle est magnifique.
Harm : je sais.
Sarah : tu vas bien ?
Harm : ouais.
Pas très convaincu elle l’embrassa et l’attira avec elle vers le lit. Elle le déshabilla doucement avant d’ouvrir son peignoir et de lui dévoiler sa nudité.
Ils firent passionnément l’amour cette nuit et Mac épuisée posa sa tête sur son épaule.
Sarah : tu n’es pas un homme sans cœur.
Harm soupira, elle se mit alors sur lui, s’asseyant doucement pour pouvoir le fixer dans les yeux.
Sarah : tu vois mon ventre qui n’est plus plat, c’est parce que tu m’as donnée deux magnifiques enfants, mon sourire de tous les jours, c’est parce que je me lève à tes côtés. En nous, il y a trois personnes, celle que l’on voudrait être, celle que l’on paraît devant tout le monde et celle que l’on ait vraiment. Cette dernière façade seule une personne que l’on a choisi peut la voir. Et moi je sais qui tu es. Un homme avec des peurs mais qui a la main sur le cœur, et surtout, un impitoyable avocat mais le meilleur. Et tu es le meilleur mari. Je t’aime tout simplement. Tu es mon homme secret à moi. Tu te souviens quand personne ne savait pour nous.
Harm : oui. L’homme secret du colonel.
Sarah : ouais, c’était toi mon amour. Et tu es un mystère pour beaucoup mais plus pour moi. Je t’aime Harm et ça jusqu’à ma mort.
Elle lui caressa sa joue avec sa main avant de l’embrasser et de s’allonger sur lui. Il la serra dans ses bras doucement et petit à petit ils s’endormirent.
La maison s’apaisa doucement. Et la nuit chaude dans les rues de DC quitta petit à petit la maison de la famille Rabb qui était remplie de bonheur et d’un futur rempli de joie.
Fin.
voici la carte