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 NCIS FF: Pris au piège (en cours)

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Stephjag
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Stephjag


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NCIS  FF: Pris au piège (en cours) Empty
MessageSujet: NCIS FF: Pris au piège (en cours)   NCIS  FF: Pris au piège (en cours) Icon_minitimeSam 19 Nov - 17:30

NCIS  FF: Pris au piège (en cours) Trapped4au


Titre : « Pris au piège »

Auteur : AbbyGibbs [Stephjag] (Stephrabb@hotmail.com ou flygirlstephjag@yahoo.com)

Disclaimers : et bien, les personnages ne m’appartiennent pas et c’est pas juste – ils appartiennent une nouvelle fois à DPB ! Pourquoi doit-il toujours être le propriétaire des meilleures séries et des meilleurs personnages ? Quelqu’un pourrait-il me l’expliquer ? Ces personnages souffrent beaucoup trop. J’ai donc décidé de les emprunter pour quelques temps, la durée de l’histoire, mais je promets de les rendre même si je souhaiterais pouvoir les garder pour moi.

Genre : je ne sais pas vraiment excepté que c’est une fic NCIS. Il y aura quelques moments romantiques. L’amour nous vient lorsque l’on si attend le moins. Oh, oui et il y aura de l’angoisse.

Classification : T ou peut-être K+ (+13 ou peut-être +16 comme toujours : pour avoir une planche de salut, n’est-ce pas ?)

Spoilers : aucun, tous les moments impliquant Gibbs et Abby.

Résumé : Gibbs ne se montre pas au travail et pour une quelconque raison ça ne dérange vraiment personne ; peut-être que Jethro a enfin une vie privée, qui sait ? Le seul membre de l’équipe qui s’inquiète est Abby Scuito, elle a une sorte de mauvais pressentiment.

Note de l’auteur : j’imagine que l’idée mais venue après « Bienvenu en enfer » et c’est aussi une sorte de défi pour moi-même, vous comprenez ? Je vais me tester et voir si je suis capable d’élaborer une bonne intrigue qui est divertissante et où il y a du suspense et tout le reste. Et je voudrais remercier Beth qui a toujours été là pour moi de ne jamais avoir cessé de croire en moi et lorsque je me mettais à radoter sur des stupidités du style : je ne sais pas écrire ou je ne suis pas un bon auteur, et bien je ne suis certainement pas la meilleure, mais tout de même…
En tout cas, j’espère que vous allez apprécier de lire l’histoire que j’ai en tête.

Feedbacks : Et bien, je les adore bien évidemment – qui ne les aimerait pas ? Mais s’il vous plaît seulement si vous respectez mon travail parce que cela demande beaucoup de temps et d’énergie de construire une histoire. J’adore écrire, je ne permettrai à personne de m’en décourager de le faire, jamais. Je n’ai pas de problème avec les lecteurs qui préféraient ne pas la lire, mais j’en ai vraiment un avec ceux qui écrivent des mails irrespectueux uniquement parce qu’ils n’ont pas la fin qu’ils auraient voulu avoir. Si vous voulez me communiquer ce que j’aurais pu écrire de mieux dans l’histoire que j’ai écrite, vous êtes toujours les bienvenus pour me le faire savoir. Mais si tout ce qui vous intéresse est de vous lancer dans une diatribe sur mon travail, je vous en prie, faites-le mais en privé, d’accord ? Merci.




*************
CHAPITRE UN
*************


Tony et Kate sortirent de l’ascenseur alors que les portes s’ouvraient, comme toujours ils argumentaient joyeusement sur les points de vue de Tony sur les femmes, comment elles devraient se conduire ou comment elles ne devraient pas faire ceci ou cela. Ils se dirigeaient tous les deux vers leur bureau respectif – il y avait quelque chose d’étrange mais ils n’arrivaient pas à mettre le doigt sur ce que c’était, mais il y avait décidément quelque chose de différent ; Oh oui, Gibbs n’était pas en train de faire de remarque sur le fait qu’ils étaient deux minutes en retard. Et il y avait une bonne raison à cela : il n’était pas encore là.

S’en rendant compte, Tony et Kate échangèrent un regard, une expression de surprise évidente sur leur visage. Gibbs était en retard.

Tony dit d’un ton moqueur, « peut-être qu’il s’est finalement trouvé une femme. »

Et pour une fois, Kate ne fit aucun commentaire sur ce qu’il venait de dire car au plus profond d’elle, elle espérait qu’il ait raison : cela ferait le plus grand bien à Gibbs s’il pouvait à nouveau avoir quelqu’un dans sa vie.

Tony DiNozzo demanda à Kate s’il pouvait lui ramener quelque chose parce qu’il allait se chercher un café. Kate le remercia et lui demanda de lui ramener également un café. Pendant ce temps, elle peaufina son rapport et le relut, espérant n’avoir pas trop oublié ou laissé de fautes d’orthographe sinon Gibbs le lui ferait réécrire. Il était pointilleux sur ce genre de choses. Dieu seul savait pourquoi.

Après avoir vérifié son rapport une toute dernière fois, elle se leva, alla au bureau de Gibbs et le déposa soigneusement sur la table. C’est alors que Tony revint, tenant un café dans chaque main. Il lui en tendit un et demanda, « Gibbs n’est pas encore là ? »

« Non, toujours pas, » répondit-elle.

« Je sais que je m’avance sûrement, mais je trouve cela bizarre qu’il ne soit pas encore là, qu’il ait une femme dans sa vie ou pas, » dit Tony, un léger ton d’inquiétude dans la voix.

« Oui, tu as raison. Allons voir Abby. Peut-être qu’il est dans le labo avec elle –il est souvent là, tu sais.

« Bonne idée, » répondit Tony.

Ils se dirigèrent donc tous les deux vers l’ascenseur. Les portes s’ouvrirent et ils y entrèrent. Ils étaient tous les deux silencieux, perdus dans leurs pensées, imaginant quelques scénarii loufoques des plus stupides ou plus dingues au sujet de la raison pour laquelle Gibbs n’était pas encore au travail. Tony avait un énorme sourire sur les lèvres à la pensée qu’il avait à l’esprit : il se faisait vraiment un cinéma. A vrai dire Gibbs passait énormément de temps là en bas – dans le labo d’Abby.

Alors et si c’était parce qu’il était amoureux d’elle ? C’était fou, Tony le savait, mais tout de même. Tony, mon vieux, tu deviens cinglé. Gibbs amoureux d’Abby ? Oh, je t’en prie ! Tu devrais avoir un peu plus d’imagination ou est-ce que justement tu penses à cela parce que tu as trop de fantaisie ? C’est l’idée la plus folle que tu n’aies jamais eu dans ta petite tête. Pensa-t-il pour lui-même.

Pourtant Abby était la seule personne de l’équipe qui pouvait pratiquement faire tout ce qu’elle voulait sans s’attirer les foudres de Gibbs.

Kate de son côté imaginait à peu près la même chose, mais avec une autre personne qu’Abby.

L’ascenseur s’arrêta et les portes s’ouvrirent. Il y avait une autre chose étrange lorsqu’ils pénétrèrent dans le couloir qui menait au labo – il n’y avait pas de musique assourdissante qui venait du labo et qu’Abby écoutait toujours. Tout ce que l’on pouvait entendre était un complet et profond silence. C’était presque effrayant. Il n’y avait aucune lumière à l’intérieur non plus. La respiration de Tony et de Kate s’accéléra ainsi que le battement de leur cœur. Quelque chose n’allait décidément pas. Tony mit la main à son arme, ce que fit également Kate. Il s’avança doucement avant de lever la main afin de signifier à sa collègue de rester en arrière. Elle était sur le point de protester, mais le regard dans ses yeux ne laissait aucune place pour l’argumentation.

Kate fit deux pas en arrière et s’appuya contre le mur. « Je vous en prie, dites-moi que rien n’est arrivé à Abby, » pria-t-elle silencieusement.

*~*~*~*

Des images lui traversèrent l’esprit – des images de Ducky et Gérald, elle-même et ce terroriste… pris au piége dans le labo d’Abby. Une réelle vision de cauchemar. Elle avait été heureuse cependant que c’était elle qui était descendu ce jour-là et non Abby comme elle était supposée le faire.

Abby avait été effrayée à l’idée d’aller dans la morgue de Ducky après ça, même si elle le considérait comme un père – elle avait eu des cauchemars pendant une semaine et dans ce cauchemar elle était couchée sur une des tables froides de travail de Ducky et elle pouvait se voir découper. Depuis lors, Abby ne voulait plus y descendre. Kate ne pouvait pas supporter l’idée d’Abby étant là-dedans avec un terroriste.

Tony pénétra dans le labo. Il s’arrêta à quelques mètres des portes et appela, prononça doucement le non d’Abby. « Abby ? » Aucune réponse. Il l’appela une seconde fois « Abby ? »

Tony n’eut toujours pas de réponse, un frisson glacé commençait à lui parcourir le dos. C’est alors qu’il entendit un léger gémissement.

Il la vit quelques secondes plus tard. Elle était là, assise par terre, s’appuyant contre l’un des pieds du bureau sur lequel était posé l’ordinateur, éteint. Il s’agenouilla près d’elle, sa main mise dans le creux de son dos.

« Abby, qu’est-ce qu’il y a ? » Demanda Tony un ton d’inquiétude évident dans la voix.

Et elle répondit comme si elle revenait d’une quelconque contrée lointaine. « Gibbs n’est pas là, n’est-ce pas ? »

« Non, mais je suis certain qu’il ne va pas tarder, » dit-il sur un ton léger plus pour lui-même que pour essayer de la dérider elle parce qu’il avait une sorte de nœud dans l’estomac qui grossissait de minute en minute.

De nouvelles larmes brillaient dans les yeux d’Abby et il ne fallut pas longtemps pour qu’elles roulent le long de ses joues.

« Non, il ne viendra pas Tony » dit-elle d’une voix cassée.

« Abby, qu’est-ce que tu racontes ? » demanda-t-il étonné par ce qu’elle venait de dire. Il se leva doucement et lui dit qu’il revenait tout de suite.

Abby le regarda s’en aller. Ses yeux étaient hagards et vides de toute émotion. Une fois à l’extérieur du labo, Tony appela Kate et lui raconta comment il avait trouvé Abby.

« C’est impossible, Tony – tu exagères une nouvelle fois les choses. Elle n’a pas pu te dire ça. » Dit Kate le dévisageant incrédule.

« Je te dis qu’elle l’a fait. Abby est convaincue qu’il ne se montrera pas au travail aujourd’hui. »

« C’est tout ? Elle ne t’as rien dit d’autre ? » Demanda Kate tout à coup inquiète.

« Non, elle est complètement absente pour tout te dire et ça m’effraie de la voir comme ça. »

« Tony, ça ne peut pas être si grave, enfin, je suis sure que tu montes encore tout en épingle. »

Tony commençait légèrement à s’énerver et dit un peu plus sèchement qu’il ne le voulait réellement. « Ah oui ? Et bien suis-moi et constate-le part toi-même et tu verras si j’exagère ! »

Kate fut un peu surprise par le ton sec de sa voix et décida de ne rien répondre en retour – Tony ne lui parlait jamais de la sorte à moins que quelque chose n’aille pas.

Kate Todd suivit Tony DiNozzo et s’arrêta net à la vue de sa meilleure amie, assise là comme une pauvre petite fille. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits et se précipiter ensuite vers elle. « Abby ! » S’écria Kate.

Abby regarda son amie sans vraiment la voir ; sa vision était troublée par les larmes. Elle était certaine que quelque chose était arrivé à Gibbs mais elle ne pouvait pas dire comment ou quoi – tout ce qu’elle savait était qu’il était arrivé quelque chose à son patron et ami, Jethro Gibbs.

« Qu’est-ce qu’il y a, Abby ? Pourquoi pleures-tu et pourquoi dis-tu que Gibbs ne se montrera pas ? » Demanda-t-elle doucement à son amie.

Abby avait toujours la voix cassée lorsqu’elle répondit à Kate « Parce que je le sais, » avec colère et commença à pleurer de plus belle.

*~*~*~*

Tony et Kate attendirent patiemment que les pleurs d’Abby se calment. À présent ils étaient vraiment inquiets au sujet de leur amie, ils ne l’avaient jamais vue comme ça. Tony s’agenouilla devant son amie qui semblait tout à coup si vulnérable. Il espérait qu’elle ne prendrait pas mal sa prochaine action. Tout doucement, il se pencha vers elle, ouvrit les bras et l’étreignit et, à sa surprise, Abby ne le repoussa pas, mais se pelotonna contre lui.

Kate, qui observait silencieusement la scène, ne put réprimer un petit sentiment de jalousie. Bien entendu Tony la faisait chier la plupart du temps, mais ils se taquinaient toujours et elle ne put s’empêcher de souhaiter que ce soit elle qui se pelotonne contre Tony. Kate se gifla mentalement pour avoir eu cette pensée et ces sentiments dans de telles circonstances. Abby était celle qui avait besoin de réconfort, non elle.

Tony sourit légèrement, mais ne dit pas un mot. Il la tint simplement, ensuite il plaça gentiment une main sur sa tête et caressa ses cheveux doucement. « Tout va bien, Abby, tout va s’arranger, » murmura-t-il tout près de son oreille.

« Je ne sais pas, Tony, je ne sais pas… » Dit Abby le regardant avec de grands yeux qui étaient toujours brillants de larmes.

« Abby, » commença doucement Kate en la regardant. « Si tu sais quelque chose, dis-le nous simplement, nous serons peut-être en mesure d’aider et tout s’arrangera. »

Abby Sciuto se désengagea doucement et à contrecoeur de l’étreinte de Tony – elle s’était sentie en quelque sorte en sécurité pendant quelques minutes dans les bras de Tony DiNozzo. Elle lui sourit et il lui rendit simplement son sourire

Ensuite Abby regarda à nouveau sa meilleure amie. « Je ne sais pas expliquer comment je le sais. Je le sais, c’est tout. La nuit dernière, j’ai fait un rêve – cauchemar serait un bien meilleur mot pour décrire ce qui m’a réveillée en sursaut. »

« Abby, ce n’était qu’un rêve ou, comme tu l’as dit, un cauchemar – les cauchemars ne sont pas la réalité. » Fit doucement remarquer Kate.

« Je le sais ça, Kate, mais celui-ci est réel. Je le sens. Après m’être réveillée en plein milieu de la nuit à cause de ce cauchemar, j’ai essayé de l’appeler cinq fois – il n’a pas répondu, je n’ai eu que son répondeur. Je vous le dis, quelque chose lui est arrivé, » dit-elle alors que de nouvelles larmes coulaient le long de ses joues.

Tony et Kate échangèrent un regard inquiet. Kate fixa Tony intensément et opina imperceptiblement de la tête. Elle se leva doucement et dit à Abby qu’elle revenait dans une minute, ensuite elle tourna les talons et sortit du labo. Une fois dehors elle prit son portable dans la poche de sa veste, composa le numéro du portable de Gibbs et attendit. Comme son amie l’avait dit, elle fut accueillie par la boîte vocale de son patron. « Merde ! » Murmura Kate. Elle enfonça le bouton de rappel automatique et attendit. Rien. Uniquement la voix de Gibbs sur le « répondeur ». Elle commença à devenir légèrement nerveuse.

Pendent ce temps, Tony essayait de réconforter son amie. Il la questionna gentiment au sujet de son cauchemar et vu qu’elle était hésitante à en parler. Tony décida de ne pas forcer et de simplement attendre. Quelques minutes plus tard cependant, Abby se mit à parler. « Tony ? » demanda-t-elle d’une petite voix.

« Oui, Abby ? » répondit-il doucement.

« Je peux te demander quelque chose ? » dit-elle penaude.

Tony lui sourit avant de répondre : « Bien sûr, tu peux me demander tout ce que tu veux. »

« Promets-moi d’abord que tu ne vas pas t’imaginer des tas de choses, d’accord ? »

« D’accord, je te le promets. » Répondit Tony, un peu surpris.

« Pourrais-tu me serrer dans tes bras ? » demanda-t-elle en regardant le sol.

Tony ne put s’empêcher de faire un grand sourire. « Je crois que je peux faire ça. Viens-là, » dit-il en la regardant et en ouvrant ses bras. Abby se rapprocha doucement de lui et se pelotonna dans son étreinte.





A suivre…
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